Toutes les ressources Paris (Parlement de) 56 résultats (14ms)

Déclaration et aveux rendus par la fabrique, par Charles de Villers (1716) et par Jacques-Vincent-Edmond Derson-Duplessis (1756), curés de la paroisse, à Antoine Portail, président à mortier au parlement de Paris, seigneur du Vaudreuil, Léry et dépendances (1716), à l'abbaye de Bonport, possédant le fief de l'Eau, « qui consiste dans la moitié de la rivière de Seine, à prendre du côté de la ville du Pont-de-l'Arche, depuis le pont de ladite ville jusqu'au fossé de Lormaye », et à Anne-Louis-Roger de Becdelièvre, seigneur du Port-Pinché (1773), pour les terres de la fabrique et de la cure relevant de la seigneurie du Vaudreuil et des fiefs de l'Eau et du Port-Pinché, « lequel s'étend ès paroisses de Portejoie, Tournedos, Poses, Saint-Pierre et Saint-Étienne de Vauvray, Notre-Dame du Vaudreuil, Saint-Ouen de Léry et ès environs ; » – donations de terres à la fabrique par Louis Legendre, au nom de Mathieu Legendre, son père, et par Jean Morel ; – bail de onze pièces de terres appartenant à la fabrique, affermées pour le prix total de 33 livres en 1669.

G1352 , 1690-1773 , Bon-Port (abbaye de) ; Léry ; Lormay (lieu-dit), à Pont-de-l'Arche ; Paris (Parlement de) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Porte-Joie ; Port-Pinché (Le), fief ; Poses ; Saint-Etienne-du-Vauvray ; Saint-Pierre-du-Vauvray ; Tournedos-sur-Seine ; Vaudreuil (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Tournedos-sur-Seine

Donations de terres à la fabrique par Raimond Mamonnver, Pierre Largemain et consorts, Louis et Guillaume Le Blanc, demoiselle Le Cerf, veuve de Jacques Dumontier, Nicolas « Flustault », curé de Lorey (1662), Louis Hochon, Nicolas « Voyssin » et Nicolas Le Gris ; – procès-verbal d'arpentage des terres de la fabrique ; – contrats d'acquisition de terres sises à Lorey et à Breuilpont, triège de la Chapelle-Marlin, par Guillaume de Nesmond, « grand président en la cour de parlement à Paris », et François de Nesmond, évêque de Bayeux, « pour faire partie de la fondation faicle par feu Monsieur de Nesmond de Sainct-Disant, en son vivant intendant en la province de Limoges, frère desdits seigneurs, au trésor et fabrique de Lorey » (1680).

G848 , 1592-1719 , Breuilpont ; Chapelle-Martin (La), triège à Breuilpont ; Limoges ; Lorey ; Paris (Parlement de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Lorey

Aveux et copies d'aveux rendus par la fabrique à Anne d'Antery, veuve de Pierre de Mornay (1607), à Pierre de Mornay (1615), à Alexandre de Nojon (1647), à Pierre de Nojon (1693), à Alexis Le Blanc (1694), à Jacques Paul Anffrye (1734), à Nicolas Jubert de Bouville (1744), à Claude Daniel, marquis du Bois-d'Ennemets (1756), à Jacques Abraham Anffrye (1761), à Nicolas Le Febvre de Dampierre, avocat au parlement de Paris (1770), pour des terres relevant des seigneuries de Buhy, Cantiers, Fontenay, Le Bois-d'Ennemets et Les Thilliers.

G481 , 1607-1770 , Bois des Ennemets (marquisat de) ; Cantiers ; Dampierre ; Fontenay ; Paris (Parlement de) ; Tilliers (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Cantiers

Déclarations et aveux rendus par la fabrique à Louis Le Carpentier, avocat au Parlement de Paris, « seigneur en sa partie du fief de Martot scis en la parroisse de Vraiville » (1691), à Henri de Lorraine, duc d'Elbeuf, pair de France, gouverneur et lieutenant général pour le Roi des provinces de Picardie et d'Artois, etc. (1720), à Thomas de Boissel, écuyer, seigneur de la Harengère (1754), au chapitre cathédral de Rouen, seigneur en partie de Fouqueville et de Mandeville (1755, 1774), à Pierre-Marc-Antoine de Languedor, chevalier, marquis de Becthomas (1768) et à Jean-Jacques-Pierre Quenet de Saint-Just, chevalier, seigneur et patron de Saint-Didier, conseiller honoraire en la grande chambre du Parlement de Normandie (1783), pour des terres relevant des fiefs de Martot et de la Harengère, du marquisat de Becthomas et des seigneuries de Mandeville et de Saint-Didier.

G1177 , 1691-1783 , Artois (L') ; Bec-Thomas (Le) ; Fouqueville ; Harengère (La) ; Mandeville ; Martot ; Paris (Parlement de) ; Picardie (La) ; Rouen (Chapitre Cathédral) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Didier-des-Bois ; Saint-Just ; Vraiville  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Didier-des-Bois

Déclaration et aveux rendus par la fabrique, par Charles de Villers (1716) et par Jacques-Vincent-Edmond Derson-Duplessis (1756), curés de la paroisse, à Antoine Portail, président à mortier au parlement de Paris, seigneur du Vaudreuil, Léry et dépendances (1716), à l'abbaye de Bonport, possédant le fief de l'Eau, « qui consiste dans la moitié de la rivière de Seine, à prendre du côté de la ville du Pont-de-l'Arche, depuis le pont de ladite ville jusqu'au fossé de Lormaye », et à Anne-Louis-Roger de Becdelièvre, seigneur du Port-Pinché (1773), pour les terres de la fabrique et de la cure relevant de la seigneurie du Vaudreuil et des fiefs de l'Eau et du Port-Pinché, « lequel s'étend ès paroisses de Portejoie, Tournedos, Poses, Saint-Pierre et Saint-Étienne de Vauvray, Notre-Dame du Vaudreuil, Saint-Ouen de Léry et ès environs ; » – donations de terres à la fabrique par Louis Legendre, au nom de Mathieu Legendre, son père, et par Jean Morel ; – bail de onze pièces de terres appartenant à la fabrique, affermées pour le prix total de 33 livres en 1669.

G1352 , 1690-1773 , Bon-Port (abbaye de) ; Léry ; Lormay (lieu-dit), à Pont-de-l'Arche ; Paris (Parlement de) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Porte-Joie ; Port-Pinché (Le), fief ; Poses ; Saint-Etienne-du-Vauvray ; Saint-Pierre-du-Vauvray ; Tournedos-sur-Seine ; Vaudreuil (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Tournedos-sur-Seine

Donations de terres à la fabrique par Raimond Mamonnver, Pierre Largemain et consorts, Louis et Guillaume Le Blanc, demoiselle Le Cerf, veuve de Jacques Dumontier, Nicolas « Flustault », curé de Lorey (1662), Louis Hochon, Nicolas « Voyssin » et Nicolas Le Gris ; – procès-verbal d'arpentage des terres de la fabrique ; – contrats d'acquisition de terres sises à Lorey et à Breuilpont, triège de la Chapelle-Marlin, par Guillaume de Nesmond, « grand président en la cour de parlement à Paris », et François de Nesmond, évêque de Bayeux, « pour faire partie de la fondation faicle par feu Monsieur de Nesmond de Sainct-Disant, en son vivant intendant en la province de Limoges, frère desdits seigneurs, au trésor et fabrique de Lorey » (1680).

G848 , 1592-1719 , Breuilpont ; Chapelle-Martin (La), triège à Breuilpont ; Limoges ; Lorey ; Paris (Parlement de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Lorey

Déclarations et aveux rendus par la fabrique à Louis Le Carpentier, avocat au Parlement de Paris, « seigneur en sa partie du fief de Martot scis en la parroisse de Vraiville » (1691), à Henri de Lorraine, duc d'Elbeuf, pair de France, gouverneur et lieutenant général pour le Roi des provinces de Picardie et d'Artois, etc. (1720), à Thomas de Boissel, écuyer, seigneur de la Harengère (1754), au chapitre cathédral de Rouen, seigneur en partie de Fouqueville et de Mandeville (1755, 1774), à Pierre-Marc-Antoine de Languedor, chevalier, marquis de Becthomas (1768) et à Jean-Jacques-Pierre Quenet de Saint-Just, chevalier, seigneur et patron de Saint-Didier, conseiller honoraire en la grande chambre du Parlement de Normandie (1783), pour des terres relevant des fiefs de Martot et de la Harengère, du marquisat de Becthomas et des seigneuries de Mandeville et de Saint-Didier.

G1177 , 1691-1783 , Artois (L') ; Bec-Thomas (Le) ; Fouqueville ; Harengère (La) ; Mandeville ; Martot ; Paris (Parlement de) ; Picardie (La) ; Rouen (Chapitre Cathédral) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Didier-des-Bois ; Saint-Just ; Vraiville  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Didier-des-Bois

Aveux et copies d'aveux rendus par la fabrique à Anne d'Antery, veuve de Pierre de Mornay (1607), à Pierre de Mornay (1615), à Alexandre de Nojon (1647), à Pierre de Nojon (1693), à Alexis Le Blanc (1694), à Jacques Paul Anffrye (1734), à Nicolas Jubert de Bouville (1744), à Claude Daniel, marquis du Bois-d'Ennemets (1756), à Jacques Abraham Anffrye (1761), à Nicolas Le Febvre de Dampierre, avocat au parlement de Paris (1770), pour des terres relevant des seigneuries de Buhy, Cantiers, Fontenay, Le Bois-d'Ennemets et Les Thilliers.

G481 , 1607-1770 , Bois des Ennemets (marquisat de) ; Cantiers ; Dampierre ; Fontenay ; Paris (Parlement de) ; Tilliers (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Cantiers

« Déclaration que baillent Pierre Le Prestre et Charles Papavoine, fils de Toussaint, trésoriers de présent en charge de l'églize paroissiale de Saint-Estienne de Vauvray, à Charles de Farouil Boude ville, escuyer, seigneur du fief, terre et seigneurie dudit lieu, scis dans la dite parroisse Saint-Estienne de Vauvray, chevalier de l'ordre royal de Saint-Louis et lieutenant du Boy au gouvernement du château de Joux et ville de Pontarelier, frontière de Franche-Comté, des héritages appartenant et despendants du dit trésor, rellevant du dit fief de Boudeville, à la représentation de Monsieur le Marquis de La Londe pour partye de son fief et seigneurie de la Salle du Bois, assizes et scituées en la dite paroisse Saint-Estienne de Vauvray » (1703) ; – aveu rendu par la fabrique à Jean-Louis Portail, chevalier, président à mortier honoraire du parlement de Paris, seigneur châtelain, haut justicier des terres et châtellenie du Vaudreuil, Léry, La Salle-du-Bois, Boudeville, La Motte, Mesgremont, La Heuse, Montpoignant, Bonport et Royaumont, baron de Bouille, marquis de Sainte-Vau-bourg et autres lieux », pour le terrain de l'église, le cimetière et les terres de la fabrique relevant de la châtellenie et haute justice du Vaudreuil, Léry et fiefs y joints (1761).

G1184 , 1703-1761 , Bon-Port (abbaye de) ; Bouillé (Baronnie) ; Franche-Comté (La) ; Heuze (le fief de La) ; Léry ; Mesgremont (fief de) ; Montpoignant ; Motte (fief de La) ; Paris (Parlement de) ; Pontarlier ; Royaumont (abbaye de) ; Saint-Etienne-du-Vauvray ; Salle-du-Bois (fief à Saint-Etienne-du-Vauvray) ; Vaudreuil (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Étienne-du-Vauvray

Biens du chapitre situés à Écouis.

G228 , 1333-1762 , Abatiz (Les), triège d'Evreux ; Aumesnil (seigneurie d') ; Ecouis (Maison du Dauphin, au carrefour devant l'église) ; Fay (fief du, à Ecouis) ; Oricher (fief d', à Ecouis) ; Paris (Parlement de) ; Perron (Seigneurie du) ; Port-Dieu (La), triège à Ecouis ; Risly (triège à Ecouis) ; Rosay ; Touffreville ; Villerets ; Villers (fief de), à Ecouis  

Vente par Pierre Le Charpentier et Maheut, sa femme, de la paroisse de Rosny, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 9 sous et 10 deniers tournois assignée sur une maison située dans la paroisse d'Écouis, pour le prix de 4 livres parisis (1333) ; – copie d'un bail à rente d'une masure et de ses dépendances situées a Écouis, passé par Mahyet Le Corayet et Maheut, sa femme, à Guillaume Bardicon et à Jeanne, sa femme, à la charge pour les preneurs de payer chaque année au chapitre d'Écouis une rente de 16 sous parisis (1357) ; – copie de l'acte de fondation par « hault et puissant signeur Mre Alebert de Rousselet, chevallier, gentilhomme ordinaire de la chanbre du Roy, cappitaine de cinquante hommes d'armes de ses ordonnances, sieur de La Part Dieu, Risly, Les Abatiz et Villerets en partye, et dame Magalonne Le Mareschal, son espouze », de treize obits solennels et. De 52 messes basses dans l'église collégiale d'Écouis, « moyennant la somme de 117 livres tournois réduits à 39 escus sol de rente » assignés sur des terres situées dans « les dîmages d'Écouis, Touffreville et ès environs », « laquelle fondation sera appelée et nommée la fondation de messire Charles de Gondy, marquis de Belle-Isle » (17 décembre 1598) ; – bail à ferme passé par le chapitre d'Écouis à Michel Lefebvre, de 14 acres de terres labourables « assises au dixmage d'Escouis et Touffreville », pour le prix annuel de 125 livres (1661) ; – aveux rendus par le chapitre à « haulte et puissante dame Marie-Catherine-Madeleine Paviot de La Hautteville, épouse civilement séparée d'avec messire Nicolas de Frémont, chevalier, seigneur d'Aumesnil, conseiller du Roy, président honoraire en la première chambre des enquêtes du Parlement de Paris, de 18 pièces de terre sises en la paroisse d'Écouis et relevant des fiefs du Fay, de Villers et d'Oricher » (1762) ; – transaction passée entre le chapitre d'Ëcouis et Nicolas de La Grange, relativement au payement de la somme de 400 livres due par ce dernier pour huit années d'arrérages d'une rente annuelle de 50 livres sur la maison du Dauphin à Écouis (17 avril 1626) ; – contrat de révalidation consenti au profit du chapitre et fabrique de l'église collégiale d Écouis, par Pierre Antoine d'Hostel, écuyer, sieur du Perron, seigneur du Fay, par Izambart et Michel d'Hostel du Perron, ses frères, d'une rente foncière de 50 livres et d'une rente seigneuriale et foncière de 66 sols pour fieffe d'héritage consistant en une maison assise à Écouis, nommée Le Dauphin, au carrefour devant l'église (23 décembre 1739).

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Gisors et Chambords.

H1570 , 1630-1787 , Bois-Gilloud (fief du) ; Cantiers-les-Gisors ; Côte-de-la-Baleine (lieu-dit à Gisors) ; Croix-Blanche (fief de la) ; Gisors ; Gisors, Les Ursulines ; Grange-Cercelle (La), fief sis à Gisors ; Mont-de-l'Aigle (fief du) ; Paris (Hôtel de Ville de) ; Paris (Parlement de) ; Proustière (fief de la)  

Donation aux Ursulines de Gisors par Anne Noël, veuve de Jean Langlois le jeune, de cinq arpents de terre situés à Gisors, lieu dit la Côte-de-la-Baleine (1635) ; — aveux rendus par les Ursulines à François Gourreau, chevalier, « seigneur de la Proustière, le Boisgilloud et autres terres et seigneuries », président au parlement de Paris (1681-1687), et à Guillaume de la Boissière, chevalier, comte de Chambords, « seigneur dudit lieu, la Grange-Cercelle et autres terres et seigneuries » (1681), pour des terres situées à Gisors et à Chambords et relevant du fief de Boisgeloup et de la seigneurie de Chambords ; — donation aux Ursulines par Jean Dehors, prêtre, leur confesseur, de dix arpents quatre perches et demie de terre situés à Boisgeloup et à Chambords (1689) ; — aveux rendus par les Ursulines à Rémi Lempereur, écuyer, seigneur de Cantiers (1703), à François Roualle, écuyer, trésorier général et payeur des rentes de l'Hôtel-de-Ville de Paris, seigneur de Boisgeloup (1713), à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur comte de Chambors, la Grange-Cercelle, Gisors en partie, le Mont-de-l'Aigle, la Croix-Blanche et autres lieux » (1747), à Charles du Cornet, écuyer, greffier en chef de la Chambre des Comptes de Paris, seigneur de Cantiers (1758) et à Pierre-Michel Lefebvre, écuyer, seigneur de Cantiers (1767), pour leurs terres de Gisors et de Chambords.

Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Ursulines de Gisors

Requête adressée par les habitants de Tournedos à l'Intendant de la généralité de Rouen à l'effet d'être déchargés d'« un droit de fouage et monnéage à raison de deux sols par feu pour six années », dont la levée sur leur paroisse avait été ordonnée à la requête du fermier du domaine de Pont-de-l'Arche ; « et comme lesdits habitants n'ont jamais payé en leur paroisse lesdits droits de fouage demandés, ainsy que touttes les autres paroisses de la dépendance de la chastellenye du Vaudreuil, dont elle fait partie, et par conséquent sont exempts de ce droit aux termes de la coutume de cette province de Normandie, article 77, ils sont obligés de vous présenter leur requeste ». (La requête est suivie de l'ordonnance de décharge accordée par l'intendant, 1726) ; – exploit de signification aux habitants de la paroisse de Tournedos des lettres patentes de Louis XV, de mars 1748, confirmant l'accord intervenu le 18 février précédent entre l'abbaye de Bonport et Jean-Louis Portail, seigneur du Vaudreuil et de Léry, président honoraire au parlement de Paris, accord par lequel « les sieurs abbé commendataire, prieur et religieux de Bonport ont entre autres choses abandonné et délaissé audit seigneur, moyennant une rente foncière non rachetable, ensemble aux autres closes et conditions y portées, le fief et seigneurie de Bonport, scitué en la paroisse de Léry, le moulin à eau de Languemare, la pleine et entière directe et mouvance sur l'isle Adeline, celle de Noyers y jointe et autres isles quy ont été réunies par attérissement, ensemble les domaines fieffés scitués dans lesdites isles, terres, prés, pescherie, rentes féodales et seigneuriales, leurs circonstances et dépendances » ; – exploits signifiés à la requête des habitants de Tournedos au sieur Quesnevilie, contre-maître du bateau La Fidèle, qui refusait de leur payer le prix de leurs peines, pour avoir, concurremment avec les habitants de Poses, halé ledit bateau remontant la Seine jusqu'au pertuisde Pampou (1749. – Les habitants de Tournedos prétendaient fournir seuls, à l'exclusion des habitants de Poses le renfort nécessaire pour haler les bateaux jusqu'au pertuis de Pampou) ; – accord passé entre les habitants de Tournedos et Louis-Gabriel De Conflans, lieutenant général de la Haute-Guyenne, gouverneur de Neuf-Brisach, commandant pour le Roi en Lorraine, seigneur du Vaudreuil et de Léry, La Salle du Bois, Poses, Tournedos, etc., demeurant ordinairement à Paris, en son hôtel, rue de Taranne, paroisse Saint-Sulpice, étant ce jour en son château de La Motte, paroisse de Notre-Dame-du-Vaudreuil, agissant en son nom et au nom d'Antoinette-Madeleine-Jeanne Portail, son épouse, d'une part, Jacques Grimoult, conseiller du Roi en l'élection d'Andely, Vernon et Gournay et lieutenant en la maîtrise des Eaux-et-Forêts d'Andely et Vernon, et Nicolas-François Houssard de la Potterie, président en l'élection de Pont-de-l'Arche, agissant tant en leur qualité de propriétaires à Tournedos et à Notre-Dame-du-Vaudreuil que comme fondés de pouvoirs de plusieurs propriétaires de Tournedos, de Poses et de Notre-Dame-du-Vaudreuil, « lesquels ont dit que de temps immémorial et par titres authentiques ledit seigneur marquis de Conflans et Messieurs ses prédécesseurs en la propriété des terres et châtellenie du Vaudreuil, Tournedos et autres fiefs unis à cette châtellenie, sont en pleine et paisible possession d'un droit de fort aux lapins servant de garenne assise en la ditte paroisse de Tournedos, au triége du Buquet, d'où les lapins s'extendent sur partie des dites paroisses de Poses et de Notre-Dame-du-Vaudreuil ; que ce droit, incontestablement attaché à la ditte châtellenie, est également utile et honorable aux seigneurs du Vaudreuil et qu'ils en ont joui jusqu'à présent, quoique très onéreux aux propriétaires et cultivateurs des fonds y assujettis, par ceux même qui en recevoient le plus de préjudice, parce que ce droit est en la main des seigneurs du Vaudreuil une propriété autant respectable que l'est en la main des vassaux la propriété de leurs fonds et terrains. Cependant il est certain que ce même droit étant éteint et anéanti, beaucoup de pièces de terre, du nombre de celles qui en doivent supporter la charge, qui ont été abandonnées par les propriétaires et qui depuis longtemps n'ont point été cultivées, parce que les lapins en dévastaient les fruits, ce qui faisoit aux cultivateurs le prix de leurs dépenses et la récompense due à leurs soins, pourront être utilement cultivées et mises en valeur. Il est également certain que celles même des dites terres qui, étant plus éloignées du dit fort, en reçoivent un moindre dommage, seront d'un plus grand rapport et pour le propriétaire et pour le fermier. Enfin il estvray de dire que, par l'abolition absolue du droit, le cultivateur, animé par l'espérance de récoltes qui répondront à ses soins, à ses travaux et à son industrie, et encouragé par l'espoir du profit auquel il auroit droit de s'attendre, se donnera tout entier à la culture et à l'amélioration de ses terres, ce qui produirait en même temps le bien de l'État par l'accroissement des impositions, celuy du propriétaire par le plus haut prix qu'il tirera de sa ferme, et l'avantage du fermier par le plus d'abondance de ses récoltes... Monsieur le marquis de Gonflans, quoique fort attaché au dit droit, qui est une des plus belles et des principales prérogatives de la châtellenie, tant pour l'utilité que pour l'honorifique, sensible aux désordres dont ce droit est le principe et la cause, considérant jusqu'à quel pointu est désastreux pour un grand nombre de ses vassaux et préférant le bien commun à son utilité particulière, a bien voulu, ayant égard aux représentations qui luy ont été faittes, consentir et faire le sacrifice du dit droit et se contenter de l'indemnité qui luy est proposée par les dits sieurs propriétaires, par l'engagement en l'obligation qu'ils prendront, pour eux et pour leurs sucesseurs à toujours, de la redevance d'un champart envers la châtellenie du Vaudreuil ». Le droit de champart, consenti, et établi par le présent accord, et consistant dans la douzième partie de tous fruits, grains, foins, bois et récoltes que produiront les fonds enclavés dans la garenne de Tournedos et dans ses extensions, est évalué à la somme de 10,000 livres de principal (1779).

G1356 , 1726-1780 , Adeline (L'Isle) ; Bacqueville ; Bon-Port (abbaye de) ; Buquet (Triège du), à Tournedos ; Gournay ; Haute-Guyenne (La) ; Languemare (Moulin de) ; Lorraine ; Motte (La), hameau à Notre-Dame du Vaudreuil ; Neufbrisach ; Notre-Dame-du-Vaudreuil ; Noyers (Les), hameaux Andelys ; Noyers (l'ile des) ; Pampou (le pertuis) ; Paris (Parlement de) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Poses ; Salle-du-Bois (fief à Saint-Etienne-du-Vauvray) ; Tournedos ; Vernon (Ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Tournedos-sur-Seine

Biens du chapitre situés à Écouis.

G228 , 1333-1762 , Abatiz (Les), triège d'Evreux ; Aumesnil (seigneurie d') ; Ecouis (Maison du Dauphin, au carrefour devant l'église) ; Fay (fief du, à Ecouis) ; Oricher (fief d', à Ecouis) ; Paris (Parlement de) ; Perron (Seigneurie du) ; Port-Dieu (La), triège à Ecouis ; Risly (triège à Ecouis) ; Rosay ; Touffreville ; Villerets ; Villers (fief de), à Ecouis  

Vente par Pierre Le Charpentier et Maheut, sa femme, de la paroisse de Rosny, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 9 sous et 10 deniers tournois assignée sur une maison située dans la paroisse d'Écouis, pour le prix de 4 livres parisis (1333) ; – copie d'un bail à rente d'une masure et de ses dépendances situées a Écouis, passé par Mahyet Le Corayet et Maheut, sa femme, à Guillaume Bardicon et à Jeanne, sa femme, à la charge pour les preneurs de payer chaque année au chapitre d'Écouis une rente de 16 sous parisis (1357) ; – copie de l'acte de fondation par « hault et puissant signeur Mre Alebert de Rousselet, chevallier, gentilhomme ordinaire de la chanbre du Roy, cappitaine de cinquante hommes d'armes de ses ordonnances, sieur de La Part Dieu, Risly, Les Abatiz et Villerets en partye, et dame Magalonne Le Mareschal, son espouze », de treize obits solennels et. De 52 messes basses dans l'église collégiale d'Écouis, « moyennant la somme de 117 livres tournois réduits à 39 escus sol de rente » assignés sur des terres situées dans « les dîmages d'Écouis, Touffreville et ès environs », « laquelle fondation sera appelée et nommée la fondation de messire Charles de Gondy, marquis de Belle-Isle » (17 décembre 1598) ; – bail à ferme passé par le chapitre d'Écouis à Michel Lefebvre, de 14 acres de terres labourables « assises au dixmage d'Escouis et Touffreville », pour le prix annuel de 125 livres (1661) ; – aveux rendus par le chapitre à « haulte et puissante dame Marie-Catherine-Madeleine Paviot de La Hautteville, épouse civilement séparée d'avec messire Nicolas de Frémont, chevalier, seigneur d'Aumesnil, conseiller du Roy, président honoraire en la première chambre des enquêtes du Parlement de Paris, de 18 pièces de terre sises en la paroisse d'Écouis et relevant des fiefs du Fay, de Villers et d'Oricher » (1762) ; – transaction passée entre le chapitre d'Ëcouis et Nicolas de La Grange, relativement au payement de la somme de 400 livres due par ce dernier pour huit années d'arrérages d'une rente annuelle de 50 livres sur la maison du Dauphin à Écouis (17 avril 1626) ; – contrat de révalidation consenti au profit du chapitre et fabrique de l'église collégiale d Écouis, par Pierre Antoine d'Hostel, écuyer, sieur du Perron, seigneur du Fay, par Izambart et Michel d'Hostel du Perron, ses frères, d'une rente foncière de 50 livres et d'une rente seigneuriale et foncière de 66 sols pour fieffe d'héritage consistant en une maison assise à Écouis, nommée Le Dauphin, au carrefour devant l'église (23 décembre 1739).

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

« Déclaration que baillent Pierre Le Prestre et Charles Papavoine, fils de Toussaint, trésoriers de présent en charge de l'églize paroissiale de Saint-Estienne de Vauvray, à Charles de Farouil Boude ville, escuyer, seigneur du fief, terre et seigneurie dudit lieu, scis dans la dite parroisse Saint-Estienne de Vauvray, chevalier de l'ordre royal de Saint-Louis et lieutenant du Boy au gouvernement du château de Joux et ville de Pontarelier, frontière de Franche-Comté, des héritages appartenant et despendants du dit trésor, rellevant du dit fief de Boudeville, à la représentation de Monsieur le Marquis de La Londe pour partye de son fief et seigneurie de la Salle du Bois, assizes et scituées en la dite paroisse Saint-Estienne de Vauvray » (1703) ; – aveu rendu par la fabrique à Jean-Louis Portail, chevalier, président à mortier honoraire du parlement de Paris, seigneur châtelain, haut justicier des terres et châtellenie du Vaudreuil, Léry, La Salle-du-Bois, Boudeville, La Motte, Mesgremont, La Heuse, Montpoignant, Bonport et Royaumont, baron de Bouille, marquis de Sainte-Vau-bourg et autres lieux », pour le terrain de l'église, le cimetière et les terres de la fabrique relevant de la châtellenie et haute justice du Vaudreuil, Léry et fiefs y joints (1761).

G1184 , 1703-1761 , Bon-Port (abbaye de) ; Bouillé (Baronnie) ; Franche-Comté (La) ; Heuze (le fief de La) ; Léry ; Mesgremont (fief de) ; Montpoignant ; Motte (fief de La) ; Paris (Parlement de) ; Pontarlier ; Royaumont (abbaye de) ; Saint-Etienne-du-Vauvray ; Salle-du-Bois (fief à Saint-Etienne-du-Vauvray) ; Vaudreuil (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Étienne-du-Vauvray

Gisors et Chambords.

H1570 , 1630-1787 , Bois-Gilloud (fief du) ; Cantiers-les-Gisors ; Côte-de-la-Baleine (lieu-dit à Gisors) ; Croix-Blanche (fief de la) ; Gisors ; Gisors, Les Ursulines ; Grange-Cercelle (La), fief sis à Gisors ; Mont-de-l'Aigle (fief du) ; Paris (Hôtel de Ville de) ; Paris (Parlement de) ; Proustière (fief de la)  

Donation aux Ursulines de Gisors par Anne Noël, veuve de Jean Langlois le jeune, de cinq arpents de terre situés à Gisors, lieu dit la Côte-de-la-Baleine (1635) ; — aveux rendus par les Ursulines à François Gourreau, chevalier, « seigneur de la Proustière, le Boisgilloud et autres terres et seigneuries », président au parlement de Paris (1681-1687), et à Guillaume de la Boissière, chevalier, comte de Chambords, « seigneur dudit lieu, la Grange-Cercelle et autres terres et seigneuries » (1681), pour des terres situées à Gisors et à Chambords et relevant du fief de Boisgeloup et de la seigneurie de Chambords ; — donation aux Ursulines par Jean Dehors, prêtre, leur confesseur, de dix arpents quatre perches et demie de terre situés à Boisgeloup et à Chambords (1689) ; — aveux rendus par les Ursulines à Rémi Lempereur, écuyer, seigneur de Cantiers (1703), à François Roualle, écuyer, trésorier général et payeur des rentes de l'Hôtel-de-Ville de Paris, seigneur de Boisgeloup (1713), à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur comte de Chambors, la Grange-Cercelle, Gisors en partie, le Mont-de-l'Aigle, la Croix-Blanche et autres lieux » (1747), à Charles du Cornet, écuyer, greffier en chef de la Chambre des Comptes de Paris, seigneur de Cantiers (1758) et à Pierre-Michel Lefebvre, écuyer, seigneur de Cantiers (1767), pour leurs terres de Gisors et de Chambords.

Contexte :
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