Amfreville-sous-les-Monts.
Titres d'une rente de cinq livres assignée au profit de l'abbaye sur des terres situées à Amfreville-sous-les-Monts.
Titres d'une rente de cinq livres assignée au profit de l'abbaye sur des terres situées à Amfreville-sous-les-Monts.
Consultation des services, consultation du conseil municipal.
Consultation du conseil municipal.
1980-1992
Mémoires et notes concernant les réparations des bâtiments du prieuré (1685-1686) ; procès-verbal de visite et d'estimation des réparations à faire à l'église du prieuré, dressé par Pierre Jarry, architecte à Rouen (1720) ; autorisation donnée aux religieux des Deux-Amants par les vicaires généraux de Rouen, le siège vacant, de démolir l'ancienne église du prieuré pour en construire une nouvelle et de célébrer, en attendant, l'office divin dans leur grande salle « qui est en état et décemment ornée » (1721) ; « marché pour la démolition de l'ancienne église du prieuré des Deux-Amants et la réédification d'une nouvelle, fait par les prieur et chanoines réguliers dudit prieuré avec Me Jacques Cécille (1722) ; description de l'ancienne église du prieuré avant sa démolition commencée le 5 octobre 1722 : «... La sacristie étoit derrière le grand autel et faisoit partie de l'église, aiant dix huit pieds de long sur dix sept de large. Au fond, contre le pignon, étoit un autel et au-dessus un rétable représentant l'Annonciation, au bas duquel étoit d'un côté les armoiries du prieuré, qui sont trois mains gauches de sable sur un fond d'azur, représentant le dessus de la main à la vue ; de l'autre côté étoit un écusson dont le fond étoit aussi d'azur, en ovale de même que le précédent, avec un cheveron doré, au hault duquel et entre la pointe étoient deux roses sans queue, et au bas du dit cheveron, dans le milieu, un croissant doré... Le rétable du maître autel étoit de pierre de taille et avoit quatre pieds de hault en dessus du maître autel, et long de neuf pieds six pouces. L'histoire de la Magdelaine y étoit représentée en sculpture sur des pierres de même que celles du rétable. On en a fait présent au P. curé d'Amfreville sous les Monts, qui les a demandés pour son église... » ; copie du procès-verbal de consécration de la nouvelle église du prieuré par Jean IV de Caulet, évêque de Grenoble, le 22 septembre 1726.
Vente par Jean Jolin, laboureur, à dom Claude Le Febvre, prêtre, religieux du prieuré des Deux-Amants et curé d'Amfreville-sous-les-Monts, d'une masure contenant cinq vergées, sise à Amfreville, triège du Val-Amey, pour le prix de 100 livres tournois (1635) ; rôle de répartition sur les habitants propriétaires de la paroisse d'Amfreville-sous-les-Monts d'une somme de 1,503 livres pour les réparations du presbytère et de l'église (1760) ; procès-verbal de visite et d'estimation des réparations à faire au chœur, chancel et bâtiment presbytéral d'Amfreville-sous-les-Monts, dressé par Jacques-Charles La Lande et Louis Gilbert, architectes experts jurés au bailliage de Rouen (1771).
Donation à l'abbaye par Étienne de Longchamp et Alix, sa femme, d'un essart appelé l'Essart-Gondouin, attenant à l'aunaie située près de l'abbaye et de la dîme du pain de la maison des donateurs à Douville (s. d. Commencement du XIIIe siècle) ; confirmation de la donation précédente par Baudri de Longchamp, chevalier, fils des donateurs. Baudri de Longchamp confirme en outre la donation faite à l'abbaye par Geoffroi Boudart d'une pièce de terre située entre Amfreville et Douville (1213) ; vente à l'abbaye par Guillaume de Roboreto et Aceline, sa femme, d'une rente foncière de 5 sous tournois pour le prix de 50 sous (1238) ; titres d'une rente de 4 livres 10 sous assignée au profit de l'abbaye sur le moulin à blé de Douville appartenant en 1623 à Giraud du Chaussis, écuyer, sieur de Bacqueville (1576-1726) ; échange de deux acres de terre sises à Marcouville et à Douville entre les religieuses de Fontaine-Guérard, d'une part, et Charlotte de Champluisant, veuve de Philippe de Gaillardbois, chevalier, seigneur de Marcouville, d'autre part (1606) ; vente à l'abbaye par les habitants de la paroisse de Douville, d'« une portion de terre excroi-sante tant en hayes, buissons et boys d'aunette, nommée le Petit-Becquet », sise à Douville, contenant trois acres une vergée et demie et faisant partie des terres communes de la paroisse, moyennant le prix principal de 405 livres tournois (1639) ; « mémoire instructif pour les dames abbesse et relligieuses de l'abbaye Notre-Dame de Fontaine-Guérard et les habitans de la paroisse de Douville, propriétaires en commun des communes pastures de ladite parroisse, contre le sieur Saint-Ottin, gendre de feu Jehan Giffart, qui se veut injustement attribuer et usurper deux petites pièces desdittes communes plantées en bois » (1658) ; contrats d'acquisitions et états de contenance des terres appartenant à l'abbaye dans la paroisse de Douville (XVIIe-XVIIIe siècles).