Toutes les ressources Evreux (Chapitre d') 28 résultats (13ms)

Bois de l'abbaye.

H282 , 1286-1673 , Acquigny ; Cailly-sur-Eure ; Conches, Abbaye de Saint-Pierre et Saint-Paul-de-Castillon-les-Conches ; Croix-Saint-Leufroy (La), abbaye ; Evreux (Chapitre d') ; Renard (le bois), sis à Cailly ; Ricamartin (les bois), sis à Cailly ; Vaumorin (Les Bois), sis à Cailly  

Accord entre l'abbaye de Conches et l'abbaye de la Croix-Saint-Leu-froi, faisant choix de Pierre de Platano, chanoine d'Évreux, en qualité d'arbitre chargé de trancher le différend soulevé entre les deux abbayes au sujet de leurs droits respectifs sur le bois appartenant à l'abbaye de la Croix à Cailly (1386) ; sentence arbitrale prononcée par Pierre de Platano, chanoine d'Évreux, arbitre désigné en vertu de l'accord précédent : les religieux de la Croix sont condamnés à payer a ceux de Conches une somme de 15 livres tournois ; en retour, ils sont déchargés du droit prétendu par l'abbaye de Conches de prendre dans leur bois de Cailly le bois nécessaire à la réparation du gord que lesdits religieux de Conches possédaient à Acquigny (1288) ; — « factum pour messieurs les abbé et religieux de l'abbaye de la Croix-Saint-Leufroy contre monsieur le procureur du Roy de la commission des droits de tiers et danger des bois, prétendant y assujetir ceux de ladicte abbaye, quoique de tous temps immémorial en ayent esté exempts... Ce factum a été dressé par Monsieur Marin, religieux de ladite abbaye, docteur en théologie de la faculté de Paris et prieur de Venables, le 24 avril 1673 ». Ce mémoire, où sont discutées la validité et l'interprétation des titres de donation sur lesquels s'appuyait l'abbaye, concerne « le Bois Renard, contenant 35 acres moins 5 perches » sis à Cailly, et les bois « dits Ricamartin et Vaumorin, situés deçà la rivière d'Eure ».

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de la Croix-Saint-Leufroi (Ordre de Saint-Benoît)

Plessis-Grohan (Le).

H1359 , XIIe siècle , Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye) ; Evreux (Chapitre d') ; Plessis-Grohan (Le)  

Renonciation par Gautier du Port, chanoine d'Évreux, au profit de l'abbaye de Saint-Sauveur, à tous les droits de dîmes qu'il avait prétendu appartenir à son église du Plessis-Grohan. Cette renonciation est faite devant Sanson, abbé de Saint-Ouen, Gautier de Saint-Valéry, archidiacre, et Roger, chanoine de Rouen, constitués en tribunal sur l'ordre du pape Célestin III pour juger le différend soulevé au sujet de ces dîmes entre ledit Gautier du Port et l'abbaye, (s d. 1187-1190).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)

Bois de l'abbaye.

H282 , 1286-1673 , Acquigny ; Cailly-sur-Eure ; Conches, Abbaye de Saint-Pierre et Saint-Paul-de-Castillon-les-Conches ; Croix-Saint-Leufroy (La), abbaye ; Evreux (Chapitre d') ; Renard (le bois), sis à Cailly ; Ricamartin (les bois), sis à Cailly ; Vaumorin (Les Bois), sis à Cailly  

Accord entre l'abbaye de Conches et l'abbaye de la Croix-Saint-Leu-froi, faisant choix de Pierre de Platano, chanoine d'Évreux, en qualité d'arbitre chargé de trancher le différend soulevé entre les deux abbayes au sujet de leurs droits respectifs sur le bois appartenant à l'abbaye de la Croix à Cailly (1386) ; sentence arbitrale prononcée par Pierre de Platano, chanoine d'Évreux, arbitre désigné en vertu de l'accord précédent : les religieux de la Croix sont condamnés à payer a ceux de Conches une somme de 15 livres tournois ; en retour, ils sont déchargés du droit prétendu par l'abbaye de Conches de prendre dans leur bois de Cailly le bois nécessaire à la réparation du gord que lesdits religieux de Conches possédaient à Acquigny (1288) ; — « factum pour messieurs les abbé et religieux de l'abbaye de la Croix-Saint-Leufroy contre monsieur le procureur du Roy de la commission des droits de tiers et danger des bois, prétendant y assujetir ceux de ladicte abbaye, quoique de tous temps immémorial en ayent esté exempts... Ce factum a été dressé par Monsieur Marin, religieux de ladite abbaye, docteur en théologie de la faculté de Paris et prieur de Venables, le 24 avril 1673 ». Ce mémoire, où sont discutées la validité et l'interprétation des titres de donation sur lesquels s'appuyait l'abbaye, concerne « le Bois Renard, contenant 35 acres moins 5 perches » sis à Cailly, et les bois « dits Ricamartin et Vaumorin, situés deçà la rivière d'Eure ».

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de la Croix-Saint-Leufroi (Ordre de Saint-Benoît)

Plessis-Grohan (Le).

H1359 , XIIe siècle , Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye) ; Evreux (Chapitre d') ; Plessis-Grohan (Le)  

Renonciation par Gautier du Port, chanoine d'Évreux, au profit de l'abbaye de Saint-Sauveur, à tous les droits de dîmes qu'il avait prétendu appartenir à son église du Plessis-Grohan. Cette renonciation est faite devant Sanson, abbé de Saint-Ouen, Gautier de Saint-Valéry, archidiacre, et Roger, chanoine de Rouen, constitués en tribunal sur l'ordre du pape Célestin III pour juger le différend soulevé au sujet de ces dîmes entre ledit Gautier du Port et l'abbaye, (s d. 1187-1190).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)

Évreux.

H1355 , XIIe-1306 , Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye) ; Evreux (Chapitre d') ; Evreux (Grands Chantres d')  

Transaction passée devant Garin de Cierrey, évêque d'Évreux, entre Simon de Ferrières, chevalier, d'une part, et l'abbaye de Saint-Sauveur, d'autre part. Simon de Ferrières abandonne tous ses droits prétendus au patronage et aux dîmes de Ferrières moyennant une somme de dix livres d'Angevins (s. d. 1193-1201) ; — confirmation par Richard de Ferrières de toutes les donations faites à l'abbaye par Simon de Ferrières, son père, et par ses ancêtres, et donation par le même, d'une place sise à Ferrières « inter elemosinam Sancte Cristine de Ferrariis et caminum domini Régis ». Témoins : Raoul de Conches, chantre, Guillaume de Guillarville et R. d'Aviron, chanoines d'Évreux ; Richard Trossel et Guillaume, prêtres (1223) ; — vente par Philippe Le Livier, clerc, à Pierre de Senlis, doyen d'Évreux, d'une rente de 44 sous tournois et deux chapons, pour le prix de 14 livres parisis (1306).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)

Vidimus (1250) par Jean II de la Cour d'Aubergenville, évêque d'Évreux, de la charte de fondation du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Marguerite, sa femme, de Jean et de Roger, ses fils. Gilbert des Essarts assigne comme dotation au nouveau prieuré la chapelle qu'il avait érigée à la Poultière, le manoir du chapelain, des terres et diverses rentes. Le service divin devait être célébré à perpétuité dans la chapelle du prieuré par les soins d'au moins trois religieux prêtres de l'ordre de la Trinité et de la rédemption des captifs (février 1248) ; – vidimus par les notaires de la vicomté de Verneuil (1476) des fondations et donations faites en faveur du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Jean et de Roger des Essarts, chevaliers, de Gilbert des Essarts, écuyer, de Hue des Essarts, chanoine d'Évreux, et de Mathieu des Essarts, clerc, ses fils (1248-1279) ; – testament de François de Lombelon, écuyer, cadet des Essarts, demeurant au manoir de la Ferté des Essarts, paroisse de Francheville. Le testateur élit sa sépulture « à la ministrerie de de la Poutière, auquel lieu sont ensépulturés ses prédécesseurs » et donne une somme de 20 livres pour être employée aux réparations du prieuré (S. d. 1627 ?) ; – donation au prieuré par noble dame Renée Blocier, veuve de Tanneguy de Lombelon, chevalier, baron des Essarts, d'une somme de 40 livres, à la charge de célébrer chaque année deux messes basses à l'intention de « feu noble homme messire René Tuffière » (1676).

H962 , 1248-1676 , Evreux (Chapitre d') ; Ferté-les-Essarts (Manoir de la) sis paroisse de Francheville ; Francheville ; Poultière (Prieuré de la) ; Trinité et de la Rédemption-des-Captifs (Ordre de la) ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de la Poultière

Enquête par témoins faite, sur l'ordre du pape Célestin III, par Sanson, abbé de Saint-Ouen de Rouen, Gautier de Saint-Valéry, archidiacre, et Roger Le Normand, chanoine de Rouen, au sujet du tiers des dîmes de la Queue-Blanchard, objet d'un différend soulevé entre Gautier du Port, d'une part, et Cécile, abbesse de Saint-Sauveur d'Évreux, d'autre part (s. d. 1187-1190) ; – compromis passé entre Nicolas d'Auteuil, évêque d'Évreux, d'une part, et les religieuses de l'abbaye de Saint-Sauveur, d'autre part, au sujet de la jouissance des dîmes novales des essarts de la Queue-Blanchard. Les parties déclarent s'en remettre à la décision de Guillaume Pierre, chanoine d'Évreux, et de Martin de Vannecrocq, doyen de Bourg-theroulde, arbitres choisis par elles d'un commun accord (1290) ; – extraits de titres, mémoires, notes et quittances concernant les droits de l'abbaye de Saint-Sauveur à la jouissance des dimes des ventes de bois de la forêt d'Évreux et de ses dépendances (XVIe-XVIIIe siècles) : « il appert par les Chartres, tiltres, privilèges et enseignements portez par les religieuse abbesse et couvent de Sainct-Sauveur d'Évreux qu'elles ont droict d'avoir et prendre les dixmes des ventes des boys de la verderie de Gravigny, comme des circonstances et deppendences de la forest d'Évreux... Item, que audit temps (ancien) la forest à présent dicte la forest d'Évreux, mesmes la Hayes Le Conte et Richer et aussy les boys de la verderie de Gravigny, autrement nommez la forest de Gravigny, avec les circonstances et deppendences desdits boys et foretz n'estoient que une mesme et seulle forest gardée par ung seul verdier ; item, que d'icelle totalle forest a esté du depuis démembré ledit triège à présent dit et nommé la forest de Gravigny... Etc. ».

H1344 , XIIe-1768 , Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye) ; Evreux (Chapitre d') ; Gravigny ; Haye-le-Comte (La) ; Queue-Blanchard (fief de la)  
Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)

Évreux.

H1355 , XIIe-1306 , Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye) ; Evreux (Chapitre d') ; Evreux (Grands Chantres d')  

Transaction passée devant Garin de Cierrey, évêque d'Évreux, entre Simon de Ferrières, chevalier, d'une part, et l'abbaye de Saint-Sauveur, d'autre part. Simon de Ferrières abandonne tous ses droits prétendus au patronage et aux dîmes de Ferrières moyennant une somme de dix livres d'Angevins (s. d. 1193-1201) ; — confirmation par Richard de Ferrières de toutes les donations faites à l'abbaye par Simon de Ferrières, son père, et par ses ancêtres, et donation par le même, d'une place sise à Ferrières « inter elemosinam Sancte Cristine de Ferrariis et caminum domini Régis ». Témoins : Raoul de Conches, chantre, Guillaume de Guillarville et R. d'Aviron, chanoines d'Évreux ; Richard Trossel et Guillaume, prêtres (1223) ; — vente par Philippe Le Livier, clerc, à Pierre de Senlis, doyen d'Évreux, d'une rente de 44 sous tournois et deux chapons, pour le prix de 14 livres parisis (1306).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)

Vidimus (1250) par Jean II de la Cour d'Aubergenville, évêque d'Évreux, de la charte de fondation du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Marguerite, sa femme, de Jean et de Roger, ses fils. Gilbert des Essarts assigne comme dotation au nouveau prieuré la chapelle qu'il avait érigée à la Poultière, le manoir du chapelain, des terres et diverses rentes. Le service divin devait être célébré à perpétuité dans la chapelle du prieuré par les soins d'au moins trois religieux prêtres de l'ordre de la Trinité et de la rédemption des captifs (février 1248) ; – vidimus par les notaires de la vicomté de Verneuil (1476) des fondations et donations faites en faveur du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Jean et de Roger des Essarts, chevaliers, de Gilbert des Essarts, écuyer, de Hue des Essarts, chanoine d'Évreux, et de Mathieu des Essarts, clerc, ses fils (1248-1279) ; – testament de François de Lombelon, écuyer, cadet des Essarts, demeurant au manoir de la Ferté des Essarts, paroisse de Francheville. Le testateur élit sa sépulture « à la ministrerie de de la Poutière, auquel lieu sont ensépulturés ses prédécesseurs » et donne une somme de 20 livres pour être employée aux réparations du prieuré (S. d. 1627 ?) ; – donation au prieuré par noble dame Renée Blocier, veuve de Tanneguy de Lombelon, chevalier, baron des Essarts, d'une somme de 40 livres, à la charge de célébrer chaque année deux messes basses à l'intention de « feu noble homme messire René Tuffière » (1676).

H962 , 1248-1676 , Evreux (Chapitre d') ; Ferté-les-Essarts (Manoir de la) sis paroisse de Francheville ; Francheville ; Poultière (Prieuré de la) ; Trinité et de la Rédemption-des-Captifs (Ordre de la) ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de la Poultière

Enquête par témoins faite, sur l'ordre du pape Célestin III, par Sanson, abbé de Saint-Ouen de Rouen, Gautier de Saint-Valéry, archidiacre, et Roger Le Normand, chanoine de Rouen, au sujet du tiers des dîmes de la Queue-Blanchard, objet d'un différend soulevé entre Gautier du Port, d'une part, et Cécile, abbesse de Saint-Sauveur d'Évreux, d'autre part (s. d. 1187-1190) ; – compromis passé entre Nicolas d'Auteuil, évêque d'Évreux, d'une part, et les religieuses de l'abbaye de Saint-Sauveur, d'autre part, au sujet de la jouissance des dîmes novales des essarts de la Queue-Blanchard. Les parties déclarent s'en remettre à la décision de Guillaume Pierre, chanoine d'Évreux, et de Martin de Vannecrocq, doyen de Bourg-theroulde, arbitres choisis par elles d'un commun accord (1290) ; – extraits de titres, mémoires, notes et quittances concernant les droits de l'abbaye de Saint-Sauveur à la jouissance des dimes des ventes de bois de la forêt d'Évreux et de ses dépendances (XVIe-XVIIIe siècles) : « il appert par les Chartres, tiltres, privilèges et enseignements portez par les religieuse abbesse et couvent de Sainct-Sauveur d'Évreux qu'elles ont droict d'avoir et prendre les dixmes des ventes des boys de la verderie de Gravigny, comme des circonstances et deppendences de la forest d'Évreux... Item, que audit temps (ancien) la forest à présent dicte la forest d'Évreux, mesmes la Hayes Le Conte et Richer et aussy les boys de la verderie de Gravigny, autrement nommez la forest de Gravigny, avec les circonstances et deppendences desdits boys et foretz n'estoient que une mesme et seulle forest gardée par ung seul verdier ; item, que d'icelle totalle forest a esté du depuis démembré ledit triège à présent dit et nommé la forest de Gravigny... Etc. ».

H1344 , XIIe-1768 , Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye) ; Evreux (Chapitre d') ; Gravigny ; Haye-le-Comte (La) ; Queue-Blanchard (fief de la)  
Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)

Martot.

H53 , 1258-1279 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bord (forêt de), entre Pont-de-l'Arche en Louviers ; Evreux (Chapitre d') ; Evreux (Grands Chantres d') ; Martot ; Pont-de-l'Arche, ville  

Lettre de Raoul de Martot, adressée à Roger de Veille et à Jean de Meulent, chanoines d'Évreux, pour leur notifier l'abandon qu'il avait fait à l'abbaye du Bec de tous ses droits au patronage de l'église de Martot et pour les autoriser à admettre audit bénéfice, vacant par la mort de Geoffroi, ancien curé, le candidat présenté par l'abbaye (1258) ; — jugement du bailli de Rouen, rendu aux assises de Pont-de-l'Arche, confirmant à l'abbaye la possession du droit de patronage de l'église de Martot, contrairement aux prétentions de Baudouin de Muées et de sa femme (1277) ; — notification par le bailli de Rouen du jugement de l'Échiquier qui avait reconnu à l'abbaye du Bec, contrairement aux prétentions de Robert Le Veneur, verdier de la forêt de Bord, des droits d'usage dans ladite forêt à cause de la bergerie dépendant de leur manoir de Martot (1279).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Rouen.

H384 , 1774 , Evreux (Chapitre d') ; Isle-Dieu (Abbaye de), près Perruel ; Rouen (Hostellerie de la Grande-Crosse, à), paroisse Saint-Laurent ; Rouen (ville) ; Rouen, Paroisse Saint-Hilaire ; Rouen, Paroisse Saint-Laurent ; Rouen, Paroisse Saint-Ouen  

Bail emphytéotique, mémoire et procédures concernant l'hôtellerie « où pend pour enseigne La Grande Crosse », et ses dépendances, sise à Rouen, paroisse Saint-Laurent, et appartenant à l'abbaye de l'Isle-Dieu (1595-1627) ; — donations et ventes à l'abbaye de rentes assignées sur des immeubles situés à Rouen par Jean de Neuville (s. d., fin du XIIe siècle), Ada Hurtet et Vincent, son fils (1232), Nicolas File-Soie (1270) ; — confirmation par les héritiers de Richard de Carville, chanoine d'Évreux, de la donation testamentaire faite par ce dernier à l'abbaye de 30 sous de rente assignés sur des héritages situés à Rouen (1251) ; — vente à l'abbaye par Raoul L'Anglais et Asseline, sa femme, d'un immeuble situé à Rouen, paroisse Saint-Ouen, entre la rue Saint-Ouen et la rue de l'Aumône, pour le prix de 22 livres tournois (1240) ; — baux d'une maison appartenant à l'abbaye, située à Rouen, paroisse Saint-Laurent, rue de l'Oratoire (XVIIIe siècle) ; — bail à fieffe d'une maison sise à Rouen, paroisse Saint-Hilaire, rue Saint-Hilaire, passé par l'abbaye à Jeuffroy Capelle, maître bourrelier, moyennant une rente annuelle de 40 livres (1714).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Isle-Dieu (Ordre de Prémontré)

Martot.

H53 , 1258-1279 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bord (forêt de), entre Pont-de-l'Arche en Louviers ; Evreux (Chapitre d') ; Evreux (Grands Chantres d') ; Martot ; Pont-de-l'Arche, ville  

Lettre de Raoul de Martot, adressée à Roger de Veille et à Jean de Meulent, chanoines d'Évreux, pour leur notifier l'abandon qu'il avait fait à l'abbaye du Bec de tous ses droits au patronage de l'église de Martot et pour les autoriser à admettre audit bénéfice, vacant par la mort de Geoffroi, ancien curé, le candidat présenté par l'abbaye (1258) ; — jugement du bailli de Rouen, rendu aux assises de Pont-de-l'Arche, confirmant à l'abbaye la possession du droit de patronage de l'église de Martot, contrairement aux prétentions de Baudouin de Muées et de sa femme (1277) ; — notification par le bailli de Rouen du jugement de l'Échiquier qui avait reconnu à l'abbaye du Bec, contrairement aux prétentions de Robert Le Veneur, verdier de la forêt de Bord, des droits d'usage dans ladite forêt à cause de la bergerie dépendant de leur manoir de Martot (1279).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Rouen.

H384 , 1774 , Evreux (Chapitre d') ; Isle-Dieu (Abbaye de), près Perruel ; Rouen (Hostellerie de la Grande-Crosse, à), paroisse Saint-Laurent ; Rouen (ville) ; Rouen, Paroisse Saint-Hilaire ; Rouen, Paroisse Saint-Laurent ; Rouen, Paroisse Saint-Ouen  

Bail emphytéotique, mémoire et procédures concernant l'hôtellerie « où pend pour enseigne La Grande Crosse », et ses dépendances, sise à Rouen, paroisse Saint-Laurent, et appartenant à l'abbaye de l'Isle-Dieu (1595-1627) ; — donations et ventes à l'abbaye de rentes assignées sur des immeubles situés à Rouen par Jean de Neuville (s. d., fin du XIIe siècle), Ada Hurtet et Vincent, son fils (1232), Nicolas File-Soie (1270) ; — confirmation par les héritiers de Richard de Carville, chanoine d'Évreux, de la donation testamentaire faite par ce dernier à l'abbaye de 30 sous de rente assignés sur des héritages situés à Rouen (1251) ; — vente à l'abbaye par Raoul L'Anglais et Asseline, sa femme, d'un immeuble situé à Rouen, paroisse Saint-Ouen, entre la rue Saint-Ouen et la rue de l'Aumône, pour le prix de 22 livres tournois (1240) ; — baux d'une maison appartenant à l'abbaye, située à Rouen, paroisse Saint-Laurent, rue de l'Oratoire (XVIIIe siècle) ; — bail à fieffe d'une maison sise à Rouen, paroisse Saint-Hilaire, rue Saint-Hilaire, passé par l'abbaye à Jeuffroy Capelle, maître bourrelier, moyennant une rente annuelle de 40 livres (1714).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Isle-Dieu (Ordre de Prémontré)

Neuville-près-Claville.

H1358 , 1206-1505 , Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye) ; Evreux (Chapitre d') ; Neuville-près-Claville  

Abandon consenti entre les mains de Luc, évêque d'Évreux, par Rohes de Sanseriis, fille de Guillaume de Fumechon, des dîmes du fief de Sansières au profit de Havisse de Fourneaux, sa parente, religieuse de Saint-Sauveur d'Évreux, et, après la mort de celle-ci, au profit de l'abbaye, pour la vêture des religieuses : « Cum non liceat et prohibitum sit quod laicus décimas in manu sua teneat et cum decimam matrimonii mei, scilicet de feodo de Sanseriis, contra sancte ecclesie prohibitionem in manu mea diu tenuissem et indè periculum anime mee viderem imminer... Etc. » Témoins : R., doyen d'Évreux ; Gautier, trésorier ; Geoffroi Bourgeois, chanoine d'Évreux ; Guillaume de Neuville, Pierre de Bastigny, prêtres ; Guillaume de Cissey, Robert de Melleville, Guillaume de Villalet, chevaliers ; Geoffroi de Melleville, Guillaume de Sansières, Pierre de la Mare, Richard de Gaudreville (1206) ; — engagement pris par Simon Lauverey, de Neuville, envers les religieuses de Saint-Sauveur, de leur laisser enlever et transporter ailleurs « ung feust et creux de grange » actuellement placé sur sa terre, qu'il leur avait vendu, et de leur accorder le droit de tour d'échelle et d'écoulement de l'eau de la toiture, à charge de réciprocité pour lui, s'il venait à faire construire une grange ou une maison à proximité des terres des religieuses (1505).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)