Baux à ferme des terres de la charité situés à Étréville, à Valletot et à Bourneville.
Bail à ferme passé par André de Lévemont, prieur de Beaumont-le-Roger, à Jean Adam, de la paroisse de Vieilles, des dîmes appartenant au prieuré dans la paroisse de Bourneville, moyennant un fermage annuel de 90 livres tournois.
En particulier : empoisonnements criminels de bétail à l'arsenic à Bourneville (1773) - meurtre à Fort-Moville du garde-chasse du président de Bailleuil (1773) - vol en l'église de Saint-Philbert-sur-Risle (1774).
Contrats de constitution, de revalidation et de reconnaissance au profit de la Charité : d'une rente de 3 livres, par Louis Marge (1615), – d'une rente de 4 livres 10 sous 8 deniers tournois, par Charles Bonneuil, bourgeois de Rouen (1665), – d'une rente de 20 sous, par Pierre Lefort, de Bourneville (1687), – d'une rente de 71 sous 5 deniers, par Charles Bonzens, ancien échevin de la charité (1668), – d'une rente de 15 livres, par André Lefort, de Tocqueville (1725), – d'une rente de 11 livres, par François Cardon (1743), – d'une rente de 12 livres 10 sous, par Blaise de Ruffault, demeurant à Hauville (1746).
Aveu rendu par la Charité à Jean-Baptiste Guillot de la Houssaye, écuyer, patron honoraire de Fourmetot, seigneur de Beaumont, etc., pour une pièce de terre située à Bourneville et relevant du fief de Beaumont (1709) ; – donations de terres à la Charité par Denis Vode (1663), Geneviève de la Rivière (1667), Thomas de Vivefoy, écuyer, « sieur de la Fertey Roumare » (1694), Christophe Duperroy, Pierre Leclerc, prêtre, vicaire de la Londe, Jean Masselin (1719) et Michel Noë (1729).