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Haye-Malherbe (La).
Sentence de la vicomté de Pont-de-1'Arche admettant les religieuses de Fontaine-Guérard à prendre sur les deniers à provenir du décret des héritages ayant appartenu à Richard Pellegas vingt-neuf années d'arrérages d'une rente de douze sous tournois assignée sur une demi-acre de terre sise à la Haye-Malherbe.
Inventaire des titres et papiers du chartrier de l'abbaye royalle de Notre-Dame de Bonport, fait requeste de M les abbé, prieur et religieux de laditte abbaye, en exécution de l'arrest du grand-conseil du premier avril 1783, par Me Cavellet, notaire à Pont-de-l'Arche, commencé le douze aoust 1783 et fini le six juillet 1784 ». Tome premier, contenant l'inventaire des liasses 1 à 23.
Déclaration des nouveaux acquêts du prieuré depuis l'année 1641 (1673) ; –« déclaration du revenu temporel de la manse conventuelle des prieur, chanoines réguliers et chapitre du prieuré de Sainte Magdelaine des Deux Amans, ordre de Saint-Augustin, de la congrégation de France, ensemble du fond de la somme de huit cens livres pris sur le tiers des charges et qui leur a été délaissé par les révérends pères jésuites du collège de Rouen, auquel est uni le revenu de la manse prieuralle, pour acquitter les charges de l'église et faire les réparations de leur monastère et des fermes de leur lot... » (1720) ; –« éclaircissements ou notes sur les différents biens de la maison des Deux-Amans » (vers 1720) ; –« état et revenu du prieuré des Deux-Amans, situé sur le sommet de la côte, entre le Pont-de-l'Arche et le Pont-Saint-Pierre » (vers 1750) : « Le prieuré des Deux Amants est de très ancienne fondation. L'on ne peut en établir l'époque, le premier titre et beaucoup d'autres qui prouveraient son antiquité et ses privilèges et biens en dépendants ayant péris parles incendies et incursions de gens de guerre, comme il paroit et est établi par les Chartres du roy très chrétien Henri deux ; il paroit avoir eu pour fondateur un M. de Malmains dont il porte les armes, trois mains gauches. Ce prieuré est uni au collège des R.R. P.P. Jésuites de Rouen, qui jouissent par conséquent des biens et revenus attachez à la manse prioralle. La communauté, qui est composée de neuf chanoines réguliers, n'a pour tous biens et revenus que ceux cy après., etc. » ; d'après cet état, les revenus de la mense conventuelle sont évalués à 4.919 livres et les charges ordinaires à 1.263 livres ; –« tableau des biens et revenus, en argent et en nature, de la maison et prieuré de la Magdelène, mont des Deux Amants, dressé sur les titres et sommier de la ditte maison par Antoine Louis de Moncrif, prieur, le trois avril 1784. ».
Bail à fieffe passé par l'abbé de Bonport à Jacques-Simon Talon, architecte, demeurant à Conches, de trente perches de terre sises à Pont-de-l'Arche, moyennant une rente annuelle de 30 sous tournois (1656) ; – id., à Claude Langlois fils, demeurant au Pont-de-l'Arche, d'un fourneau à chaux, avec le terrain en dépendant, sis à Pont-de-l'Arche, moyennant une rente annuelle de 12 livres (1767). – (Huitième liasse de l'inventaire de 1784.).
Notes de comptabilité pour frais de procédures (XVIIe siècle) ; – lettres adressées de Paris au prieur des Deux-Amants et au procureur du prieuré par M. Fauvelay, chargé du recouvrement des rentes constituées au profit dudit prieuré sur l'Hôtel-de-Ville de Paris, sur les Postes, sur les Aides et Gabelles (1720-1722) ; – vente par les religieux du prieuré à François Préaux, marchand de bois à Pont-de-1'Arche, de toutes les coupes de bois taillis dépendant de la mense conventuelle du prieuré, pendant les années 1723 à 1728, soit 5 coupes, pour le prix principal de 5,500 livres (1722) ; – emprunt de 3,000 livres contracté par le procureur du prieuré sur les prêtres de l'Oratoire de Rouen moyennant une rente de 150 livres (1732).
Constitutions au profit des Carmes de la Garde-Châtel : d'une rente de 50 livres, au capital de 900 livres, sur Nicolas Langlois, du Pont-de-l'Arche (1673), – d'une autre rente de 50 livres, au capital de 1,000 livres, sur Geneviève Fournil, marchande à Rouen (1696) ; – constitution par les Carmes de la Garde-Châtel au profit du couvent des Carmes de Sentis, d'une rente de 90 livres au capital de 1,800 livres (1687).
Titres de diverses rentes assignées sur des héritages situés à Rouen, paroisse Saint-Maclou (XIIIe siècle) ; – vente à l'abbaye par Alice, femme de Raoul Saudbreuil (Saudubruil), d'une maison construite en bois et en pierre, sise à Rouen, paroisse Saint-Maclou, pour le prix de 31 livres et 10 sous tournois (1250) ; – rôle de rentes dues à l'abbaye de Bonport, à Rouen et à Pont-de-l'Arche (1342). – (Quatre-vingt-onzième liasse de l'inventaire de 1784.).
Tilleul-Lambert (Le), etc.
Notes, correspondances et procédures concernant le droit de patronage de la chapelle de Notre-Dame-de-Liesse contesté entre le commandeur de Saint-Étienne-de-Renneville et M. Eustache de Cherville, seigneur du Buisson-Duret (1686-1688) ; extrait d'une sentence interlocutoire rendue par la vicomte de Pont-de-l'Arche entre le commandeur de Saint-Étienne-de-Renneville et M. de Graveron, qui prétendait « prendre la qualité de seigneur du Tilleul-Lambert, dont est seigneur et patron ledit sieur commandeur » (1656).
Ecquetot.
Accord entre l'abbaye, d'une part, et Guillaume de Fontaines, clerc du Roi, d'autre part, contenant échange des droits de l'abbaye sur le fief de Criquetot contre ceux dudit Guillaume de Fontaines sur le fief d'Ecquetot (1501) ; aveu rendu à l'abbaye par Claude Leperrier, bourgeois de Pont-de-l'Arche, pour des terres sises à Ecquetot et mouvantes de la seigneurie dudit lieu (1651).
Ailly.
Sentence interlocutoire rendue par Guillaume de Longueuil, vicomte de Pont-de-l'Arche, aux assises de la vicomte du Vaudreuil, entre le procureur de l'abbaye et Jean Gravois le jeune, au sujet d'une rente de 6 sous due à l'abbaye sur un héritage, sis à Ailly, dont ledit Gravois était tenancier.
Vaudreuil (Le).
Vidimus et confirmation par Thibaud, archevêque de Rouen, d'un bail à vie passé par l'abbé de la Croix à Rabel de la Vacherie des dîmes que l'abbaye possédait au Vaudreuil, moyennant une rente annuelle de 4 livres 10 sous tournois (1228) ; rôle des amendes frappées sur les tenanciers du fief du Cavé appartenant à l'abbaye à Saint-Cyr-du-Vaudreuil (1627) ; bail du fief du Cavé, passé par l'abbé de La Croix à François Bréant, procureur du Roi du bailliage et vicomte de Pont-de-l'Arche, au prix de 12 livres par an (1683) ; « inventaire des adveux et papiers consernant le fief du Cavé » (fin du XVIIe siècle).