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Pont-Saint-Pierre.
Bail à ferme passé par l'abbaye à Robert de Bonneval, curé de la paroisse Saint-Nicolas de Pont-Saint-Pierre, pour la durée de sa vie, d'un emplacement avec les constructions y édifiées, sis à Pont-Saint-Pierre, moyennant une rente de 12 sous tournois par an (1258) ; bail du même emplacement consenti par l'abbaye à Simon, curé de Pont-Saint-Pierre, moyennant une rente de 15 sous (1276) ; acquisition par l'abbaye de 14 sous de rente assignés sur des terres sises à Pont-Saint-Pierre et à Romilly (1264) ; baux à fieffe de deux masures situées à Pont-Saint-Pierre et appartenant à l'abbaye (1330-1364) ; cqpie imprimée d'une sentence de la Table de marbre du palais à Rouen, permettant au marquis de Pont-Saint-Pierre de faire assigner audit siège « les chasseurs, affûteurs et pescheurs » qui tuaient son gibier et prenaient son poisson dans l'étendue de ses terres et seigneuries situées en Normandie (1701). (Dixième chapitre, article 4, de l'inventaire de 1738.).
Saint-Maclou.
Sentence interlocutoire rendue par l'official de Lisieux entre Jean du Moustier, prêtre, d'une part, Marguerite du Bosc, abbesse, et le couvent de Saint-Léger de Préaux, d'autre part, dans le procès engagé entre les parties au sujet des dîmes des fiefs appartenant aux religieuses dans la paroisse Saint-Maclou (1496) ; accord entre l'abbesse de Préaux, d'une part, Jean Frontin, curé de Saint-Maclou, et Jean-François de Prestreville, prêtre, titulaire de la chapelle de la Sainte-Trinité de Préaux, d'autres parts, au sujet des réparations du chancel de l'église de Saint-Maclou. Les parties, en leur qualité de gros décimateurs de la paroisse, s'engagent à faire exécuter à leurs frais les réparations nécessaires, sauf à y faire contribuer M. l'abbé de Malherbe, ci-devant abbé de Grestain, pour la part qui lui incomberait (1747).
Rouen.
Confirmation par Gauthier de Coutances, archevêque de Rouen, d'une sentence de son Officialité qui avait reconnu à l'abbaye de la Sainte-Trinité-du-Mont de Rouen, contrairement aux prétentions de Mathieu du Bec, fils d'Eustache du Bec, chevalier, la propriété d'une maison, sise à Rouen, ayant appartenu aux fils de Renaud de Châtillon, chanoine de Rouen, et donnée par l'un d'eux à ladite abbaye (s. d. vers 1196) ; bail passé par les Chartreux à Jacques de la Rivière, Robert et Jean Mahieu, frères, d'« une des deux maisons à eulx appartenant, nouvellement construite et édiffiée, seize rue Nostre-Dame, parroisse Saint-Maclou de Rouen », pour le prix de quatre-vingt-onze livres quinze sous par an (1610) ; autre bail de ladite maison, consenti à Thomas Massue, tapissier en haute lice, pour le prix annuel de 86 livres tournois (1630) ; plan par terre et élévation « de la maison de Rouen, dans la rue de Notre-Dame, derrière Saint-Maclou », et devis de la construction de ladite maison, entreprise par Noël d'Yvetôt, maître maçon à Rouen (1640) ; déclaration fournie au bureau de la recette générale des Domaines par Bernard Maître, procureur de la Chartreuse, « d'un tènement de maisons scises à Rouen, rue Notre-Dame, paroisse Saint-Maclou, consistant en deux petits corps de logis, des deux costés de la grande porte de la maison du fond servant d'hospice aux religieux de ladite Chartreuse » (1772).
Rouen.
Vente aux religieux du prieuré des Deux-Amants par Drouet de Binguemare et Jeanne, sa femme, d'une portion de jardin sise à Rouen, paroisse Saint-Maclou, « joignant d'un costé aux diz religieux et à l'ostel où pent l'ensengne de l'Escuelle d'Estain, d'un bout au grand chimentière de Saint-Maclou », pour le prix de 61 saluts d'or (1435) ; baux à loyer de la maison dite l'Hôtel des Deux-Amans, sise à Rouen, rue Martainville, passés par les religieux du prieuré à noble homme François Darendel, pour le prix annuel de 40 écus (1594), à Etienne Haquebart, bourgeois et marchand (1609-1613), et à René Dufour, marchand de draps (1622), pour le prix de 270 livres, à Marin Marie, marchand, pour le prix de 400 livres (1670), à Jean Piel, marchand, pour le prix de 300 livres et pour une durée de 99 ans (1720) ; procès-verbal de visite et d'état de lieux de la maison dite l'Hôtel des Deux-Amants, occupée par Marin Marie (1670).