Toutes les ressources Lorraine, Henri de (duc d'Elbeuf) 12 résultats (8ms)

Elbeuf-sur-Seine.

H363 , 1212-1780 , Elbeuf-sur-Seine ; Isle-Dieu (Abbaye de), près Perruel ; Seine (La), fleuve  

Copie collationnée (XVIIe siècle) de la donation faite à l'abbaye par Jean de Préaux d'une rente annuelle de 10 livres qui lui avait été donnée par Robert, comte de Meulent, en récompense de ses services, et qui était assignée sur les revenus de la foire et de la prévôté d'Elbeuf-sur-Seine. Jean de Préaux déclare donner cette rente à l'abbaye en échange d'une rente d'égale valeur qu'il avait assignée douze ans auparavant au profit des religieux de l'Isle-Dieu sur ses moulins de [Revron ? ] (1212). Pièces de procédures, notes, correspondances et quittances concernant le payement de cette rente (XVIIe-XVIIIe siècles). Reconnaissance et revalidation de ladite rente par Henri de Lorraine, duc d'Elbeuf, pair de France : «... Nous avons reconnu, reconnaissons, revalidé et revalidons laditte partie de dix livres de rente affectée sur notre duché d'Elboeuf et sur la rivière de Seinne à nous appartenante... » (1723. Signature autographe : « Henry de Lorraine, duc d'Elbeuf. »).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Isle-Dieu (Ordre de Prémontré)

Elbeuf-sur-Seine.

H363 , 1212-1780 , Elbeuf-sur-Seine ; Isle-Dieu (Abbaye de), près Perruel ; Seine (La), fleuve  

Copie collationnée (XVIIe siècle) de la donation faite à l'abbaye par Jean de Préaux d'une rente annuelle de 10 livres qui lui avait été donnée par Robert, comte de Meulent, en récompense de ses services, et qui était assignée sur les revenus de la foire et de la prévôté d'Elbeuf-sur-Seine. Jean de Préaux déclare donner cette rente à l'abbaye en échange d'une rente d'égale valeur qu'il avait assignée douze ans auparavant au profit des religieux de l'Isle-Dieu sur ses moulins de [Revron ? ] (1212). Pièces de procédures, notes, correspondances et quittances concernant le payement de cette rente (XVIIe-XVIIIe siècles). Reconnaissance et revalidation de ladite rente par Henri de Lorraine, duc d'Elbeuf, pair de France : «... Nous avons reconnu, reconnaissons, revalidé et revalidons laditte partie de dix livres de rente affectée sur notre duché d'Elboeuf et sur la rivière de Seinne à nous appartenante... » (1723. Signature autographe : « Henry de Lorraine, duc d'Elbeuf. »).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Isle-Dieu (Ordre de Prémontré)

Copie collationnée d'un vidimus par l'Official de Rouen de la charte de Guillaume II de Flavacourt, archevêque de Rouen, concédant à Jean, seigneur d'Harcourt et à ses successeurs le droit d'administrer à leur gré l'Hôtel-Dieu de Brionne détruit par un incendie et que ledit Jean d'Harcourt avait fait reconstruire et se proposait de doter de nouveau (1295) : « Considerato quod domus Dei de Brionia, quae modici valoris erat et in magna paupertate fundata, fortuito incendio ad nihilum est redacta ; considerato insuper quod per nobilem virum dominum Johannem, dominum de Haricuria, nobiliter est reedificata et per ipsum de novo, prout nobis constat, amplissimis possessionibus, libertatibus et juribus erit dotata, dum tamen ipsi domino Johanni et hœredibus ac successoribus suis dominis de Hercuria et ab ipsis causam habituris dispositionem, ordinationem et correctionem ipsius domus et personarum laicarum ibidem existentium, cujuscumque status, sexus aut conditionis existant, penitus concedamus ac etiam dimittamus... Etc. » ; – lettres d'Henri de Lorraine, comte d'Harcourt et de Brionne, réglementant le fonctionnement de l'Hôtel-Dieu de Brionne et l'attribution des revenus affectés audit hôpital et à la chapelle Saint-Gilles. Ces lettres imposent aux religieuses l'obligation « de tenir petites escolles audit monastère pour l'instruction des filles dudit Briosne, d'entretenir deux chambres basses audit hôpital pour y héberger les pauvres et de payer par chacun an ès mains de nostre procureur fiscal vingt livres pour aider à leurs nécessitez... » (1643).

H1695 , 1295-1677 , Brionne ; Brionne (Hôtel-Dieu de) ; Saint-Gilles (Chapelle), sise à l'Hospice de Brionne  
Contexte :
Hospices et maladreries > Hôtel-Dieu de Brionne

Du 4 mars 1739 au 27 juillet 1750.

G246 , 1739-1750 , Artois (L') ; Picardie (La)  

« M. Estart a communiqué une lettre de la part de Monseigneur l'Évêque, écritte par M. son secrétaire, portante qu'il entend que le chapitre aye à faire faire deux confessioneaux dans l'église, sur quoy le chapitre a répondu que pareillle dépense ne se pouvoit faire, attendu qu'il n'y a point de fond ; a été surcis pour le restant de la lettre, vu que plusieurs MM. S'en estoient allés » (4 avril 1742) ; – sépulture de « feu messire Jacques David Alexis de Villeneuve de La Motte », doyen du chapitre, décédé le 5 février 1743 ; « son corps fut porté en la chapelle Saint-Michel dans le tombeau de M. Morestel ; –« M. Demirlavaud a fait part au chapitre qu'il avoit é té au Pont-de-l'Arche pour représenter à Monseigneur l'Intendant en présence de l'assemblée des garçons de Saint-Martin-la-Corneille mandés pour venir tirer à la milice, qu'il n'i avoit eu que le mauvais humeur des garçons de ladite paroisse qui avoit pu donner lieu à leur sindic de comprendre sur son rôle le clerc de la collégiale, aussi bien que son propre domestique, et qu'il avoit demandé à M. l'Intendant que notre collégiale comme paroisse fût désunie de celle de Saint-Martin ; sur quoi M. l'Intendant a ordonné qu'elle seroit désunie de laditte paroisse et qu'il en-voyeroit un mandement particulier pour La Saussaye comme paroisse » (27 septembre 1743) ; –« le 3° mai 1748 a été inhumé dans le chœur de notre église collégiale et paroissiale de Saint-Louis de La Saussaye le corps de très-haut et très-puissant seigneur Henry de Lorraine, duc d'Elbeuf, pair de France, lieutenant général des armées du Roy et gouverneur pour Sa Majesté des provinces de Picardie, Artois et Boullonnois, pays conquis et reconquis, mort de dymanche au matin 12e du présent mois, en son château d'Elbeuf, aagé de 87 ans. ».

Contexte :
Chapitre collégial de la Saussaye > Délibérations capitulaires

Du 4 mars 1739 au 27 juillet 1750.

G246 , 1739-1750 , Artois (L') ; Picardie (La)  

« M. Estart a communiqué une lettre de la part de Monseigneur l'Évêque, écritte par M. son secrétaire, portante qu'il entend que le chapitre aye à faire faire deux confessioneaux dans l'église, sur quoy le chapitre a répondu que pareillle dépense ne se pouvoit faire, attendu qu'il n'y a point de fond ; a été surcis pour le restant de la lettre, vu que plusieurs MM. S'en estoient allés » (4 avril 1742) ; – sépulture de « feu messire Jacques David Alexis de Villeneuve de La Motte », doyen du chapitre, décédé le 5 février 1743 ; « son corps fut porté en la chapelle Saint-Michel dans le tombeau de M. Morestel ; –« M. Demirlavaud a fait part au chapitre qu'il avoit é té au Pont-de-l'Arche pour représenter à Monseigneur l'Intendant en présence de l'assemblée des garçons de Saint-Martin-la-Corneille mandés pour venir tirer à la milice, qu'il n'i avoit eu que le mauvais humeur des garçons de ladite paroisse qui avoit pu donner lieu à leur sindic de comprendre sur son rôle le clerc de la collégiale, aussi bien que son propre domestique, et qu'il avoit demandé à M. l'Intendant que notre collégiale comme paroisse fût désunie de celle de Saint-Martin ; sur quoi M. l'Intendant a ordonné qu'elle seroit désunie de laditte paroisse et qu'il en-voyeroit un mandement particulier pour La Saussaye comme paroisse » (27 septembre 1743) ; –« le 3° mai 1748 a été inhumé dans le chœur de notre église collégiale et paroissiale de Saint-Louis de La Saussaye le corps de très-haut et très-puissant seigneur Henry de Lorraine, duc d'Elbeuf, pair de France, lieutenant général des armées du Roy et gouverneur pour Sa Majesté des provinces de Picardie, Artois et Boullonnois, pays conquis et reconquis, mort de dymanche au matin 12e du présent mois, en son château d'Elbeuf, aagé de 87 ans. ».

Contexte :
Chapitre collégial de la Saussaye > Délibérations capitulaires

Copie collationnée d'un vidimus par l'Official de Rouen de la charte de Guillaume II de Flavacourt, archevêque de Rouen, concédant à Jean, seigneur d'Harcourt et à ses successeurs le droit d'administrer à leur gré l'Hôtel-Dieu de Brionne détruit par un incendie et que ledit Jean d'Harcourt avait fait reconstruire et se proposait de doter de nouveau (1295) : « Considerato quod domus Dei de Brionia, quae modici valoris erat et in magna paupertate fundata, fortuito incendio ad nihilum est redacta ; considerato insuper quod per nobilem virum dominum Johannem, dominum de Haricuria, nobiliter est reedificata et per ipsum de novo, prout nobis constat, amplissimis possessionibus, libertatibus et juribus erit dotata, dum tamen ipsi domino Johanni et hœredibus ac successoribus suis dominis de Hercuria et ab ipsis causam habituris dispositionem, ordinationem et correctionem ipsius domus et personarum laicarum ibidem existentium, cujuscumque status, sexus aut conditionis existant, penitus concedamus ac etiam dimittamus... Etc. » ; – lettres d'Henri de Lorraine, comte d'Harcourt et de Brionne, réglementant le fonctionnement de l'Hôtel-Dieu de Brionne et l'attribution des revenus affectés audit hôpital et à la chapelle Saint-Gilles. Ces lettres imposent aux religieuses l'obligation « de tenir petites escolles audit monastère pour l'instruction des filles dudit Briosne, d'entretenir deux chambres basses audit hôpital pour y héberger les pauvres et de payer par chacun an ès mains de nostre procureur fiscal vingt livres pour aider à leurs nécessitez... » (1643).

H1695 , 1295-1677 , Brionne ; Brionne (Hôtel-Dieu de) ; Saint-Gilles (Chapelle), sise à l'Hospice de Brionne  
Contexte :
Hospices et maladreries > Hôtel-Dieu de Brionne

Aveux rendus par la fabrique à Jean de Sabrevois (1601), à Charles de Beaulieu (1652), barons du Bec-Thomas, à Anne de Nollent, dame de la Harengère (1671), à Henri de Lorraine, duc d'Elbeuf, « seigneur haut justicier de la rivière de Seine, depuis l'ombre du Pont-de-l'Arche jusqu'aux graviers d'Orival » (1718), au chapitre cathédral de Rouen (1743 et 1774), à Charles-François de Campion, seigneur de Limare (1761), à Marc-Antoine de Languedoc, marquis du Bec-Thomas (1768), à Nicolas-Vincent Laurent, curé de Cleuville, et à Pierre du Londel, héritiers de Thomas de Boissel, seigneur de la Harengère (1771), pour des terres relevant des seigneuries du Bec-Thomas, de la Harengère et du fief de Mandeville, membre dépendant du duché d'Elbeuf.

G732 , 1601-1774 , Bec-Thomas (Le) ; Bec-Thomas (Le) ; Claville ; Elbeuf ; Harengère (La) ; Harengère (La) ; Limare ; Mandeville ; Orival ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Harengère (La)

Aveux rendus par la fabrique à Jean de Sabrevois (1601), à Charles de Beaulieu (1652), barons du Bec-Thomas, à Anne de Nollent, dame de la Harengère (1671), à Henri de Lorraine, duc d'Elbeuf, « seigneur haut justicier de la rivière de Seine, depuis l'ombre du Pont-de-l'Arche jusqu'aux graviers d'Orival » (1718), au chapitre cathédral de Rouen (1743 et 1774), à Charles-François de Campion, seigneur de Limare (1761), à Marc-Antoine de Languedoc, marquis du Bec-Thomas (1768), à Nicolas-Vincent Laurent, curé de Cleuville, et à Pierre du Londel, héritiers de Thomas de Boissel, seigneur de la Harengère (1771), pour des terres relevant des seigneuries du Bec-Thomas, de la Harengère et du fief de Mandeville, membre dépendant du duché d'Elbeuf.

G732 , 1601-1774 , Bec-Thomas (Le) ; Bec-Thomas (Le) ; Claville ; Elbeuf ; Harengère (La) ; Harengère (La) ; Limare ; Mandeville ; Orival ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Harengère (La)

Déclarations et aveux rendus par la fabrique à Louis Le Carpentier, avocat au Parlement de Paris, « seigneur en sa partie du fief de Martot scis en la parroisse de Vraiville » (1691), à Henri de Lorraine, duc d'Elbeuf, pair de France, gouverneur et lieutenant général pour le Roi des provinces de Picardie et d'Artois, etc. (1720), à Thomas de Boissel, écuyer, seigneur de la Harengère (1754), au chapitre cathédral de Rouen, seigneur en partie de Fouqueville et de Mandeville (1755, 1774), à Pierre-Marc-Antoine de Languedor, chevalier, marquis de Becthomas (1768) et à Jean-Jacques-Pierre Quenet de Saint-Just, chevalier, seigneur et patron de Saint-Didier, conseiller honoraire en la grande chambre du Parlement de Normandie (1783), pour des terres relevant des fiefs de Martot et de la Harengère, du marquisat de Becthomas et des seigneuries de Mandeville et de Saint-Didier.

G1177 , 1691-1783 , Artois (L') ; Bec-Thomas (Le) ; Fouqueville ; Harengère (La) ; Mandeville ; Martot ; Paris (Parlement de) ; Picardie (La) ; Rouen (Chapitre Cathédral) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Didier-des-Bois ; Saint-Just ; Vraiville  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Didier-des-Bois

Déclarations et aveux rendus par la fabrique à Louis Le Carpentier, avocat au Parlement de Paris, « seigneur en sa partie du fief de Martot scis en la parroisse de Vraiville » (1691), à Henri de Lorraine, duc d'Elbeuf, pair de France, gouverneur et lieutenant général pour le Roi des provinces de Picardie et d'Artois, etc. (1720), à Thomas de Boissel, écuyer, seigneur de la Harengère (1754), au chapitre cathédral de Rouen, seigneur en partie de Fouqueville et de Mandeville (1755, 1774), à Pierre-Marc-Antoine de Languedor, chevalier, marquis de Becthomas (1768) et à Jean-Jacques-Pierre Quenet de Saint-Just, chevalier, seigneur et patron de Saint-Didier, conseiller honoraire en la grande chambre du Parlement de Normandie (1783), pour des terres relevant des fiefs de Martot et de la Harengère, du marquisat de Becthomas et des seigneuries de Mandeville et de Saint-Didier.

G1177 , 1691-1783 , Artois (L') ; Bec-Thomas (Le) ; Fouqueville ; Harengère (La) ; Mandeville ; Martot ; Paris (Parlement de) ; Picardie (La) ; Rouen (Chapitre Cathédral) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Didier-des-Bois ; Saint-Just ; Vraiville  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Didier-des-Bois

Déclarations et aveux rendus parla fabrique à Pierre Allorge, sieur des fiefs Au Brumentet de la Quièze (1611), à Marie Du Quesney. Curatrice d'Émery Du Quesney, fils de feu Robert Du Quesney, écuyer, sieur du fief de la Motte (1644), à Henri de Campion, seigneur des fiefs du Feucquerey et du Bosférey (1649, 1655), à Pierre Du Fey, chevalier, seigneur du fief de Freneuse réuni à celui de Boscherville (1657), aux enfants mineurs de feu Henri de Campion (1670), à Nicolas de Campion, seigneur du Thuit-Simer (1671), à Charles Le Veneur, chevalier, seigneur de Cesseville et de Crestot (1693), à Henri de Lorraine, pair de France, duc d'Elbeuf (1711), à Charles-Georges Puchot, chevalier, seigneur de Saint-Amand-des-Hautes-Terres (1733), à Pierre-Romain Jove, écuyer, seigneur de la Motte (1742), à Nicolas-François Du Resnel, seigneur de Beaumont ou vavassorerie d'Auge et du fief de Conches (1743,1783), à Charles-François de Campion, seigneur de Montpoignant, vavassorerie du Bosferey et fief de la Quièze (1743, 1783), à Jean-Baptiste-Charles Delarue, seigneur du fief de Freneuse (1754), à Nicolas Delux, écuyer, seigneur de Landemare (1757), à Louis-Brunot-Emmanuel de Motteville, chevalier, seigneur du Brument (1760), à Bénigne-Étienne-François Poret, chevalier, seigneur de Saint-Amand-des-Hautes-Terres (1761), et à François Cécile, seigneur de la Motte (1764), pour des terres appartenant à la fabrique et relevant desdits fiefs et seigneuries.

G1325 , 1611-1783 , Au Brument (fief) ; Auge (le pays d') ; Beaumont-le-Roger (ville de) ; Boscherville ; Bosférey (le), fief ; Cesseville ; Conches ; Crestot ; Feucquerey (Le), fief ; Freneuse-la-Rivière ; Landemare ; Montpoignant ; Motte (fief de La) ; Quièze (La), fief ; Saint-Amand-des-Hautes-Terres ; Thuit-Signol (Le) ; Thuit-Simer (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Signol (Le)

Déclarations et aveux rendus parla fabrique à Pierre Allorge, sieur des fiefs Au Brumentet de la Quièze (1611), à Marie Du Quesney. Curatrice d'Émery Du Quesney, fils de feu Robert Du Quesney, écuyer, sieur du fief de la Motte (1644), à Henri de Campion, seigneur des fiefs du Feucquerey et du Bosférey (1649, 1655), à Pierre Du Fey, chevalier, seigneur du fief de Freneuse réuni à celui de Boscherville (1657), aux enfants mineurs de feu Henri de Campion (1670), à Nicolas de Campion, seigneur du Thuit-Simer (1671), à Charles Le Veneur, chevalier, seigneur de Cesseville et de Crestot (1693), à Henri de Lorraine, pair de France, duc d'Elbeuf (1711), à Charles-Georges Puchot, chevalier, seigneur de Saint-Amand-des-Hautes-Terres (1733), à Pierre-Romain Jove, écuyer, seigneur de la Motte (1742), à Nicolas-François Du Resnel, seigneur de Beaumont ou vavassorerie d'Auge et du fief de Conches (1743,1783), à Charles-François de Campion, seigneur de Montpoignant, vavassorerie du Bosferey et fief de la Quièze (1743, 1783), à Jean-Baptiste-Charles Delarue, seigneur du fief de Freneuse (1754), à Nicolas Delux, écuyer, seigneur de Landemare (1757), à Louis-Brunot-Emmanuel de Motteville, chevalier, seigneur du Brument (1760), à Bénigne-Étienne-François Poret, chevalier, seigneur de Saint-Amand-des-Hautes-Terres (1761), et à François Cécile, seigneur de la Motte (1764), pour des terres appartenant à la fabrique et relevant desdits fiefs et seigneuries.

G1325 , 1611-1783 , Au Brument (fief) ; Auge (le pays d') ; Beaumont-le-Roger (ville de) ; Boscherville ; Bosférey (le), fief ; Cesseville ; Conches ; Crestot ; Feucquerey (Le), fief ; Freneuse-la-Rivière ; Landemare ; Montpoignant ; Motte (fief de La) ; Quièze (La), fief ; Saint-Amand-des-Hautes-Terres ; Thuit-Signol (Le) ; Thuit-Simer (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Signol (Le)
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