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Villers-sur-Trie, Vesly.

H1187 , 1632-1782 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Courcelles ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Isancourt ; Vesly ; Villers-sur-Trye (près Gisors)  

Titres de propriété de la ferme de Villers-sur-Trie, appartenant aux Mathurins de Gisors. Testament d'Antoine Dancoche, écuyer, sieur d'Isancourt, demeurant à Paris chez Madame de Buhy, rue de Vaugirard. Par ce testament, daté du 28 août 1665, Antoine Dancoche « donne et lègue au couvent des Mathurins une ferme size à Villers-sur-Trie, près Gisors, à la charge des rentes seigueuriales, mesme de la rente de 500 livres de principal deue à l'église dudit Gisors, à la charge aussi de fonder des messes et prières pour le repos de son âme, de ses deffunts père et mère et de Denise de Richebois, première femme de son dit deffunt père... » ; — procès-verbal d'arpentage de la ferme de Villers-sur-Trie, contenant en totalité trente-neuf arpents quarante-six perches en vingt et une pièces (1676) ; — baux de ladite ferme, passés moyennant un prix de fermage annuel de 140 livres en 1682 et de 240 livres en 1734 et en 1756 ; — bail à ferme passé par les Mathurins de Gisors à Nicolas-Maurice Feret, laboureur à Vesly, de quarante-deux acres de terre sises à Vesly et aux environs, moyennant un prix de fermage annuel de cinquante boisseaux de blé et de 350 livres d'argent.

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Courcelles.

H1182 , 1684-1782 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Courcelles ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Leveville (fief de) ; Sainte-Geneviève-les-Gasny ; Sous-le-Coudray (Lieu-dit à Courcelles) ; Sous-les-Aisements (lieu-dit à Courcelles)  

Titres et notes concernant la mouvance de terres appartenant aux Mathurins de Gisors, sises à Courcelles, lieux dits Sous-le-Coudray et Sous-les-Aisements (copie d'un aveu rendu en 1782 à Mathieu-François Gouttard de Levéville, écuyer, maître d'hôtel du Roi, seigneur de Courcelles-lès-Gisors, de la terre et châtellenie, ci-devant marquisat, de Levéville, de Sainte-Geneviève-lès-Gasny, etc.).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Courcelles.

H1182 , 1684-1782 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Courcelles ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Leveville (fief de) ; Sainte-Geneviève-les-Gasny ; Sous-le-Coudray (Lieu-dit à Courcelles) ; Sous-les-Aisements (lieu-dit à Courcelles)  

Titres et notes concernant la mouvance de terres appartenant aux Mathurins de Gisors, sises à Courcelles, lieux dits Sous-le-Coudray et Sous-les-Aisements (copie d'un aveu rendu en 1782 à Mathieu-François Gouttard de Levéville, écuyer, maître d'hôtel du Roi, seigneur de Courcelles-lès-Gisors, de la terre et châtellenie, ci-devant marquisat, de Levéville, de Sainte-Geneviève-lès-Gasny, etc.).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Villers-sur-Trie, Vesly.

H1187 , 1632-1782 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Courcelles ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Isancourt ; Vesly ; Villers-sur-Trye (près Gisors)  

Titres de propriété de la ferme de Villers-sur-Trie, appartenant aux Mathurins de Gisors. Testament d'Antoine Dancoche, écuyer, sieur d'Isancourt, demeurant à Paris chez Madame de Buhy, rue de Vaugirard. Par ce testament, daté du 28 août 1665, Antoine Dancoche « donne et lègue au couvent des Mathurins une ferme size à Villers-sur-Trie, près Gisors, à la charge des rentes seigueuriales, mesme de la rente de 500 livres de principal deue à l'église dudit Gisors, à la charge aussi de fonder des messes et prières pour le repos de son âme, de ses deffunts père et mère et de Denise de Richebois, première femme de son dit deffunt père... » ; — procès-verbal d'arpentage de la ferme de Villers-sur-Trie, contenant en totalité trente-neuf arpents quarante-six perches en vingt et une pièces (1676) ; — baux de ladite ferme, passés moyennant un prix de fermage annuel de 140 livres en 1682 et de 240 livres en 1734 et en 1756 ; — bail à ferme passé par les Mathurins de Gisors à Nicolas-Maurice Feret, laboureur à Vesly, de quarante-deux acres de terre sises à Vesly et aux environs, moyennant un prix de fermage annuel de cinquante boisseaux de blé et de 350 livres d'argent.

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Bail passé par la fabrique à Louis Cartier, du hameau de Mousseaux, de trois pièces de terre, contenant 3 vergées, paroisse de Bouafles, pour le prix annuel de 8 livres (1692) ; – bail d'« une vergée d'île, située au dîmage de Courcelles, dans l'île du Rouble » (1762) ; – déclaration donnée par la fabrique à « noble et vertueuse dame Marie-Anne de Lantillac de Gimel, abbesse de l'abbaye royale de Saint-Léger de Préaux, en cette qualité dame et patronne de la paroisse do Saint-Pierre-de-Bouafles », pour deux pièces de terre relevant de la seigneurie de Rouafles (1770).

G333 , 1692-1770 , Bouafles ; Courcelles ; Mousseaux ; Préaux (Abbaye) ; Rouble (Ile du, à Courelles)  
Contexte :
Églises paroissiales > Andely > Saint-Sauveur du Petit-Andely

Contrat d'acquisition et baux à ferme de plusieurs pièces de terre sises à Gisors, à Courcelles, à Bazincourt, à Villerets et à Éragny. – Bail à ferme de « cinquante un arpents ou environ, tant en terre labourable que prés, en plusieurs pièces, ainsi que le tout s'étend et comporte, scis sur le dixmage d'Éragny, Gisors, Boisgeloup, Trie-Château, Grinville et au très terroirs voisins », passé par les Mathurins de Gisors à Pierre Cartier, marchand et laboureur à Gisors, moyennant un prix de fermage annuel de 836 livres (1782) ; –« plans figurés de plusieurs pièces de terre appartenants à Messieurs les Mathurins de Gisors, scizes sur le terroir dudit Gisors, le Boisgelout et Courcelles, levés par le sieur Pierre Louvet, arpenteur royal, en avril 1758 ».

H1177 , 1651-1782 , Bazincourt ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Boisgeloup (fief de) ; Courcelles ; Eragny ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Grainville ; Trye-Château ; Villerets  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Contrat d'acquisition et baux à ferme de plusieurs pièces de terre sises à Gisors, à Courcelles, à Bazincourt, à Villerets et à Éragny. – Bail à ferme de « cinquante un arpents ou environ, tant en terre labourable que prés, en plusieurs pièces, ainsi que le tout s'étend et comporte, scis sur le dixmage d'Éragny, Gisors, Boisgeloup, Trie-Château, Grinville et au très terroirs voisins », passé par les Mathurins de Gisors à Pierre Cartier, marchand et laboureur à Gisors, moyennant un prix de fermage annuel de 836 livres (1782) ; –« plans figurés de plusieurs pièces de terre appartenants à Messieurs les Mathurins de Gisors, scizes sur le terroir dudit Gisors, le Boisgelout et Courcelles, levés par le sieur Pierre Louvet, arpenteur royal, en avril 1758 ».

H1177 , 1651-1782 , Bazincourt ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Boisgeloup (fief de) ; Courcelles ; Eragny ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Grainville ; Trye-Château ; Villerets  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Donations, cessions et ventes à l'abbaye : par Pierre Saussé et Emmeline, sa femme, d'une rente annuelle de 15 deniers parisis assignée sur une pièce de vignes en l'Aillebert (1302), – par Pierre Descor, écuyer, d'une pièce de pré située à Courcelles (1303), – par Ytace Fromont, de Courcelles, d'une voie à quareste parmy le pré dudit Ytace, pour aller au clos as dis religieus, lequel clos est apelé le Clos de la ville (1304), – par Roger Lesage et Maheut, sa femme, de la paroisse de Corny, d'une rente de 12 sous assignée sur une masure et sur une pièce de vignes à Courcelles (1309), – par Guillaume Des Moulins, écuyer, de deux portions d'un pressoir et d'une masure à Fourneaux, paroisse de Vernonnet (1310), – par Guillaume et Pierre Coquin, de deux barils devin « tel comme il cresceit en leur héritage » (1313), – par Pierre Branche et Maheut, sa femme, d'une rente de 6 sous parisis assignée sur une pièce de vigne à Courcelles (1316), – par Pierre de Tilly et Jeanne, sa femme, d'une masure et de ses dépendances, située paroisse Saint-Nicolas de Vernonnet (1317), – par Pierre Coquin, de plusieurs renies assignées sur des terres situées à Courcelles ; – bail à fiefle passé par l'abbaye à Henri Tassel, curé de Courcelles, d'une masure, avec ses dépendances, située près du chemin conduisant de la maison dudit Tassel au manoir de l'abbaye, moyennant une rente annuelle de 10 sous tournois (1315) ; – copie de l'acte de collation de la cure de Courcelles en faveur de Claude Postel, prêtre, sur la présentation de Jacques Bouvier, prêtre, abbé commen-dataire de Beaubec (1630).

H5 , 1302-1630 , Clos-de-la-Ville (Le), sis à Courcelles ; Courcelles ; Vernonnet  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Beaubec (Ordre de Cîteaux)

Donations, cessions et ventes à l'abbaye : par Pierre Saussé et Emmeline, sa femme, d'une rente annuelle de 15 deniers parisis assignée sur une pièce de vignes en l'Aillebert (1302), – par Pierre Descor, écuyer, d'une pièce de pré située à Courcelles (1303), – par Ytace Fromont, de Courcelles, d'une voie à quareste parmy le pré dudit Ytace, pour aller au clos as dis religieus, lequel clos est apelé le Clos de la ville (1304), – par Roger Lesage et Maheut, sa femme, de la paroisse de Corny, d'une rente de 12 sous assignée sur une masure et sur une pièce de vignes à Courcelles (1309), – par Guillaume Des Moulins, écuyer, de deux portions d'un pressoir et d'une masure à Fourneaux, paroisse de Vernonnet (1310), – par Guillaume et Pierre Coquin, de deux barils devin « tel comme il cresceit en leur héritage » (1313), – par Pierre Branche et Maheut, sa femme, d'une rente de 6 sous parisis assignée sur une pièce de vigne à Courcelles (1316), – par Pierre de Tilly et Jeanne, sa femme, d'une masure et de ses dépendances, située paroisse Saint-Nicolas de Vernonnet (1317), – par Pierre Coquin, de plusieurs renies assignées sur des terres situées à Courcelles ; – bail à fiefle passé par l'abbaye à Henri Tassel, curé de Courcelles, d'une masure, avec ses dépendances, située près du chemin conduisant de la maison dudit Tassel au manoir de l'abbaye, moyennant une rente annuelle de 10 sous tournois (1315) ; – copie de l'acte de collation de la cure de Courcelles en faveur de Claude Postel, prêtre, sur la présentation de Jacques Bouvier, prêtre, abbé commen-dataire de Beaubec (1630).

H5 , 1302-1630 , Clos-de-la-Ville (Le), sis à Courcelles ; Courcelles ; Vernonnet  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Beaubec (Ordre de Cîteaux)

Courcelles, Port-Mort, forêt d'Andely (bois du Breuil).

H1108 , 1348-1787 , Andelys (Les), Forêt (La) ; Andelys (Les), Maison-Dieu ; Beaubec (abbaye de) ; Bouafles ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bray (le bois du) ; Breuil (le Bois du), sis à Courcelles-en-Bouafles ; Breuil (Le) ; Courcelles ; Gisors ; Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Neuville (en la forêt d'Orléans) ; Notre-Dame-de-Bonne-Espérance ; Paris (ville) ; Port-Mort ; Pressagny-l'Orgueilleux  

Vidimus du privilège concédé par Jean, duc de Normandie, à Pierre de Courcelles, écuyer, maître de la garde de Neuville en la forêt d'Orléans, et à ses successeurs dans la seigneurie de Courcelles, pour « le pasnage et pasturage en nostre forest d'Andeli jusques au nombre de vint bestes, buefs, vaches ou pors tant seulement, en la fourme et manière que les religieux de Beaubec et de Mortemer, le maistre et les frères de la maison Dieu d'Andeli et Jehan de Villers les ont et ont acoustumé à avoir en nostre dicte forest... » (1348) ; — mandement adressé par Henri VI, roi de France et d'Angleterre, aux gens des Comptes à Paris pour leur prescrire d'examiner attentivement l'information faite par le vicomte de Gisors sur les privilèges appartenant aux religieux de Beaubec dans la forêt d'Andely, à cause de leur fief de Courcelles, et de les maintenir, s'il y avait lieu, dans la jouissance de leurs droits : « les dis religieux avoient droit d'avoir et prendre en nostre forest d'Andeli les coustumes et libertez qui ensuivent : c'est assavoir, boys pour édiffier et ardoir ou dit manoir, eschallas et paccans, closture pour le cloz et vignes appartenant à icellui manoir, et pardessus ce les diz eschallas à l'usage de leurs autres vignes appartenant à leur dite église, à estre prins par la livrée du verdier sans riens aliéner, avec pasturage à toutes leurs bestes d'icelui manoir, réservé la chièvre, pennage pour leurs porcs et feugaige, droit de passer et rapasser leurs dictes bestes par les deffens et hayes nommés le Breuil pour passer, mener et ramener, sans arrester, par leurs hommes et serviteurs pour pasturer en la forest coustumière... » (Paris, 2 septembre 1433) ; — lettres-patentes de Charles IX contenant donation à la Chartreuse du bois du Breuil : «... Pour la singulière dévotion que Nous avons au couvent de Nostre Dame de Bonne Espérance, de l'ordre Chartreuse, fondé et érigé de nouveau près Gaillon par nostre très cher et amé cousin le cardinal de Bourbon... Avons donné aux religieux, prieur et couvent dudit lieu une pièce de boys taillis assise en nostre forest d'Andely, appellée le deffend du Breul, faisant portion de la garde dudit Breul, contenant cinq cens trente deux arpens, enclose et environnée de fossez et ayant ung fossé passant au travers icelle pièce se bournant d'un costé et d'un bout sur les terres labourables des villaiges de Courcelles et Bouaffle, d'aultre costé les fossez qui sont entre ledict deffend et ladicte forest et d'aultre bout, en pointe, vers Pormor ; planté en chesne, haistre, couldre, charme et aultre boys, dont le plus vieil est de dix-sept et dix-huit ans... ; dudict boys et vente d'icelluy nous est revenu à nostre recepte puis et durant les derniers dix ans la somme de neuf cens soixante et quatre livres cinq sols parisis qui reviennent à douze cens livres tournois, qui est six vingtz livres tournois par chacun an... » (Saint-Germain-en-Laye, janvier 1574) ; — lettre adressée par M. de Bouville à dom Maurice, coadjuteur de la Chartreuse : « Il me paraît fort juste, Monsieur, que votre garde du Breuil soit exempt des corvées ; mais vous n'ignorés pas que vous en avés deux et que celuy dont il s'agit est en outre meneur et vat par conséquent souvent à Paris ; cela fait des absences plus considérables que celles de racommoder les chemains de sa paroisse... » (s. d.) ; — « plan du bois du Bray, contenant 531 arpents 40 perches, à raison de 22 pieds pour perche, par Delaunay, arpenteur des forest du Roy, en 1756 » ; — aveu « du bois du Breuil, connu actuellement sous le nom de bois du Bray, contenant cinq cents trente-deux arpens », rendu par les Chartreux à Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, à cause de sa vicomté, bailliage et châtellenie d'Andely, un des membres de son. Duché de Gisors (1787) ; — plan de la forêt d'Andely, contenant 2,683 arpens, avec le cours de la Seine depuis le Petit-Andely jusqu'à Pressagny-l'Orgueilleux et les villages environnant la forêt (XVIIIe siècle).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Courcelles, Port-Mort, forêt d'Andely (bois du Breuil).

H1108 , 1348-1787 , Andelys (Les), Forêt (La) ; Andelys (Les), Maison-Dieu ; Beaubec (abbaye de) ; Bouafles ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bray (le bois du) ; Breuil (le Bois du), sis à Courcelles-en-Bouafles ; Breuil (Le) ; Courcelles ; Gisors ; Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Neuville (en la forêt d'Orléans) ; Notre-Dame-de-Bonne-Espérance ; Paris (ville) ; Port-Mort ; Pressagny-l'Orgueilleux  

Vidimus du privilège concédé par Jean, duc de Normandie, à Pierre de Courcelles, écuyer, maître de la garde de Neuville en la forêt d'Orléans, et à ses successeurs dans la seigneurie de Courcelles, pour « le pasnage et pasturage en nostre forest d'Andeli jusques au nombre de vint bestes, buefs, vaches ou pors tant seulement, en la fourme et manière que les religieux de Beaubec et de Mortemer, le maistre et les frères de la maison Dieu d'Andeli et Jehan de Villers les ont et ont acoustumé à avoir en nostre dicte forest... » (1348) ; — mandement adressé par Henri VI, roi de France et d'Angleterre, aux gens des Comptes à Paris pour leur prescrire d'examiner attentivement l'information faite par le vicomte de Gisors sur les privilèges appartenant aux religieux de Beaubec dans la forêt d'Andely, à cause de leur fief de Courcelles, et de les maintenir, s'il y avait lieu, dans la jouissance de leurs droits : « les dis religieux avoient droit d'avoir et prendre en nostre forest d'Andeli les coustumes et libertez qui ensuivent : c'est assavoir, boys pour édiffier et ardoir ou dit manoir, eschallas et paccans, closture pour le cloz et vignes appartenant à icellui manoir, et pardessus ce les diz eschallas à l'usage de leurs autres vignes appartenant à leur dite église, à estre prins par la livrée du verdier sans riens aliéner, avec pasturage à toutes leurs bestes d'icelui manoir, réservé la chièvre, pennage pour leurs porcs et feugaige, droit de passer et rapasser leurs dictes bestes par les deffens et hayes nommés le Breuil pour passer, mener et ramener, sans arrester, par leurs hommes et serviteurs pour pasturer en la forest coustumière... » (Paris, 2 septembre 1433) ; — lettres-patentes de Charles IX contenant donation à la Chartreuse du bois du Breuil : «... Pour la singulière dévotion que Nous avons au couvent de Nostre Dame de Bonne Espérance, de l'ordre Chartreuse, fondé et érigé de nouveau près Gaillon par nostre très cher et amé cousin le cardinal de Bourbon... Avons donné aux religieux, prieur et couvent dudit lieu une pièce de boys taillis assise en nostre forest d'Andely, appellée le deffend du Breul, faisant portion de la garde dudit Breul, contenant cinq cens trente deux arpens, enclose et environnée de fossez et ayant ung fossé passant au travers icelle pièce se bournant d'un costé et d'un bout sur les terres labourables des villaiges de Courcelles et Bouaffle, d'aultre costé les fossez qui sont entre ledict deffend et ladicte forest et d'aultre bout, en pointe, vers Pormor ; planté en chesne, haistre, couldre, charme et aultre boys, dont le plus vieil est de dix-sept et dix-huit ans... ; dudict boys et vente d'icelluy nous est revenu à nostre recepte puis et durant les derniers dix ans la somme de neuf cens soixante et quatre livres cinq sols parisis qui reviennent à douze cens livres tournois, qui est six vingtz livres tournois par chacun an... » (Saint-Germain-en-Laye, janvier 1574) ; — lettre adressée par M. de Bouville à dom Maurice, coadjuteur de la Chartreuse : « Il me paraît fort juste, Monsieur, que votre garde du Breuil soit exempt des corvées ; mais vous n'ignorés pas que vous en avés deux et que celuy dont il s'agit est en outre meneur et vat par conséquent souvent à Paris ; cela fait des absences plus considérables que celles de racommoder les chemains de sa paroisse... » (s. d.) ; — « plan du bois du Bray, contenant 531 arpents 40 perches, à raison de 22 pieds pour perche, par Delaunay, arpenteur des forest du Roy, en 1756 » ; — aveu « du bois du Breuil, connu actuellement sous le nom de bois du Bray, contenant cinq cents trente-deux arpens », rendu par les Chartreux à Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, à cause de sa vicomté, bailliage et châtellenie d'Andely, un des membres de son. Duché de Gisors (1787) ; — plan de la forêt d'Andely, contenant 2,683 arpens, avec le cours de la Seine depuis le Petit-Andely jusqu'à Pressagny-l'Orgueilleux et les villages environnant la forêt (XVIIIe siècle).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Donations et cessions faites à l'abbaye : par Gilbert Le Moine, de deux pièces de vignes aux Côtes de la Rocque (confirmée par Guillaume Bardol, 1200), – par Eude, curé de Courcelles, d'une vigne située près des terres de l'abbaye (confirmée par Guillaume Muies, 1202), – par Pierre de Mauquenchy, d'un clos de vigne aux Monts de la Falaise (in montibus Falesie), et du droit de pressurage sur les vignes que possédait l'abbaye dans l'étendue de son fief (1203), – par Guillaume Blandin et ses frères, du clos d'Emmeline (clausum Ermeline ; confirmée par Amaury de Corny, 1203), – par Pierre de Portmort, sa femme, ses filles Ghellent et Alice, et Guillaume, chevalier, de leur droit de pressurage sur les vignes de la Rocque, depuis le chemin de la Rocque jusqu'au manoir de l'abbaye, sur celles d'Allebert et sur le clos de Pierre de Mauquenchy (donation semblable faite par Osbert Lovel, Garin et Emmeline, 1205), – par Amaury de Corny, de tous ses droits sur la vigne du clos de Pressagny, – par Pierre de Cleri, d'une masure et de ses dépendances, dont Hugues Pelet avait été tenancier, – par Pierre de la Motte (de Mota), écuyer, de tous ses droits sur la vigne de Martin Crosicosse (1207), – par Hédouin Strabon (Heuduinus Strabo) et Nicolas de Vemon, clerc, son fils, d'un demi-muid de vin assigné sur les maisons des donateurs situées à Vernon, « extra portant Madunte, supra fosseium » (1208), – par Denis de Reuilly, de ses droits de pressurage et autres sur les vignes du clos de Mauquenchy et d'Alleubert, et sur les possessions de l'abbaye situées dans l'étendue de son fief (1216), – par Guillaume Pinel, de son droit de pressurage prétendu sur le tiers du fief de Denis de Reuilly, – par Robert Mercenaire (Mercennarius), de toute sa vigne d'Alleubert, avec ses dépendances, – par Gilbert Fromont, de sa vigne située près de Vaucelle (juxta Valcellam, 1217) ; – confirmation par Robert de Mauquenchy de la donation de 7 sous de rente faite à l'abbaye par Mathilde, sa mère (1219) ; – donation à l'abbaye par Robert II, archevêque de Rouen, sur la résignation de Raoul de Oistrekan, de l'église de Courcelles avec ses dépendances et le droit de patronage (1211) ; – sentence arbitrale rendue par Baudouin d'Ourscamp et Jocelin du Pré, abbés, pour régler les contestations survenues entre l'abbaye de Beaubec et l'abbaye de Mortemer au sujet du droit de pressurage des raisins et des autres biens et possessions des deux abbayes à Portmort et à Courcelles (1210).

H2 , 1200-1220 , Aillenbert (La Vigne d') sise à Port-Mort ; Courcelles ; Courcelles ; Emmeline (le Clos d') ; Monts-de-la-Falaise (Vignes) près de Pressagny ; Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Port-Mort ; Port-Mort ; Port-Mort ; Pressagny-l'Orgueilleux ; Vaucelle ; Vaucelle  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Beaubec (Ordre de Cîteaux)

Donations et cessions faites à l'abbaye : par Gilbert Le Moine, de deux pièces de vignes aux Côtes de la Rocque (confirmée par Guillaume Bardol, 1200), – par Eude, curé de Courcelles, d'une vigne située près des terres de l'abbaye (confirmée par Guillaume Muies, 1202), – par Pierre de Mauquenchy, d'un clos de vigne aux Monts de la Falaise (in montibus Falesie), et du droit de pressurage sur les vignes que possédait l'abbaye dans l'étendue de son fief (1203), – par Guillaume Blandin et ses frères, du clos d'Emmeline (clausum Ermeline ; confirmée par Amaury de Corny, 1203), – par Pierre de Portmort, sa femme, ses filles Ghellent et Alice, et Guillaume, chevalier, de leur droit de pressurage sur les vignes de la Rocque, depuis le chemin de la Rocque jusqu'au manoir de l'abbaye, sur celles d'Allebert et sur le clos de Pierre de Mauquenchy (donation semblable faite par Osbert Lovel, Garin et Emmeline, 1205), – par Amaury de Corny, de tous ses droits sur la vigne du clos de Pressagny, – par Pierre de Cleri, d'une masure et de ses dépendances, dont Hugues Pelet avait été tenancier, – par Pierre de la Motte (de Mota), écuyer, de tous ses droits sur la vigne de Martin Crosicosse (1207), – par Hédouin Strabon (Heuduinus Strabo) et Nicolas de Vemon, clerc, son fils, d'un demi-muid de vin assigné sur les maisons des donateurs situées à Vernon, « extra portant Madunte, supra fosseium » (1208), – par Denis de Reuilly, de ses droits de pressurage et autres sur les vignes du clos de Mauquenchy et d'Alleubert, et sur les possessions de l'abbaye situées dans l'étendue de son fief (1216), – par Guillaume Pinel, de son droit de pressurage prétendu sur le tiers du fief de Denis de Reuilly, – par Robert Mercenaire (Mercennarius), de toute sa vigne d'Alleubert, avec ses dépendances, – par Gilbert Fromont, de sa vigne située près de Vaucelle (juxta Valcellam, 1217) ; – confirmation par Robert de Mauquenchy de la donation de 7 sous de rente faite à l'abbaye par Mathilde, sa mère (1219) ; – donation à l'abbaye par Robert II, archevêque de Rouen, sur la résignation de Raoul de Oistrekan, de l'église de Courcelles avec ses dépendances et le droit de patronage (1211) ; – sentence arbitrale rendue par Baudouin d'Ourscamp et Jocelin du Pré, abbés, pour régler les contestations survenues entre l'abbaye de Beaubec et l'abbaye de Mortemer au sujet du droit de pressurage des raisins et des autres biens et possessions des deux abbayes à Portmort et à Courcelles (1210).

H2 , 1200-1220 , Aillenbert (La Vigne d') sise à Port-Mort ; Courcelles ; Courcelles ; Emmeline (le Clos d') ; Monts-de-la-Falaise (Vignes) près de Pressagny ; Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Port-Mort ; Port-Mort ; Port-Mort ; Pressagny-l'Orgueilleux ; Vaucelle ; Vaucelle  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Beaubec (Ordre de Cîteaux)

Courcelles, Port-Mort, forêt d'Andely (bois du Breuil).

H1109 , 1460-1788 , Aubevoye ; Beaubec (abbaye de) ; Beauchesne (fief de), sis à Saint-Aubin-sur-Gaillon ; Beaurepaire ; Bisy, près Vernon ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bramville-en-Auge ; Clerbourg (fief de) ; Courcelles ; Fourneaux (lieu dit) paroisse de Vernonnet ; Gaillon ; Jeufosse (village) sis à Saint-Aubin-sur-Gaillon (Château de) ; Mesnils (Les), hameau de Sainte-Barbe-sur-Gaillon ; Prescigny ; Sainte-Catherine (Prieuré de), paroisse Sainte-Geneviève à Vernon ; Sainte-Marie-au-Bosc (triège de), sis au Tilleul ; Saint-Just-près-Vernon ; Saint-Liébault (paroisse de) ; Val-Montmerel (Le) ; Vézillon  

Obligation d'une rente de 14 livres tournois assignée sur une pièce de pré à Vezillon, passée au profit de Marion Cavart pour une durée de six années par Pierre de Courcelles, chevalier, seigneur de Saint-Liébault et de Courcelles (1460) ; — « c'est la déclaration par boultz et costés des héritages que les relligieux, abbé et couvent de Beaubec exposent et mettent en vente pour satisfaire à la somme de trente escus sol de rente, à raison du denier vingt-quatre, en quoy ladite abbaye a esté taxée au privé Conseil du Roy nostre sire pour leur cotte-part et portion des cinquante mil escus sol de rente levée par Sa Majesté sur Messieurs du Clergé de France suivant la bulle et permission de Nostre Saint Père le Pape, dabté à Rome le 18e de juillet dernier [mil] cinq centz soixante et saize... » ; —déclaration des biens acquis par la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon depuis 1641 (1689) ; — vente par « Cosme de Chevestre, chevalier, seigneur de Beauchesne et seigneur et patron de Courcelles, demeurant ordinairement audit Beauchesne, parroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon, en l'Isle de Grâce, diocèse d'Évreux », à Armand-Claude Halle de Clerbourg, chevalier, seigneur dudit lieu, capitaine de chevaux légers au régiment Royal Étranger et lieutenant des fauconniers du Cabinet du Roi, « du fief, glaibe, seigneurie et patronnage de Courcelles qui s'étend dans la parroisse de Courcelles et en celles de Pormort, Prescigny, Fourneaux et aullres lieux », pour le prix de 2.500 livres (1691) ; — contrat d'échange de terres passé entre la Chartreuse, représentée par dom Bernard Maistre, prieur, d'une part, et « Pierre Thomas de la Niepce-Duplis, chevalier, seigneur de Fonrneaux, Leval-Montmerel et autres lieux, demeurant ordinairement en La ville et paroisse de Saint-Sauveur du Petit-Andely, maintenant en son château de Jeufosse, paroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon », d'autre part (1779). Aux termes de ce contrat, les Chartreux cèdent le fief, terre et seigneurte de Branville, vicomte d'Auge et vingt huit acres de terre situées dans les paroisses de Beaurepaire et de Sainte-Marie-au-Bosc ; ils reçoivent en contre-échange « tous et tels biens-fonds, rentes et redevances, de quelques natures et espèces qu'elles soient ou puissent être et appartenir audit sieur Du plis en la paroisse de Courcelles, tant de son chef qu'aux droits de dame Marie-Gabriel Halley de Clerbourg, sa mère, et comme héritier de Messire André Halley de Clerbourg, son oncle » ; la terre et seigneurie de Branville est évaluée à 750 livres de revenus et 27.000 livres de capital, les terres de Beaurepaire et de Sainte-Marie-au-Bosc à 600 livres de revenu et 18.000 livres de capital, celles de Courcelles à 1.350 livres de revenu et 45.000 livres de capital ; — contrat d'échange entre la Chartreuse, d'une part, Pierre-Éléonor de Chalenge, écuyer, chevalier de Saint-Louis, capitaine de cavalerie, demeurant à Saint-Georges d'Aubevoye, et Robert-Jean Baroche, lieutenant du bailli de Gaillon, demeurant aux Menils, paroisse de Sainte-Barbe-sur-Gaillon, d'autre part (1779). Les Chartreux cèdent le domaine du prieuré de Bizy ou de Sainte-Catherine, paroisse de Sainte-Geneviève de Vernon, des terres et des vignes à Vernon et à Saint-Just, 115 livres 2 sous 6 deniers de rente à prendre sur le duc de Penthièvre comme ayant acquis de M. de Savary la terre de Saint-Just et le droit de pêche sous l'arche du pont de Vernon « qui est à costé du second moulin » ; ils reçoivent en contre-échange des terres et des prairies situées à Courcelles ; les biens échangés entre les parties contractantes sont évalués ensemble à 38.000 livres ; — plans et arpentages de terres situées à Courcelles et appartenant à la Chartreuse (XVIIIe siècle).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Courcelles, Port-Mort, forêt d'Andely (bois du Breuil).

H1109 , 1460-1788 , Aubevoye ; Beaubec (abbaye de) ; Beauchesne (fief de), sis à Saint-Aubin-sur-Gaillon ; Beaurepaire ; Bisy, près Vernon ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bramville-en-Auge ; Clerbourg (fief de) ; Courcelles ; Fourneaux (lieu dit) paroisse de Vernonnet ; Gaillon ; Jeufosse (village) sis à Saint-Aubin-sur-Gaillon (Château de) ; Mesnils (Les), hameau de Sainte-Barbe-sur-Gaillon ; Prescigny ; Sainte-Catherine (Prieuré de), paroisse Sainte-Geneviève à Vernon ; Sainte-Marie-au-Bosc (triège de), sis au Tilleul ; Saint-Just-près-Vernon ; Saint-Liébault (paroisse de) ; Val-Montmerel (Le) ; Vézillon  

Obligation d'une rente de 14 livres tournois assignée sur une pièce de pré à Vezillon, passée au profit de Marion Cavart pour une durée de six années par Pierre de Courcelles, chevalier, seigneur de Saint-Liébault et de Courcelles (1460) ; — « c'est la déclaration par boultz et costés des héritages que les relligieux, abbé et couvent de Beaubec exposent et mettent en vente pour satisfaire à la somme de trente escus sol de rente, à raison du denier vingt-quatre, en quoy ladite abbaye a esté taxée au privé Conseil du Roy nostre sire pour leur cotte-part et portion des cinquante mil escus sol de rente levée par Sa Majesté sur Messieurs du Clergé de France suivant la bulle et permission de Nostre Saint Père le Pape, dabté à Rome le 18e de juillet dernier [mil] cinq centz soixante et saize... » ; —déclaration des biens acquis par la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon depuis 1641 (1689) ; — vente par « Cosme de Chevestre, chevalier, seigneur de Beauchesne et seigneur et patron de Courcelles, demeurant ordinairement audit Beauchesne, parroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon, en l'Isle de Grâce, diocèse d'Évreux », à Armand-Claude Halle de Clerbourg, chevalier, seigneur dudit lieu, capitaine de chevaux légers au régiment Royal Étranger et lieutenant des fauconniers du Cabinet du Roi, « du fief, glaibe, seigneurie et patronnage de Courcelles qui s'étend dans la parroisse de Courcelles et en celles de Pormort, Prescigny, Fourneaux et aullres lieux », pour le prix de 2.500 livres (1691) ; — contrat d'échange de terres passé entre la Chartreuse, représentée par dom Bernard Maistre, prieur, d'une part, et « Pierre Thomas de la Niepce-Duplis, chevalier, seigneur de Fonrneaux, Leval-Montmerel et autres lieux, demeurant ordinairement en La ville et paroisse de Saint-Sauveur du Petit-Andely, maintenant en son château de Jeufosse, paroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon », d'autre part (1779). Aux termes de ce contrat, les Chartreux cèdent le fief, terre et seigneurte de Branville, vicomte d'Auge et vingt huit acres de terre situées dans les paroisses de Beaurepaire et de Sainte-Marie-au-Bosc ; ils reçoivent en contre-échange « tous et tels biens-fonds, rentes et redevances, de quelques natures et espèces qu'elles soient ou puissent être et appartenir audit sieur Du plis en la paroisse de Courcelles, tant de son chef qu'aux droits de dame Marie-Gabriel Halley de Clerbourg, sa mère, et comme héritier de Messire André Halley de Clerbourg, son oncle » ; la terre et seigneurie de Branville est évaluée à 750 livres de revenus et 27.000 livres de capital, les terres de Beaurepaire et de Sainte-Marie-au-Bosc à 600 livres de revenu et 18.000 livres de capital, celles de Courcelles à 1.350 livres de revenu et 45.000 livres de capital ; — contrat d'échange entre la Chartreuse, d'une part, Pierre-Éléonor de Chalenge, écuyer, chevalier de Saint-Louis, capitaine de cavalerie, demeurant à Saint-Georges d'Aubevoye, et Robert-Jean Baroche, lieutenant du bailli de Gaillon, demeurant aux Menils, paroisse de Sainte-Barbe-sur-Gaillon, d'autre part (1779). Les Chartreux cèdent le domaine du prieuré de Bizy ou de Sainte-Catherine, paroisse de Sainte-Geneviève de Vernon, des terres et des vignes à Vernon et à Saint-Just, 115 livres 2 sous 6 deniers de rente à prendre sur le duc de Penthièvre comme ayant acquis de M. de Savary la terre de Saint-Just et le droit de pêche sous l'arche du pont de Vernon « qui est à costé du second moulin » ; ils reçoivent en contre-échange des terres et des prairies situées à Courcelles ; les biens échangés entre les parties contractantes sont évalués ensemble à 38.000 livres ; — plans et arpentages de terres situées à Courcelles et appartenant à la Chartreuse (XVIIIe siècle).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon