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« C'est Testât que baillent à hault et puissant seigneur messire Charles de Roncherolles, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roy, etc., les doyen et chanoines de l'église collégiale Notre-Dame d'Escouys, de touttes les maisons, masures, terres labourables appartenantes à la fabrique de ladite église, lesdites terres et héritages situées et assises tant aux dixmages du Plessis, Touffreville, Escouis que Musse-gros » (1586) ; –« mémoire des terres appartenantes à la fabrique Notre-Dame d'Escouys » (XVIIe siècle) ; – procès-verbaux d'arpentage des terres de la fabrique en 1727 et 1788.
Touffreville.
Copie informe (XVIIIe siècle) de la donation de la dîme de Sanroy faite à l'abbaye de la Sainte-Trinité-du-Mont de Rouen par Hugues Taleboth et confirmée par ses successeurs (s. d. Fin du XIe siècle ? ) ; baux à ferme de la dîme de Sanroy, paroisse de Touffreville, passés par les Chartreux pour le prix de 80 livres, de 1719 à 1745, de 106 livres en 1751 et de 120 livres en 1767.
Touffreville.
Baux à ferme de plusieurs pièces de terre situées à Touffreville et appartenant à l'abbaye (XVe siècle) ; état des terres appartenant à l'abbaye dans la paroisse de Touffreville, « mesurées par Jorget Le Bret, mesureur juré au bailliage de Gisors » (1485) ; transaction passée entre l'abbé commendataire de Mortemer et André du Coudray, curé de Touffreville, aux termes de laquelle le curé de Touffreville se reconnaît redevable d'une rente annuelle de 30 livres à l'abbaye de Mortemer (1734).
Rebellions, violences, attroupements et émotion populaire commis par les meuniers de Touffreville et des habitants de Boisemont, au sujet de la banalité des moulins royaux d'Andely : plainte d'Alexandre de La Vache, seigneur du Saussay
Touffreville.
Donation à l'abbaye par Jean Strabon, de Creil (de Creoleo), avec le consentement de Gautier, son fils, d'une masure sise à Touffreville (s. d., vers 1200) ; id., par Thomas de Grainville, d'une acre de terre au même lieu (1239) ; bail à ferme passé par l'abbaye à Jean Fatin, fils de Guillaume Fatin, d'Écouis, d'une pièce de terre contenant trois acres, sise à Touffreville, moyennant quatre mines et demie de blé de fermage par an (1506) ; baux à ferme des quatre acres de terre labourable en deux pièces appartenant à l'abbaye dans la paroisse de Touffreville, moyennant un prix de fermage annuel de 24 boisseaux de blé en 1716, de 44 livres en 1734 et en 1743, de 45 livres en 1749 et de 60 livres en 1759.
Saisies réelles à Andely, Touffreville, La Roquette, baux judiciaires
Contre les familles Chauvet, Delamare, Titriche, Letellier et Mettais pour vols de tasses d'argent et de blé, en particulier chez des laboureurs de Villers et de Touffreville
Fragment de la bulle de Clément V confirmant la fondation de la collégiale d'Écouis par Enguerrand de Marigny et Alips de Mons, sa femme, en janvier 1311 n. s. (mai 1311) ; – bail à fieffe passé parle chapitre à Jean de Saint-Pol, d'une demi-acre et 35 perches et demie de terre labourable à Touffreville, moyennant une rente annuelle de 8 sous 5 deniers parisis (1406) ; – procès-verbal d'arpentage des terres appartenant à M. Le Chevallier, chanoine d'Écouis, dans les paroisses d'Écouis et de Touffreville, dressé par Guillaume Verdelet, arpenteur, demeurant à Fresne-l'Archevêque (1755).
Gaillardbois (terres de Brémulle, etc.).
Quittances de payement des rentes en blé et en avoine dues par le prieuré de Charleval (Nojeon-sur-Andelle), et par le curé de Touffreville aux chanoines d'Écouis et assignées sur la ferme de la Mésangère (1506-1523) ; pièces de procédures entre l'abbaye de Mortemer, d'une part, le seigneur de Villers, les curés de Villerets, de Puchay et de Bacqueville, d'autres parts, au sujet des terres et des dîmes de Brémulle (XVIe siècle) ; procès-verbal d'adjudication à Nicolas Fatin d'Auricher de 40 acres une vergée de terre sises à Bouville, aliénées par l'abbaye pour le prix principalde 1908 livres (1569) ; procès-verbaux de bornage de deux pièces de terres dépendant de la ferme de Brémulle, trièges du Merisier, de la Justice et des Marettes (l750).
Feuillet double détaché d'un cartulaire du prieuré, du XIIIe siècle, mesurant 22 centimètres sur 15, marges comprises. Ce fragment contient la transcription des chartes suivantes : donation au prieuré de Noyon-sur-Andelle par Richard Coifier d'une rente de 12 deniers assignée sur sa propriété de Cressenvile (1249) ; – confirmation par Raoul de Beaumont de la donation de 2 sous de rente faite au prieuré par Guillaume Le Breton (1228) ; – vente au prieuré par Guillaume Morel, de Fleury-sur-Andelle, d'une rente de 4 sous assignée sur une terre située à Noyon-sur-Andelle, pour le prix de 40 sous tournois (1249) ; – donation au prieuré par Baudri de Baudemont, fils d'Etienne de Lonchamp, d'une rente de 12 sous assignée sur la pêcherie de son moulin de Houville (1213) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) de l'abandon au profit de l'abbaye de Saint-Évroul et du prieur de Noyon par Robert du Plessis, chevalier, de tous ses droits prétendus au patronage de l'église de Touffreville (1234), et des lettres de Guillaume II de Flavacourt, archevêque de Rouen, conférant le bénéfice cure de Touffreville à Guillaume « de Broho », clerc, au lieu et place de Guillaume Chartenne, présenté par l'abbaye de Saint-Évroul, mais que l'Archevêque avait écarté, après examen, « ob defectum lilteraturae » (1282) ; – copie informé de la « déclaration du temporel du prieuré de Saint-Martin de Charleval, cy devant nommé Noyon-sur-Andelle (10 décembre 1683) : l'église, maisons, granges, colombier, four, étables, pressoir, ruinez et démolis il y a plus de 100 ans par ordre du Roy Charles IX pour construire son château de Charleval, ledit prieuré fondé en 1113 par Simon, comte d'Évreux, et n'y a présentement qu'une petite chapelle bâtie sur les fondements de laditte église... Etc. ».
Rocquemont.
Aveu rendu parles religieuses de Fontaine-Guérard à « noble demoiselle Anne-Madeleine Delpech de Cailly, dame et patronne dudit Cailly, Saint-André, Saint-Nicolas-du-Verbois, Saint-Jean-le-Bois-Robert, dame patronne haute justicière de Pierval et La Malmaison, La Rue-Saint-Pierre, Collemare, Icquebeuf, Rocquemont, Le Tremblay, La Prées, Critost, Etteville, Touffreville, Saint-Germain, Houville », seule fille et unique héritière de feu Pierre Delpech, chevalier, président en la Cour des aides de Paris, pour une pièce de terre labourable contenant deux acres et demie, sise à Rocquemont (1751) ; correspondance entre l'abbesse de Fontaine-Guérard et le curé de Rocquemont sur le différend survenu entre eux à propos du payement de la rente en grains due par l'abbaye, que le curé de Rocquemont prétendait percevoir à la mesure de Cailly (1780).
Biens du chapitre situés à Écouis.
Vente par Pierre Le Charpentier et Maheut, sa femme, de la paroisse de Rosny, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 9 sous et 10 deniers tournois assignée sur une maison située dans la paroisse d'Écouis, pour le prix de 4 livres parisis (1333) ; – copie d'un bail à rente d'une masure et de ses dépendances situées a Écouis, passé par Mahyet Le Corayet et Maheut, sa femme, à Guillaume Bardicon et à Jeanne, sa femme, à la charge pour les preneurs de payer chaque année au chapitre d'Écouis une rente de 16 sous parisis (1357) ; – copie de l'acte de fondation par « hault et puissant signeur Mre Alebert de Rousselet, chevallier, gentilhomme ordinaire de la chanbre du Roy, cappitaine de cinquante hommes d'armes de ses ordonnances, sieur de La Part Dieu, Risly, Les Abatiz et Villerets en partye, et dame Magalonne Le Mareschal, son espouze », de treize obits solennels et. De 52 messes basses dans l'église collégiale d'Écouis, « moyennant la somme de 117 livres tournois réduits à 39 escus sol de rente » assignés sur des terres situées dans « les dîmages d'Écouis, Touffreville et ès environs », « laquelle fondation sera appelée et nommée la fondation de messire Charles de Gondy, marquis de Belle-Isle » (17 décembre 1598) ; – bail à ferme passé par le chapitre d'Écouis à Michel Lefebvre, de 14 acres de terres labourables « assises au dixmage d'Escouis et Touffreville », pour le prix annuel de 125 livres (1661) ; – aveux rendus par le chapitre à « haulte et puissante dame Marie-Catherine-Madeleine Paviot de La Hautteville, épouse civilement séparée d'avec messire Nicolas de Frémont, chevalier, seigneur d'Aumesnil, conseiller du Roy, président honoraire en la première chambre des enquêtes du Parlement de Paris, de 18 pièces de terre sises en la paroisse d'Écouis et relevant des fiefs du Fay, de Villers et d'Oricher » (1762) ; – transaction passée entre le chapitre d'Ëcouis et Nicolas de La Grange, relativement au payement de la somme de 400 livres due par ce dernier pour huit années d'arrérages d'une rente annuelle de 50 livres sur la maison du Dauphin à Écouis (17 avril 1626) ; – contrat de révalidation consenti au profit du chapitre et fabrique de l'église collégiale d Écouis, par Pierre Antoine d'Hostel, écuyer, sieur du Perron, seigneur du Fay, par Izambart et Michel d'Hostel du Perron, ses frères, d'une rente foncière de 50 livres et d'une rente seigneuriale et foncière de 66 sols pour fieffe d'héritage consistant en une maison assise à Écouis, nommée Le Dauphin, au carrefour devant l'église (23 décembre 1739).
Biens du chapitre situés à Touffreville.
Vente par Robin Caillot, de la paroisse de Touffreville, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 10 sous parisis assignée sur deux masures situées à Touffreville, pour le prix de 8 écus d'or (21 mars 1351) ; – bail à rente passé par le chapitre d'Écouis à Simon « Le Pelestier », dit « Le Fevre », d'une pièce de terre contenant une acre ou environ, située dans la paroisse de Touffreville, triège de La Mare-Guillebert, pour le prix annuel de 10 sous tournois (14 juillet 1395) ; – bail passé par le chapitre à Jean de Saint-Pol, de la paroisse de Touffreville, d'une acre et 35 perches et demie de terre, dans la paroisse de Touffreville, pour le prix annuel de 8 sous 5 deniers parisis (1er août 1406) ; – vente par Jeanneton Chefdeville, veuve de Robert Le Normand, à Robert Paisant, laboureur, d'une maison et masure situées à Touffreville, pour le prix de 52 livres tournois, à charge de la tenir du sieur de Rambures par 4 sous tournois de rente seigneuriale (24 février 1573) ; – bail passé par le chapitre à messire Claude-Charles Jobard, docteur en théologie, curé de Touffreville, de « la dîme verte et mixte du fief du Bec, appartenante auxdits sieurs du chapitre, située dans ladite paroisse de Touffreville, consistant en foins de prairies, lins, chanvres, pommes, poires et autres verdages, comme osiers, sainfoins, bourgogne, dragés et livernaches », pour le prix annuel de 110 livres (1760) ; – bail passé par le chapitre à Madeleine Fortier, veuve de Louis Lemoine, journalière, demeurant à Touffreville, « d'une maison masure plantée d'arbres fruitiers assise audit Touffreville, avec un petit jardin, le tout contenant une acre ou environ », moyennant 55 livres de fermage par an (1739) ; – bail de la même maison passé en 1743 « pardevant Adrien Verdure, tabellion et garde-scel aux contrats et obligations de la haute justice et baronnie d'Écouis et dépendances, pour haut et puissant seigneur messire Michel de Roncherolles, chevalier, seigneur marquis de Pont-Saint-Pierre, comte de Cisay, baron d'Écouis, Le Plessis, seul seigneur, patron, collateur et nominateur à la collégiale et hôpital dudit lieu, Gamaches, Dampierre, Marigny, Touffreville, Douville, Calville, Pitres, Romilly, La Neufville, Champdoisel et La Ferté Saint-Riquier, viconte dudit lieu, haut justicier en Artois, grand voyeur de Picardie, premier baron de Normandie et conseiller d'honneur né au Parlement de Rouen, propriétaire du tabellionnage ».