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Inventaires des titres de la fabrique de Bézu-le-Long, dressés en 1626, en 1673 (en conséquence de l'ordonnance du lieutenant général de Gisors, de 1671), en 1697 (en conformité des ordonnances de l'archevêque de Rouen, de l'archidiacre et du doyen de Gisors), en 1761 (en vertu de l'ordonnance du doyen rural de Gisors) et en 1786. – (Les titres de la fabrique de Bézu-le-Long, classés sous les articles G. 407 à G. 417, proviennent du bureau de l'enregistrement de Gisors.).
« Obituaires ou recueils des messes de fondation qui doivent estre dites ou célébrées en l'église paroissiale de Saint-Rémi de Bézu-le-Long pendant les douze mois de l'année » (dressés à diverses époques, de 1687 à 1761) ; – sentence de réduction des fondations de l'église de Bézu-le-Long, obtenue de l'Archevêché de Rouen à la requête de Joseph Caignet, curé de Bézu, et de Pierre Lepert, marguillier en charge (22 juillet 1761).
Inventaires des vases sacrés, ornements, linges et autres objets mobiliers appartenant à l'église de Bézu-le-Long. Parmi les objets inventoriés figurent « deux couronnes de fer-blanc, dont une plus grande se met sur la teste de la Sainte-Vierge et l'autre plus petite sur celle de l'Enfant-Jésus, achetée en 1759 trente-six sous aux despens du bassin de la Sainte-Vierge » et « deux robes de la Sainte-Vierge, l'une pour les dimanches et fériés de l'année ; de futaine blanche à fleurs, avec la robe de l'Enfant-Jésus, donnée par Mre Duhamel, l'autre en forme de gros de Tours broché à fond jaune, pour les festes, donnée par madame Asseline, de Gisors ».
Sentence du vicomte de Gisors qui condamne les habitants de Saint-Éloi à restituer aux habitants de Bézu-le-Long des bestiaux par eux saisis sous prétexte qu'ils pâturaient sur leurs biens communs (1640) ; – continuation de bail à fieffé consentie par Alexandre d'Orléans, marquis de Rothelin, comte de Mouchy, gouverneur de Port-Louis, aux habitants de Bézu-le-Long, de quarante arpents de terre situés à Neaufles, pour servir de pâturage à leurs bestiaux, moyennant une rente annuelle de 40 boisseaux d'avoine (1751) ;– répertoires des rentes dues à l'église, dressés en 1687, 1709 et 1749 ; –état des terres appartenant à l'église en 1688.
Copie collationnée de la « déclaration du temporel du prieuré simple de Notre-Dame de Beaumont-le-Perreux, ordre de Cluny, de la dépendance du prieuré de Longueville pour la présentation et la nomination, au bailliage de Gisors, que baille Alexandre Bigot, escuyer, pourvu dudit prieuré, lequel tient et avoue à tenir de Sa Majesté les terres et seigneuries qui on suivent et en relèvent immédiatement à cause dudit prieuré de Beaumont le Perreux scis en la paroisse de Bernouville, baillage dudit Gisors, comme aussy la terre et seigneurie de Marquebeuf seize en la paroisse de Bezu le Long, audit bailliage de Gisors... ».
Aveux rendus par la fabrique à Jean de Saint-Simon et à Philippe de Pellevé (1601), à Henri-Auguste d'Orléans, marquis de Rothelin (1660), à Michel Sublet, marquis de Heudicourt (1704), à Ponce-Auguste Sublet, grand louvetier de France (1731), à Charlotte-Alexandrine Sublet de Heudicourt, fille du précédent (1780), pour des terres relevant de la seigneurie de Bézu-le-Long.
Rentes. – Contrats de constitution au profit de la fabrique, par Pierre Thouroude, d'une rente de 8 livres 8 sous au capital de 168 livres (1736), – par Étiennette Le Maréchal, veuve de Nicolas Mahault, d'une rente de « 1 écu 2/3 d'écu évalués à la somme de 100 sous tournois », au profit de Guillaume Le Febvre, marchand drapier à Étrépagny, au capital de « 16 écus d'or et 2/3 d'écu évalués à la somme de 50 livres tournois payées en trente-huit pièces de France et seize quarts d'écu » (1588), – par Quentin Nepveu, d'une rente de 7 livres au capital de 200 livres (1720) ; – bail à fieffé passé par Nicolas de Chaumont, receveur de la terre et seigneurie de Bézu-le-Long, à Fiacre Hardy, charpentier, d'une maison, masure et de plusieurs pièces de terre situées à Marjotelle, moyennant une rente de 40 livres tournois (1610).
Donations à la fabrique par Guillaume du Buisson, prêtre, de plusieurs pièces de terre situées à Gamaches (1499-1518), – par Robert Mourieult, prêtre, de quatre pièces de terre situées à Étrépagny, « au triège de Lescaubert, au bout du pavement, aux Buissonnetz, et à l'Ormetel de la Maladerie » (1524), – par Robert de la Mare, prêtre, curé de Saint-Martin (1517), – par « Guillemyne, veuve de Jean Duboys, avocat en cour laye, demeurant à Étrépagny », d'une rente de 10 sous tournois et de deux acres et demie de terre situées à Saint-Martin « en la lande de Genestay » (1526) ; – par Jean Prevel, prêtre, de plusieurs pièces de terre situées à Saint-Martin, à Heudicourt et à Bézu-le-Long (1576) ; – vente à la fabrique par Louise Le Boullanger, veuve de Nicolas Le Mercier, d'une acre de terre située à Étrépagny, triège d'entre la Garenne et la Chapelle Saint-Maur, pour le prix de 300 livres tournois (1665).
Bezu-le-Long.
Aveu rendu par Renée de Hacqueville, « humble religieuse supérieure du couvent de l'Annonciade de Gisors », à Charles d'Aubour, chevalier, capitaine au régiment des gardes, seigneur de Porcheux, Bezu-le-Long et Saint-Éloi, pour des terres situées à Bezu et relevant de la seigneurie dudit lieu (1636). Autres aveux rendus à Gilles Caignet (1696), à Michel Sublet, chevalier, marquis d'Heudicourt (1701), à Ponce-Auguste Sublet d'Heudicourt (1730), à Michel Sublet d'Heudicourt (1738), à Alexandrine-Charlotte Sublet d'Heudicourt, fille de Ponce-Auguste Sublet d'Heudicourt et veuve d'Antoine-Armand, comte de Belsunce (1748-1775), pour des terres relevant de la seigneurie de Bezu-le-Long et des fiefs du Foisnel et du Mesnil-Guilbert à Bezu ; procès-verbaux d'arpentage des terres de Bezu-le-Long, appartenant aux Annonciades de Gisors (XVIIe siècle).
Institution de quatre chapelains dans l'église Saint-Jean de Dangu par « noble et puissant seigneur monseigneur Pierre de Ferrières, sire et baron de Thury et Dangu, vicomte hérédital de Breteuil, seigneur de Gisors et de Bézu-le-Long », etc., en présence de « noble et scientifique personne maistre Guy de Ferrières, prestre, docteur en décret, curé dudit Saint-Jean-de-Dangu et Vesly et chapelain de la chapelle fondée au chasteau de Dangu, de noble homme maistre Pierre Tunnel, escuyer, seigneur de La Ruelle, messire Martin Atelain, Jacques Pépin et Pierre Lambert, prestres » (1516) ; – procès-verbal de destitution et de réintégration annuelle (aux termes de l'acte de fondation précité) des quatre chapelains de l'église Saint-Jean de Dangu par « haut et puissant seigneur messire André-François-Gabriel Jubert, marquis de Bouville, seigneur baron, patron et haut justicier de Dangu, Vesly et Gisancourt » (1774).
Heudicourt.
Aveux rendus par les Mathurins de Gisors « à haute et puissante dame Madame Charlotte-Alexandrine Sublet d'Heudicourt, veuve de haut et puissant seigneur messire Antoine-Armand, chevalier, comte de Belzunce, capitaine lieutenant des gens d'armes bourguignons et grand louvetier de France, seule fille et unique héritière de messire Ponce-Auguste Sublet d'Heudicourt, lieutenant général des armées du Roy et ci-devant grand louvetier de France, dame de Madame et dame et patronne de Heudicourt, de Bezu-le-Long, Saint-Éloy et Bernouville », pour des terres sises à Heudicourt et relevant des fiefs de Saint-Paër et des deux fiefs réunis de Saint-Martin et d'Orgeville à Heudicourt..