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Confrérie de charité.

G1696 , 1651-1706 , Monfort ; Versailles  

Quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la Charité en 1651 et en 1698 ; –« déclaration du Roy portant que les droits d'amortissement pour les rentes constituées à prix d'argent au profit des gens de main-morte, seront modérez à deux années du revenu desdites rentes, donnée à Versailles le 9 mars 1706 ».

Contexte :
Confréries > Montfort-sur-Risle

Confrérie de charité.

G1696 , 1651-1706 , Monfort ; Versailles  

Quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la Charité en 1651 et en 1698 ; –« déclaration du Roy portant que les droits d'amortissement pour les rentes constituées à prix d'argent au profit des gens de main-morte, seront modérez à deux années du revenu desdites rentes, donnée à Versailles le 9 mars 1706 ».

Contexte :
Confréries > Montfort-sur-Risle

Contrat de constitution de 175 livres de rente passé au profit du prieuré de bénédictines de Sainte-Marie de Bizy, à Vernon, par Claude Jouanin, tuteur principal de Laurence Jouanin, sa sœur, novice audit prieuré « pour concourir au louable dessein dans lequel elle est depuis longtemps de sacrifier le reste de ses jours à Dieu en s'unissant en qualité de relligieuse de chœur audit (1761) ; – sentence de la vicomté prieuré » (1737) ; – reconnaissance au profit du prieuré par Etienne Boussaingault, « maître peintre à Paris, y demeurant, rue Neuve et paroisse Saint-Médéric » et Charles Boussaingault, son frère, officier chez le Roi, demeurant à Versailles, d'une rente seigneuriale de deux poules assignée sur une propriété sise à Bisy, paroisse Sainte-Geneviève de Vernon de Vernon condamnant Gabriel Buisson à payer au prieuré la somme de 560 livres pour quatorze années d'arrérages d'une rente de 40 livres due audit prieuré pour fieffe de « neuf quartiers cy devant en vigne et à présent réduits pour la plus grande partie en terre, sis en la rue de Normandie, paroisse Notre-Dame de Vernon » (1767).

H1506 , 1737-1781 , Bisy, près Vernon ; Paris (Paroisse Saint-Médéric) ; Vernon (Paroisse Notre-Dame de) ; Vernon (Paroisse Sainte-Geneviève) ; Vernon (Prieuré de Bénédictines de Sainte-Marie de Bizy, à) ; Versailles  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Bénédictines de Vernon

Contrat de constitution de 175 livres de rente passé au profit du prieuré de bénédictines de Sainte-Marie de Bizy, à Vernon, par Claude Jouanin, tuteur principal de Laurence Jouanin, sa sœur, novice audit prieuré « pour concourir au louable dessein dans lequel elle est depuis longtemps de sacrifier le reste de ses jours à Dieu en s'unissant en qualité de relligieuse de chœur audit (1761) ; – sentence de la vicomté prieuré » (1737) ; – reconnaissance au profit du prieuré par Etienne Boussaingault, « maître peintre à Paris, y demeurant, rue Neuve et paroisse Saint-Médéric » et Charles Boussaingault, son frère, officier chez le Roi, demeurant à Versailles, d'une rente seigneuriale de deux poules assignée sur une propriété sise à Bisy, paroisse Sainte-Geneviève de Vernon de Vernon condamnant Gabriel Buisson à payer au prieuré la somme de 560 livres pour quatorze années d'arrérages d'une rente de 40 livres due audit prieuré pour fieffe de « neuf quartiers cy devant en vigne et à présent réduits pour la plus grande partie en terre, sis en la rue de Normandie, paroisse Notre-Dame de Vernon » (1767).

H1506 , 1737-1781 , Bisy, près Vernon ; Paris (Paroisse Saint-Médéric) ; Vernon (Paroisse Notre-Dame de) ; Vernon (Paroisse Sainte-Geneviève) ; Vernon (Prieuré de Bénédictines de Sainte-Marie de Bizy, à) ; Versailles  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Bénédictines de Vernon

Projets, notes et correspondances concernant la réforme du prieuré du Parc. Commission délivrée par François, cardinal de La Rochefoucauld, commissaire apostolique pour la réformation générale de l'ordre des chanoines réguliers de Saint-Augustin en France, à Antoine Grandet, prêtre, prieur de Versailles et doyen de Châteaufort, à l'effet de visiter le prieuré du Parc et de faire une enquête sur sa situation, « veu les requestes présentez par madame la duchesse d'Elleboeuf, fondatrice dudit prieuré, et par les personnes de frère Jean Doucet, soub prieur, Jean Mocquet et François Le Cornu, religieux profais dudit monastaire, narratives des grands désordres et desréglementz tant au spirituel qu'au temporel introduits en iceluy par la vie licentieuse et desbordée des religieux dudit monastaire ou partie d'iceux... ». Arrêt du parlement de Rouen, du 30 juillet 1648, homologuant le concordat passé le 20 juin précédent entre François Blanchard, supérieur et général des chanoines de Saint - Augustin de la congrégation de France, abbé de Sainte-Geneviève à Paris, et les religieux du prieuré du Parc, pour l'union dudit prieuré à la congrégation de France : «... Ledit prieuré et les relligieux d'icelluy seront doresnavant soubz la conduitte dudit révérendissime père général de la congrégation de France, régis et gouvernés suivant l'observance de la règle de Saint-Augustin et les statuts de la dite congrégation, et par vertu de ceste congrégation et des présentes, ledit révérendissime père général, par luy ou par autres de ses relligieux députés de sa part, prendra possession dudit prieuré et sera supplié d'y envoyer des relligieux le plus tost qu'il pourra pour y résider et demeurer actuellement selon le nombre que le revenu pourra permettre... Etc. ». Copie d'une lettre écrite par M. Brullé, secrétaire de l'evêque de Dol, à François Blanchard, supérieur général des chanoines de Saint-Augustin, pour le presser d'accomplir la réforme projetée du prieuré du Parc, en y envovant des religieux de son ordre : « Ayant eu l'honneur de conférer avec le R. P. Lescalopier, abbé de Saint-Lô de cette ville (de Rouen), sur le subjet de l'introduction de la réforme dans l'abbaye du Parc et luy ayant fait entendre l'estat et le danger où cette abbaye se trouve de tomber entre les mains de Monseigneur le duc d'Elbeuf au moyen de la récompense que Son Eminence en a promise à Monseigneur l'évesque de Dol, nous avons jugé d'en escrire à Vostre Excellence et de luy représenter l'intérest qu'elle a pour tout son ordre de vouloir achever ce glorieux dessein avant que ce changement arrive et que cette sainte maison passe au pouvoir d'une main qui vraysemblablement ne la souhaitte pas pour la sanctifier.... » Copie de la réponse de François Blanchard (février 1650).

H960 , 1634-1650 , Châteaufort ; Dol (Eveché de) ; Parc-d'Harcourt (Le), [Prieuré du] ; Paris (Abbaye de Saint-Magloire de) ; Rouen (Parlement de) ; Versailles  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré du Parc-d'Harcourt

Projets, notes et correspondances concernant la réforme du prieuré du Parc. Commission délivrée par François, cardinal de La Rochefoucauld, commissaire apostolique pour la réformation générale de l'ordre des chanoines réguliers de Saint-Augustin en France, à Antoine Grandet, prêtre, prieur de Versailles et doyen de Châteaufort, à l'effet de visiter le prieuré du Parc et de faire une enquête sur sa situation, « veu les requestes présentez par madame la duchesse d'Elleboeuf, fondatrice dudit prieuré, et par les personnes de frère Jean Doucet, soub prieur, Jean Mocquet et François Le Cornu, religieux profais dudit monastaire, narratives des grands désordres et desréglementz tant au spirituel qu'au temporel introduits en iceluy par la vie licentieuse et desbordée des religieux dudit monastaire ou partie d'iceux... ». Arrêt du parlement de Rouen, du 30 juillet 1648, homologuant le concordat passé le 20 juin précédent entre François Blanchard, supérieur et général des chanoines de Saint - Augustin de la congrégation de France, abbé de Sainte-Geneviève à Paris, et les religieux du prieuré du Parc, pour l'union dudit prieuré à la congrégation de France : «... Ledit prieuré et les relligieux d'icelluy seront doresnavant soubz la conduitte dudit révérendissime père général de la congrégation de France, régis et gouvernés suivant l'observance de la règle de Saint-Augustin et les statuts de la dite congrégation, et par vertu de ceste congrégation et des présentes, ledit révérendissime père général, par luy ou par autres de ses relligieux députés de sa part, prendra possession dudit prieuré et sera supplié d'y envoyer des relligieux le plus tost qu'il pourra pour y résider et demeurer actuellement selon le nombre que le revenu pourra permettre... Etc. ». Copie d'une lettre écrite par M. Brullé, secrétaire de l'evêque de Dol, à François Blanchard, supérieur général des chanoines de Saint-Augustin, pour le presser d'accomplir la réforme projetée du prieuré du Parc, en y envovant des religieux de son ordre : « Ayant eu l'honneur de conférer avec le R. P. Lescalopier, abbé de Saint-Lô de cette ville (de Rouen), sur le subjet de l'introduction de la réforme dans l'abbaye du Parc et luy ayant fait entendre l'estat et le danger où cette abbaye se trouve de tomber entre les mains de Monseigneur le duc d'Elbeuf au moyen de la récompense que Son Eminence en a promise à Monseigneur l'évesque de Dol, nous avons jugé d'en escrire à Vostre Excellence et de luy représenter l'intérest qu'elle a pour tout son ordre de vouloir achever ce glorieux dessein avant que ce changement arrive et que cette sainte maison passe au pouvoir d'une main qui vraysemblablement ne la souhaitte pas pour la sanctifier.... » Copie de la réponse de François Blanchard (février 1650).

H960 , 1634-1650 , Châteaufort ; Dol (Eveché de) ; Parc-d'Harcourt (Le), [Prieuré du] ; Paris (Abbaye de Saint-Magloire de) ; Rouen (Parlement de) ; Versailles  
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Ordres religieux d'hommes > Prieuré du Parc-d'Harcourt

Gauville et Bernienville.

H1548 , 1286-1784 , Aviron ; Baux-de-Breteuil (Les) ; Bérengeville-la-Campagne ; Bernienville ; Brosville ; Buisson-Hochin (Le), sis à Evreux, paroisse Saint-Aquilin ; Conches ; Condé ; Evreux (Paroisses d') : Saint-Denis ; Evreux (Ursulines) ; Evreux (Ville) ; Favril (Le) ; Gauville ; Illiers ; Long-Buisson (le fief du), sis à Evreux, paroisse N.-D. de la Ronde ; Parville ; Pithienville ; Rochette (La), triège à Evreux ; Rotoirs (Les) ; Sacq (Le) ; Versailles  

Copies des titres établissant les privilèges et franchises accordés par les rois de France « aux hommes et habitants du temporel de l'évêque d'Évreux, et entr'autres aux habitants de Brosville, Bernienville, Aviron, Pithienville, La Rochette, Gauville, Bérengeville-la-Champagne, Les Rotoirs, Illiers, Condé, Le Sac et les Baulx-de-Bretheuil » (1286-1655). Exemplaire imprimé des « Lettres patentes de Sa Majesté portant confirmation des droits et privilèges accordez aux évoques d'Évreux, à leurs hommes, sujets, vassaux, arrière-vassaux, et autres demeurant sous le temporel de l'évêché d'Évreux, données à Versailles au mois de septembre l'an de grâce 1730 » ; — aveux rendus par divers tenanciers aux seigneurs de Gauville et de Parville pour des terres relevant desdites seigneuries (XVIe-XVIIe siècles) ; — aveu rendu aux Ursulines d'Évreux, « dames et patronnes honoraires du noble fief, terre et seigneurie de Gauville, Brosville, Bernienville en partie, dames des fiefs de Conches, du Favril, du Long-Buisson et autres lieux », par Michel Le Couturier de Courcy, avocat au Parlement, demeurant à Évreux, propriétaire par succession de demoiselle Marie-Madeleine Le Couturier, veuve de Me Joseph Dupréj conseiller du roi en l'Élection d'Évreux, pour quarante-quatre pièces de terre situées à Gauville relevant de la seigneurie dudit lieu (1784).

Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Ursulines d'Évreux

Gauville et Bernienville.

H1548 , 1286-1784 , Aviron ; Baux-de-Breteuil (Les) ; Bérengeville-la-Campagne ; Bernienville ; Brosville ; Buisson-Hochin (Le), sis à Evreux, paroisse Saint-Aquilin ; Conches ; Condé ; Evreux (Paroisses d') : Saint-Denis ; Evreux (Ursulines) ; Evreux (Ville) ; Favril (Le) ; Gauville ; Illiers ; Long-Buisson (le fief du), sis à Evreux, paroisse N.-D. de la Ronde ; Parville ; Pithienville ; Rochette (La), triège à Evreux ; Rotoirs (Les) ; Sacq (Le) ; Versailles  

Copies des titres établissant les privilèges et franchises accordés par les rois de France « aux hommes et habitants du temporel de l'évêque d'Évreux, et entr'autres aux habitants de Brosville, Bernienville, Aviron, Pithienville, La Rochette, Gauville, Bérengeville-la-Champagne, Les Rotoirs, Illiers, Condé, Le Sac et les Baulx-de-Bretheuil » (1286-1655). Exemplaire imprimé des « Lettres patentes de Sa Majesté portant confirmation des droits et privilèges accordez aux évoques d'Évreux, à leurs hommes, sujets, vassaux, arrière-vassaux, et autres demeurant sous le temporel de l'évêché d'Évreux, données à Versailles au mois de septembre l'an de grâce 1730 » ; — aveux rendus par divers tenanciers aux seigneurs de Gauville et de Parville pour des terres relevant desdites seigneuries (XVIe-XVIIe siècles) ; — aveu rendu aux Ursulines d'Évreux, « dames et patronnes honoraires du noble fief, terre et seigneurie de Gauville, Brosville, Bernienville en partie, dames des fiefs de Conches, du Favril, du Long-Buisson et autres lieux », par Michel Le Couturier de Courcy, avocat au Parlement, demeurant à Évreux, propriétaire par succession de demoiselle Marie-Madeleine Le Couturier, veuve de Me Joseph Dupréj conseiller du roi en l'Élection d'Évreux, pour quarante-quatre pièces de terre situées à Gauville relevant de la seigneurie dudit lieu (1784).

Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Ursulines d'Évreux
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