Toutes les ressources Essarts (Les) près Brionne 8 résultats (8ms)

Essarts (Les).

H1352 , 1229-1543 , Essarts (Les) près Brionne ; Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye)  

Accord passé entre Gilbert, seigneur des Essarts, d'une part, et l'abbaye de Saint-Sauveur, d'autre part. Gilbert des Essarts abandonne à l'abbaye tous ses droits prétendus au patronage de l'église et aux dîmes de la paroisse des Essarts. En retour l'abbaye s'engage à faire construire dans le délai de trois ans, en dehors de l'enceinte du château des Essarts, une chapelle pour servir d'église paroissiale aux habitants des Essarts, celle du château devant désormais appartenir exclusivement au seigneur des Essarts. L'église projetée et la chapelle du château devaient être desservies chacune par un chapelain à la présentation de l'abbaye de Saint-Sauveur (1229) ; — engagement pris par Gilbert, seigneur des Essarts, de construire à ses frais l'église des Essarts, dans un délai de deux années, moyennant l'abandon par l'abbaye de certaines sommes qui lui étaient dues (1239) ; — sentence arbitrale prononcée par Roger des Essarts, trésorier d'Évreux, et Renaud de Bordigny, chevalier, entre les religieuses de Saint-Sauveur, d'une part, et Jean des Essarts, écuyer, d'autre part, dans le différend soulevé entre les parties au sujet des dîmes des pois et des vesces de la paroisse (1302). Accord entre les mêmes sur le même objet (1342).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)

Essarts (Les).

H1352 , 1229-1543 , Essarts (Les) près Brionne ; Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye)  

Accord passé entre Gilbert, seigneur des Essarts, d'une part, et l'abbaye de Saint-Sauveur, d'autre part. Gilbert des Essarts abandonne à l'abbaye tous ses droits prétendus au patronage de l'église et aux dîmes de la paroisse des Essarts. En retour l'abbaye s'engage à faire construire dans le délai de trois ans, en dehors de l'enceinte du château des Essarts, une chapelle pour servir d'église paroissiale aux habitants des Essarts, celle du château devant désormais appartenir exclusivement au seigneur des Essarts. L'église projetée et la chapelle du château devaient être desservies chacune par un chapelain à la présentation de l'abbaye de Saint-Sauveur (1229) ; — engagement pris par Gilbert, seigneur des Essarts, de construire à ses frais l'église des Essarts, dans un délai de deux années, moyennant l'abandon par l'abbaye de certaines sommes qui lui étaient dues (1239) ; — sentence arbitrale prononcée par Roger des Essarts, trésorier d'Évreux, et Renaud de Bordigny, chevalier, entre les religieuses de Saint-Sauveur, d'une part, et Jean des Essarts, écuyer, d'autre part, dans le différend soulevé entre les parties au sujet des dîmes des pois et des vesces de la paroisse (1302). Accord entre les mêmes sur le même objet (1342).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)

Pont-Authou, etc. (Fief de Caumont).

H67 , 1458-1764 , Angers ; Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Brionne ; Douet-du-Bec (Le), rivière près Brionne ; Essarts (Les) près Brionne ; Pont-Authou  

Aveu rendu à l'abbé du Bec par Pierre-François Fremont, sieur des Essards, officier des carabiniers en garnison à Angers, pour six acres de pré situées à Brionne, hameau des Essards, relevant de la seigneurie de Caumont (1764) ; — relevé des baux à fieffe des terres appartenant à l'abbaye, situées à Pont-Authou et relevant du fief de Caumont, passés de 1458 à 1517 ; — bail à fieffe passé par l'abbaye à Henri Le Fèvre, de Brionne, de deux places de moulin sises au Bec et à Pont-Authou, ainsi que du droit de pêche sur la rivière appelée le Douet du Bec, avec faculté pour le preneur d'y faire construire et réédiffier deux moulins, « sy faire le veult », pour le prix annuel de 15 sous tournois (1555).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Pont-Authou, etc. (Fief de Caumont).

H67 , 1458-1764 , Angers ; Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Brionne ; Douet-du-Bec (Le), rivière près Brionne ; Essarts (Les) près Brionne ; Pont-Authou  

Aveu rendu à l'abbé du Bec par Pierre-François Fremont, sieur des Essards, officier des carabiniers en garnison à Angers, pour six acres de pré situées à Brionne, hameau des Essards, relevant de la seigneurie de Caumont (1764) ; — relevé des baux à fieffe des terres appartenant à l'abbaye, situées à Pont-Authou et relevant du fief de Caumont, passés de 1458 à 1517 ; — bail à fieffe passé par l'abbaye à Henri Le Fèvre, de Brionne, de deux places de moulin sises au Bec et à Pont-Authou, ainsi que du droit de pêche sur la rivière appelée le Douet du Bec, avec faculté pour le preneur d'y faire construire et réédiffier deux moulins, « sy faire le veult », pour le prix annuel de 15 sous tournois (1555).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Gisors.

H1178 , 1609-1764 , Aumale ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Dieppe ; Essarts (Les) près Brionne ; Genevois (duché de) ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Nemours (duché de) ; Ry  

Copie de l'autorisation accordée aux Mathurins de Gisors par Elisabeth de Vendôme, duchesse de Nemours et d'Aumale, comtesse de Gisors, baronne des Essarts et de Ry, veuve de Charles-Amédée de Savoie, duc de Nemours, de Genevois et d'Aumale, pair de France, « de prendre un arpent de terre vaine et vague du costé du soleil couchant, pour accroître leur couvent et de faire planter des arbres sur tout le reste desdites terres vaines et vagues, tant pour la décoration du lieu que pour le couvert et la commodité des pèlerins qui vont faire leurs dévotions à l'église dudit couvent, et de conserver le vollet à pigeons qu'ils ont cy-devant fait construire en leur couvent pour la commodité des religieux malades et des convalescents » (1662) ; — certificat délivré aux Mathurins de Gisors par le lieutenant général civil audit bailliage, pour constater que lesdits religieux « ne sont nullement usurpateurs ny mesme possesseurs de deux arpens de communes plantez en arbres sauvages devant leur couvent, mais que seulement ils ont eu permission de feu Madame la duchesse de Nemours d'y planter les arbres pour l'ornement du lieu et commodité de la ville, à quoy les officiers et échevins de laditte ville ont donné leur consentement, à condition que les bestiaux y pourraient toujours pasturer comme ils le font journellement » (1679) ; — requête adressée par les Mathurins de Gisors au lieutenant général civil de la ville et bailliage de Gisors, à l'effet d'être autorisés à déplacer une croix de pierre érigée devant la porte de leur couvent et à la transporter « au bout de leur avenue et allée d'arbres quy conduisent au grand chemin de Dieppe à Paris, afin que les passants et voituriers fassent leurs prières en passant proche et devant ladite croix ». Autorisation conforme du lieutenant général civil (1683) ; — « plan de la maison, jardins, bosquets et clos de Messieurs les Mathurins de Gisors, contenant 17 arpents 53 perches » (1764).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Gisors.

H1178 , 1609-1764 , Aumale ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Dieppe ; Essarts (Les) près Brionne ; Genevois (duché de) ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Nemours (duché de) ; Ry  

Copie de l'autorisation accordée aux Mathurins de Gisors par Elisabeth de Vendôme, duchesse de Nemours et d'Aumale, comtesse de Gisors, baronne des Essarts et de Ry, veuve de Charles-Amédée de Savoie, duc de Nemours, de Genevois et d'Aumale, pair de France, « de prendre un arpent de terre vaine et vague du costé du soleil couchant, pour accroître leur couvent et de faire planter des arbres sur tout le reste desdites terres vaines et vagues, tant pour la décoration du lieu que pour le couvert et la commodité des pèlerins qui vont faire leurs dévotions à l'église dudit couvent, et de conserver le vollet à pigeons qu'ils ont cy-devant fait construire en leur couvent pour la commodité des religieux malades et des convalescents » (1662) ; — certificat délivré aux Mathurins de Gisors par le lieutenant général civil audit bailliage, pour constater que lesdits religieux « ne sont nullement usurpateurs ny mesme possesseurs de deux arpens de communes plantez en arbres sauvages devant leur couvent, mais que seulement ils ont eu permission de feu Madame la duchesse de Nemours d'y planter les arbres pour l'ornement du lieu et commodité de la ville, à quoy les officiers et échevins de laditte ville ont donné leur consentement, à condition que les bestiaux y pourraient toujours pasturer comme ils le font journellement » (1679) ; — requête adressée par les Mathurins de Gisors au lieutenant général civil de la ville et bailliage de Gisors, à l'effet d'être autorisés à déplacer une croix de pierre érigée devant la porte de leur couvent et à la transporter « au bout de leur avenue et allée d'arbres quy conduisent au grand chemin de Dieppe à Paris, afin que les passants et voituriers fassent leurs prières en passant proche et devant ladite croix ». Autorisation conforme du lieutenant général civil (1683) ; — « plan de la maison, jardins, bosquets et clos de Messieurs les Mathurins de Gisors, contenant 17 arpents 53 perches » (1764).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Gisors.

H1179 , 1546-1780 , Argilliers (triège des), situé à Gisors ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Boisgeloup (fief de) ; Bornes (Les), lieu-dit à Gisors ; Caillou (Le), lieu-dit à Boisgeloup ; Chambords-en-Vexin-le-François (fief de) ; Eragny ; Essarts (Les) près Brionne ; Fruge (fief de), Fruges ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Grange-Cercelle (La), fief sis à Gisors ; Neaufles-sur-Risle ; Pré-du-Gant (Le), lieu-dit à Gisors ; Trois-Chênes (Les), lieu-dit, à Gisors  

Donation aux Mathurins de Gisors par Françoise Gosse, veuve de Guillaume Géraud, sieur de Fruges, d'une maison sise à Gisors, rue Saint-Antoine, pour la fondation de treize messes basses chaque année (1698) ; — baux à ferme de deux maisons appartenant aux Mathurins, sises à Gisors, faubourg de Neaufles, lieu dit Les Bornes (1692-1739) ; — id. D'un arpent de pré situé à Gisors dans la prairie des Argilliers, vers le chemin d'Éragny (1719-1735) ; — aveux rendus par les Mathurins de Gisors à la seigneurie du Boisgeloup pour deux arpents quarante perches de terre sis audit Boisgeloup, lieu dit Le Caillou (1714-1725) ; — vente aux Mathurins par Jacques Tessier, marchand-mégissier à Gisors, de cinq quartiers de terre labourable, situés à Gisors, sur le chemin d'Éragny, pour le prix de 240 livres tournois (1668) ; —bail à ferme d'un demi-arpent de pré, sis à Gisors, lieu dit lePré-du-Gant, passé par les Mathurins à Mathieu Le Roux, jardinier à Gisors, moyennant un fermage annuel de 30 livres (1724) ; — aveu rendu par les Mathurins à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur de Chambors-en-Vexin-Le-François, des Essarts et de La-Grange-Cercelle, ci-devant capitaine au régiment de Bretagne et écuyer ordinaire du Roy », pour une pièce de terre contenant douze arpents ou environ, « seize hors le fauxbourg de la porte de Neaufle, terroir dudit Gisors, au lieu anciennement nommé Les Trois-Chesnes ».

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Gisors.

H1179 , 1546-1780 , Argilliers (triège des), situé à Gisors ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Boisgeloup (fief de) ; Bornes (Les), lieu-dit à Gisors ; Caillou (Le), lieu-dit à Boisgeloup ; Chambords-en-Vexin-le-François (fief de) ; Eragny ; Essarts (Les) près Brionne ; Fruge (fief de), Fruges ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Grange-Cercelle (La), fief sis à Gisors ; Neaufles-sur-Risle ; Pré-du-Gant (Le), lieu-dit à Gisors ; Trois-Chênes (Les), lieu-dit, à Gisors  

Donation aux Mathurins de Gisors par Françoise Gosse, veuve de Guillaume Géraud, sieur de Fruges, d'une maison sise à Gisors, rue Saint-Antoine, pour la fondation de treize messes basses chaque année (1698) ; — baux à ferme de deux maisons appartenant aux Mathurins, sises à Gisors, faubourg de Neaufles, lieu dit Les Bornes (1692-1739) ; — id. D'un arpent de pré situé à Gisors dans la prairie des Argilliers, vers le chemin d'Éragny (1719-1735) ; — aveux rendus par les Mathurins de Gisors à la seigneurie du Boisgeloup pour deux arpents quarante perches de terre sis audit Boisgeloup, lieu dit Le Caillou (1714-1725) ; — vente aux Mathurins par Jacques Tessier, marchand-mégissier à Gisors, de cinq quartiers de terre labourable, situés à Gisors, sur le chemin d'Éragny, pour le prix de 240 livres tournois (1668) ; —bail à ferme d'un demi-arpent de pré, sis à Gisors, lieu dit lePré-du-Gant, passé par les Mathurins à Mathieu Le Roux, jardinier à Gisors, moyennant un fermage annuel de 30 livres (1724) ; — aveu rendu par les Mathurins à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur de Chambors-en-Vexin-Le-François, des Essarts et de La-Grange-Cercelle, ci-devant capitaine au régiment de Bretagne et écuyer ordinaire du Roy », pour une pièce de terre contenant douze arpents ou environ, « seize hors le fauxbourg de la porte de Neaufle, terroir dudit Gisors, au lieu anciennement nommé Les Trois-Chesnes ».

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Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors
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