Toutes les ressources Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin 174 résultats (9ms)

Bérengeville-la-Rivière.

H739 , 1544-1696 , Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin  

Pièces de procédures pour les religieux de Saint-Taurin contre les tenanciers de plusieurs pièces de terre sises à Bérengeville-la-Rivière et chargées de rentes foncières envers l'abbaye (seconde moitié du XVIe siècle) ; — sentences de saisie et de réunion au domaine non fieffé de la seigneurie de Bérengeville-la-Rivière de terres situées dans cette paroisse et dont les tenanciers n'avaient pas rempli leurs obligations féodales.

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Boisgencelin.

H672 , XIIe-1275 , Bois-Gencelin (Le) sis paroisse Saint-Sébastien ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Musse (La), fief ; Noë (Abbaye de la) ; Saint-Aquilin-de-Pacy ; Vaupéan (triège du) à Boisgencelin  

Donation à l'abbaye par Benoît Cocus, de Saint-Taurin, de 4 acres de terre et de bois situées dans le fief des religieux de la Noë, entre la Musse, les bois et les terres de Bérengeville (s. d. vers 1200). Témoins : Luc, doyen d'Évreux ; Raoul, archidiacre d'Évreux ; Guillaume de Pacy, Henri d'Acquigny et Oger, chanoines d'Évreux ; Gautier du Port ; Robert de la Porte ; Garin de Maubuisson, chevalier ; Roger du Boisgencelin, fils de Richard Péan) ; —donations, confirmations et ventes à l'abbaye de terres et de bois situés au Vaupéan et dans la paroisse de Boisgencelin, par Avicie, veuve de Mathieu d'Orvaux (s. d. ), Roger Péan du Boisgencelin (1196-1208), RogerdesPortes (1197), Robert, fils de Richard du Boisgencelin (1202-1208), Agnès, fille de Guillaume de Villalet (1204), Hugues de Risemberge, Richard de Cleis (1208), Richard, fils de Robert du Boisgencelin, chevalier (1227), Isabelle, veuve de Raoul Chanu, de la Musse, chevalier (1233), Robert Chanu, fils de Richard Chanu, chevalier (1234), Roger de Saint-Jean (1234), Isabelle, veuve de Roger d'Andé, chevalier (1238), Guillaume du Boisgencelin (1244), Pierre de Boussey, écuyer, et Isabelle, sa femme, de la paroisse de Saint-Aquilin près Pacy (1275).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de la Noë (Ordre de Cîteaux)

Boisgencelin.

H743 , 1208-1785 , Bois-Gencelin (Le) sis paroisse Saint-Sébastien ; Evreux (Abbayes) : Clos en bois, sis au Bois-Gencelin, dits : L'aumônerie de Saint-Taurin ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Rouen (ville)  

Donation à l'abbaye par Asiria des terres sises au Boisgencelin provenant de sa dot, d'une masure et d'un bois au même lieu ; confirmation de la donation ci-dessus par Robert du Boisgencelin (Évreux, 1208. En présence de Luc, évêque d'Évreux) ; — résignation par Roger du Boisgencelin entre les mains de Luc, évêque d'Évreux, et en présence du chapitre cathédral, de tous ses droits sur l'église du Boisgencelin, et donation par le même aux religieux de Saint-Taurin d'une terre contiguë au bois de Robert du Boisgencelin (1209) ; — confirmation par Richard du Boisgencelin, chevalier, des donations faites à l'abbaye par Gencelin, avec le consentement de Roger de Beaumont, son seigneur, et des autres donations faites par ses prédécesseurs ; Richard du Boisgencelin concède en outre aux religieux un droit de pâturage sur ses terres et dans ses bois pour leurs troupeaux et pour ceux de leurs fermiers (1244) ; — confimation par Grégoire, chevalier, seigneur du Boisgencelin, du clos et du bois que les religieux de Saint-Taurin possédaient au Boisgencelin et qu'on appelait l'Aumônerie de Saint-Taurin (1282) ; — procès-verbal dressé, par Etienne de Magny, sergent du Roi « ès exemptions d'Évreux », en exécution d'un mandement de l'Échiquier de Rouen, pour constater le refus des religieux de Saint-Taurin de recevoir dans leur abbaye et à leurs dépens un valet, un cheval et deux lévriers appartenant à Robert du Boisgencelin, écuyer, en dépit des prétentions élevées par ce dernier (1397). Mémoires dressés par les religieux de Saint-Taurin, pour combattre les prétentions ci-dessus : «.... Se aucunement messire Richard (père dudit Robert du Boisgencelin) ou aucuns de ses variés, chevaulx ou lévriers furent aucune foiz en la dicte abbaye aux despens d'icelle, se fu par courtoisie meue de bonne vollenté et amour que avoient lesdiz religieux au dict feu père dudit escuier, et lui à eux, et y avoit plusieurs raisons qui ad ce mouvoient chacune des parties : la première, que ledit feu père du dit escuier estoit un très simple et doulx chevalier et avoit moult le déduit et se alloit aucune foiz esbastre lui et aucuns des religieux de la dicte abbaye licitement et après retournoient en la dicte abbaye et lui faisoit on bonne chière et à ses gens ; la seconde, que il estoit veneur du Roy et Royne de Navarre qui demouroient à Saint-Germain près [Évreux], à un quart de lieue de la dicte abbaye et n'y avoit pas moult grans prouffis et sy estoit de soy homme de asses fieble puissance de chevance et sy estoit sa femme assès dure en parole et en aceul envers lui, pour quoy il venoit souvent, lui et ses chevaulx, variés et lévriers, en la dicte abbaye, pour ce que il y estoit moult amé et bel appelle et lui faisoit on vollentiers bonne chière, mais ce estoit de vollenté et par amour et courtoisie, comme dit est, et aussi faisoit il ausditz religieux le plus de doulceur, amour et courtoisie qu'il povoit.... » (1408) ; — pièces de procédures, mémoires et notes pour les religieux de Saint-Taurin au sujet de leurs biens, droits et revenus dans la paroisse du Boisgencelin (XVIe-XVIIIe siècles).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Boisgencelin.

H672 , XIIe-1275 , Bois-Gencelin (Le) sis paroisse Saint-Sébastien ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Musse (La), fief ; Noë (Abbaye de la) ; Saint-Aquilin-de-Pacy ; Vaupéan (triège du) à Boisgencelin  

Donation à l'abbaye par Benoît Cocus, de Saint-Taurin, de 4 acres de terre et de bois situées dans le fief des religieux de la Noë, entre la Musse, les bois et les terres de Bérengeville (s. d. vers 1200). Témoins : Luc, doyen d'Évreux ; Raoul, archidiacre d'Évreux ; Guillaume de Pacy, Henri d'Acquigny et Oger, chanoines d'Évreux ; Gautier du Port ; Robert de la Porte ; Garin de Maubuisson, chevalier ; Roger du Boisgencelin, fils de Richard Péan) ; —donations, confirmations et ventes à l'abbaye de terres et de bois situés au Vaupéan et dans la paroisse de Boisgencelin, par Avicie, veuve de Mathieu d'Orvaux (s. d. ), Roger Péan du Boisgencelin (1196-1208), RogerdesPortes (1197), Robert, fils de Richard du Boisgencelin (1202-1208), Agnès, fille de Guillaume de Villalet (1204), Hugues de Risemberge, Richard de Cleis (1208), Richard, fils de Robert du Boisgencelin, chevalier (1227), Isabelle, veuve de Raoul Chanu, de la Musse, chevalier (1233), Robert Chanu, fils de Richard Chanu, chevalier (1234), Roger de Saint-Jean (1234), Isabelle, veuve de Roger d'Andé, chevalier (1238), Guillaume du Boisgencelin (1244), Pierre de Boussey, écuyer, et Isabelle, sa femme, de la paroisse de Saint-Aquilin près Pacy (1275).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de la Noë (Ordre de Cîteaux)

Boisgencelin.

H743 , 1208-1785 , Bois-Gencelin (Le) sis paroisse Saint-Sébastien ; Evreux (Abbayes) : Clos en bois, sis au Bois-Gencelin, dits : L'aumônerie de Saint-Taurin ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Rouen (ville)  

Donation à l'abbaye par Asiria des terres sises au Boisgencelin provenant de sa dot, d'une masure et d'un bois au même lieu ; confirmation de la donation ci-dessus par Robert du Boisgencelin (Évreux, 1208. En présence de Luc, évêque d'Évreux) ; — résignation par Roger du Boisgencelin entre les mains de Luc, évêque d'Évreux, et en présence du chapitre cathédral, de tous ses droits sur l'église du Boisgencelin, et donation par le même aux religieux de Saint-Taurin d'une terre contiguë au bois de Robert du Boisgencelin (1209) ; — confirmation par Richard du Boisgencelin, chevalier, des donations faites à l'abbaye par Gencelin, avec le consentement de Roger de Beaumont, son seigneur, et des autres donations faites par ses prédécesseurs ; Richard du Boisgencelin concède en outre aux religieux un droit de pâturage sur ses terres et dans ses bois pour leurs troupeaux et pour ceux de leurs fermiers (1244) ; — confimation par Grégoire, chevalier, seigneur du Boisgencelin, du clos et du bois que les religieux de Saint-Taurin possédaient au Boisgencelin et qu'on appelait l'Aumônerie de Saint-Taurin (1282) ; — procès-verbal dressé, par Etienne de Magny, sergent du Roi « ès exemptions d'Évreux », en exécution d'un mandement de l'Échiquier de Rouen, pour constater le refus des religieux de Saint-Taurin de recevoir dans leur abbaye et à leurs dépens un valet, un cheval et deux lévriers appartenant à Robert du Boisgencelin, écuyer, en dépit des prétentions élevées par ce dernier (1397). Mémoires dressés par les religieux de Saint-Taurin, pour combattre les prétentions ci-dessus : «.... Se aucunement messire Richard (père dudit Robert du Boisgencelin) ou aucuns de ses variés, chevaulx ou lévriers furent aucune foiz en la dicte abbaye aux despens d'icelle, se fu par courtoisie meue de bonne vollenté et amour que avoient lesdiz religieux au dict feu père dudit escuier, et lui à eux, et y avoit plusieurs raisons qui ad ce mouvoient chacune des parties : la première, que ledit feu père du dit escuier estoit un très simple et doulx chevalier et avoit moult le déduit et se alloit aucune foiz esbastre lui et aucuns des religieux de la dicte abbaye licitement et après retournoient en la dicte abbaye et lui faisoit on bonne chière et à ses gens ; la seconde, que il estoit veneur du Roy et Royne de Navarre qui demouroient à Saint-Germain près [Évreux], à un quart de lieue de la dicte abbaye et n'y avoit pas moult grans prouffis et sy estoit de soy homme de asses fieble puissance de chevance et sy estoit sa femme assès dure en parole et en aceul envers lui, pour quoy il venoit souvent, lui et ses chevaulx, variés et lévriers, en la dicte abbaye, pour ce que il y estoit moult amé et bel appelle et lui faisoit on vollentiers bonne chière, mais ce estoit de vollenté et par amour et courtoisie, comme dit est, et aussi faisoit il ausditz religieux le plus de doulceur, amour et courtoisie qu'il povoit.... » (1408) ; — pièces de procédures, mémoires et notes pour les religieux de Saint-Taurin au sujet de leurs biens, droits et revenus dans la paroisse du Boisgencelin (XVIe-XVIIIe siècles).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Capelles-les-Grands.

H917 , 1594-1777 , Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Maupas (de Malo passu), Prieuré de Saint-Nicolas de Maupas ; Orbec  

Sentence de la vicomté d'Orbec, condamnant le prieur de Maupas à payer à Robert Dupont, curé de la seconde portion de la cure de Capelles, une somme de 90 écus qui lui était due pour sa pension (1594) ; — pièces de procédures entre le prieur de Maupas, l'abbesse de Saint-Sauveur d'Évreux et l'abbé de Saint-Taurin d'Évreux, décimateurs de la paroisse de Capelles, d'une part, et Pierre Dommey, curé de la petite portion de la cure de ladite paroisse, d'autre part, au sujet de la pension congrue de 300 livres accordée à ce dernier conformément à la déclaration du roi du 29 janvier 1686 (1676-1700) ; — quittances de payement des sommes dues par le prieur de Maupas à Pierre Dommey, curé de la petite portion de la cure de Capelles, pour sa pension congrue, à raison de 150 livres par an (1688-1727).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Maupas

Capelles-les-Grands.

H917 , 1594-1777 , Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Maupas (de Malo passu), Prieuré de Saint-Nicolas de Maupas ; Orbec  

Sentence de la vicomté d'Orbec, condamnant le prieur de Maupas à payer à Robert Dupont, curé de la seconde portion de la cure de Capelles, une somme de 90 écus qui lui était due pour sa pension (1594) ; — pièces de procédures entre le prieur de Maupas, l'abbesse de Saint-Sauveur d'Évreux et l'abbé de Saint-Taurin d'Évreux, décimateurs de la paroisse de Capelles, d'une part, et Pierre Dommey, curé de la petite portion de la cure de ladite paroisse, d'autre part, au sujet de la pension congrue de 300 livres accordée à ce dernier conformément à la déclaration du roi du 29 janvier 1686 (1676-1700) ; — quittances de payement des sommes dues par le prieur de Maupas à Pierre Dommey, curé de la petite portion de la cure de Capelles, pour sa pension congrue, à raison de 150 livres par an (1688-1727).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Maupas

Cierrey.

H744 , 1310 , Cierrey ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Evreux (Prieuré de Saint-Nicolas de la Maladrerie) ; Groucet (le Moulin de), à Cierrey  

Copie informe (XVIIe siècle) d'un bail à fieffé passé par Robert de Cierrey, chevalier, seigneur de Cierrey, à Nicolas Le Monier et à Lejart, sa femme, du moulin de Groucet, autrement appelé le moulin de Cierrey, et de ses dépendances, à la charge par le preneur de payer annuellement 60 sous tournois audit Robert de Cierrey et à ses successeurs, 8 livres tournois à Richard du Boisgencelin, écuyer, et à ses successeurs, 50 sous tournois au prieur et aux frères de Saint-Nicolas d'Évreux et 50 sous tournois à l'abbaye de Saint-Taurin pour la dîme dudit moulin : «... Ledit chevallier ou ses hoirs sont ou seront tenus à faire curer le biez dudit moullin à lour gens et lour hommes, et les dits prenours ou lour hers seront tenus à trouver à chacune personne qui aidera à curer ledit biez.... De pain pour jour tant seulement, et y doit ledit chevallier ou ses hers faire amener les meules qui y faudra, toutes fois que mestier sera, à ses hommes et à ses despens, et tout le gros mérien qu'il faudra ; et doit ledit chevallier garantir audit moullin un asne ou une asnesse pour aller par la ville quere les fetiz et le bled aux boullengers pour moudre audit moullin... ».

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Cierrey.

H744 , 1310 , Cierrey ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Evreux (Prieuré de Saint-Nicolas de la Maladrerie) ; Groucet (le Moulin de), à Cierrey  

Copie informe (XVIIe siècle) d'un bail à fieffé passé par Robert de Cierrey, chevalier, seigneur de Cierrey, à Nicolas Le Monier et à Lejart, sa femme, du moulin de Groucet, autrement appelé le moulin de Cierrey, et de ses dépendances, à la charge par le preneur de payer annuellement 60 sous tournois audit Robert de Cierrey et à ses successeurs, 8 livres tournois à Richard du Boisgencelin, écuyer, et à ses successeurs, 50 sous tournois au prieur et aux frères de Saint-Nicolas d'Évreux et 50 sous tournois à l'abbaye de Saint-Taurin pour la dîme dudit moulin : «... Ledit chevallier ou ses hoirs sont ou seront tenus à faire curer le biez dudit moullin à lour gens et lour hommes, et les dits prenours ou lour hers seront tenus à trouver à chacune personne qui aidera à curer ledit biez.... De pain pour jour tant seulement, et y doit ledit chevallier ou ses hers faire amener les meules qui y faudra, toutes fois que mestier sera, à ses hommes et à ses despens, et tout le gros mérien qu'il faudra ; et doit ledit chevallier garantir audit moullin un asne ou une asnesse pour aller par la ville quere les fetiz et le bled aux boullengers pour moudre audit moullin... ».

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Comptes de recettes et de dépenses des rentes et des fermages appartenante l'abbaye de Saint-Taurin (1462-1463. Fol. 1-128), Les recettes sont énumérées dans l'ordre suivant : « Saint-Gilles d'Évreux Pennette, Saint-Martin la Champaigne, le fief aux Aurillos, le fief du Buisson, Parville, le Luhéré, Moursenc, Hourmes, Quessigny, La Brosse, La Sougne, le fief Gerouart, Saint-Laurens la Champaigne, Pacy, Fains jouxe Pacy, Hécourt. » Les dépenses prélevées sur ces recettes s'appliquent presque exclusivement à des frais de voyages, de consultation, de procédure, de rédaction de « mémoriaux » et autres actes intéressant les biens et les rentes de l'abbaye : « Le premier jour d'avril, à messire Jehan Drouet, pour plusieurs escriptures faittes par lui, c'est assavoir minuté et grossé l'appointement du procès de Fains, deux mandemens pour sequestrer les fruys estant sur les terres descordables et toutes les aultres escriptures touchant ledit procès, deux prorogations du compromis passé par le curé de Croisy pour les dismes des pains de ladite paroisse et l'émologation de la sentence donnée par les arbitres contre ledit curé de Croisy, ung instrument d'actainte sur le curé du Plessis Hesbert et des menues dismes de la Sougne, et pour tout le procès de la dixième sepmaine du moulin du Champ-Durant, duquel procès le monnier a depuis appointé à Monseigneur, et plusieurs aultres escriptures, payé par marché fait à luy pour toutes ses choses... LX sous tournois » ; – plaids de la seigneurie du Buisson-Hocpin appartenant à l'abbaye (1568 1570. Fol. 129-148) ; – inventaire sommaire des aveux, titres et contrats concernant la même seigneurie (1570. Fol. 149-167) ; –« ce qui est deu annuellement aux religieux, abbé et couvent de l'abbaie de Saint Taurin d'Évreux par les tenans du fief de Saint Jehan de Morsencq jouxte les ancyens pappiers et registres » (Fol. 168-171) ; – journal des recettes des rentes dues à l'abbaye et perçues par Julien Blondel, « recepveur des fiefz, terres et seigneuries » appartenant aux religieux de Saint Taurin (1568-1580.Fol. 172-306) ; –baux à ferme et fragments de plaids et de gages-pleiges des terres, etc., appartenant à l'abbaye (fermes de Cambolle, de la Sôgne, de Qnessigny, de Parville, de Saint-Martin-la-Campagne, du Buisson-Hocpin, dîmes dans diverses paroisses, etc., (1581-1595 ; Fol. 308-411) ; – journaux et états des rentes dues à l'abbaye par les tenanciers des terres dépendant de l'ancien fief de Saint-Taurin, à Évreux et aux environs (1594-1606. Fol. 412-462) ; –« pappier-journal contenant le receptefaicte par Michel Pitet, recepveur des rentes tant foncières que seigneurialles deulz au sieur abbé de Saint-Taurin d'Évreux à cause des maisons et héritaiges assises tant en ceste bourgeoisye que ès environs, tenues de l'ancien fief Saint Taurin sur lequel est assis le masnoir abatial de ladite abbeye, le fieif des Apvrilloclz, le fieif du Buisson Hocquepin et de Pennette, le fief de Parville et le fieif de Sainct Jehan de Morsent, desquels fieifs les hommes tenans et subjectz avecq leurs redevances et recepte sur ce faicte pour les annez mil six cens quatre, six cens cinq et mil six cens six sont cy apprès nommez et desclarez, ainsy qu'il ensuict... » (Fol. 463-528) ; – plaids et gagespleiges, états et journaux de recette des rentes foncières et seigneuriales des terres dépendant du fief du Buisson-Hocpin et de l'ancien fief de Saint-Taurin (1608-1656. Fol. 529-1166).

H796 , 1462-1795 , Aurillots (fief) situé près Evreux ; Brosse (triège de la) situé à la Forêt du Parc ; Buisson (Le), hameau sis à Evreux ; Buisson-Hochin (Le), sis à Evreux, paroisse Saint-Aquilin ; Cambolle (hameau de), sis à Evreux ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Evreux (Paroisses d') : Saint-Gilles ; Fains, près Pacy ; Gerouard (le fief) ; Hécourt ; Luhéré (Le) ; Morsent ; Moursenc ; Ormes ; Pacy-sur-Eure ; Pannette (Métairie de), sise à Evreux ; Parville ; Plessis-Hébert (Le) ; Saint-Laurent-la-Campagne ; Saint-Martin-la-Campagne ; Saint-Taurin (fief de), sis à Evreux ; Sôgne (La)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Comptes de recettes et de dépenses des rentes et des fermages appartenante l'abbaye de Saint-Taurin (1462-1463. Fol. 1-128), Les recettes sont énumérées dans l'ordre suivant : « Saint-Gilles d'Évreux Pennette, Saint-Martin la Champaigne, le fief aux Aurillos, le fief du Buisson, Parville, le Luhéré, Moursenc, Hourmes, Quessigny, La Brosse, La Sougne, le fief Gerouart, Saint-Laurens la Champaigne, Pacy, Fains jouxe Pacy, Hécourt. » Les dépenses prélevées sur ces recettes s'appliquent presque exclusivement à des frais de voyages, de consultation, de procédure, de rédaction de « mémoriaux » et autres actes intéressant les biens et les rentes de l'abbaye : « Le premier jour d'avril, à messire Jehan Drouet, pour plusieurs escriptures faittes par lui, c'est assavoir minuté et grossé l'appointement du procès de Fains, deux mandemens pour sequestrer les fruys estant sur les terres descordables et toutes les aultres escriptures touchant ledit procès, deux prorogations du compromis passé par le curé de Croisy pour les dismes des pains de ladite paroisse et l'émologation de la sentence donnée par les arbitres contre ledit curé de Croisy, ung instrument d'actainte sur le curé du Plessis Hesbert et des menues dismes de la Sougne, et pour tout le procès de la dixième sepmaine du moulin du Champ-Durant, duquel procès le monnier a depuis appointé à Monseigneur, et plusieurs aultres escriptures, payé par marché fait à luy pour toutes ses choses... LX sous tournois » ; – plaids de la seigneurie du Buisson-Hocpin appartenant à l'abbaye (1568 1570. Fol. 129-148) ; – inventaire sommaire des aveux, titres et contrats concernant la même seigneurie (1570. Fol. 149-167) ; –« ce qui est deu annuellement aux religieux, abbé et couvent de l'abbaie de Saint Taurin d'Évreux par les tenans du fief de Saint Jehan de Morsencq jouxte les ancyens pappiers et registres » (Fol. 168-171) ; – journal des recettes des rentes dues à l'abbaye et perçues par Julien Blondel, « recepveur des fiefz, terres et seigneuries » appartenant aux religieux de Saint Taurin (1568-1580.Fol. 172-306) ; –baux à ferme et fragments de plaids et de gages-pleiges des terres, etc., appartenant à l'abbaye (fermes de Cambolle, de la Sôgne, de Qnessigny, de Parville, de Saint-Martin-la-Campagne, du Buisson-Hocpin, dîmes dans diverses paroisses, etc., (1581-1595 ; Fol. 308-411) ; – journaux et états des rentes dues à l'abbaye par les tenanciers des terres dépendant de l'ancien fief de Saint-Taurin, à Évreux et aux environs (1594-1606. Fol. 412-462) ; –« pappier-journal contenant le receptefaicte par Michel Pitet, recepveur des rentes tant foncières que seigneurialles deulz au sieur abbé de Saint-Taurin d'Évreux à cause des maisons et héritaiges assises tant en ceste bourgeoisye que ès environs, tenues de l'ancien fief Saint Taurin sur lequel est assis le masnoir abatial de ladite abbeye, le fieif des Apvrilloclz, le fieif du Buisson Hocquepin et de Pennette, le fief de Parville et le fieif de Sainct Jehan de Morsent, desquels fieifs les hommes tenans et subjectz avecq leurs redevances et recepte sur ce faicte pour les annez mil six cens quatre, six cens cinq et mil six cens six sont cy apprès nommez et desclarez, ainsy qu'il ensuict... » (Fol. 463-528) ; – plaids et gagespleiges, états et journaux de recette des rentes foncières et seigneuriales des terres dépendant du fief du Buisson-Hocpin et de l'ancien fief de Saint-Taurin (1608-1656. Fol. 529-1166).

H796 , 1462-1795 , Aurillots (fief) situé près Evreux ; Brosse (triège de la) situé à la Forêt du Parc ; Buisson (Le), hameau sis à Evreux ; Buisson-Hochin (Le), sis à Evreux, paroisse Saint-Aquilin ; Cambolle (hameau de), sis à Evreux ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Evreux (Paroisses d') : Saint-Gilles ; Fains, près Pacy ; Gerouard (le fief) ; Hécourt ; Luhéré (Le) ; Morsent ; Moursenc ; Ormes ; Pacy-sur-Eure ; Pannette (Métairie de), sise à Evreux ; Parville ; Plessis-Hébert (Le) ; Saint-Laurent-la-Campagne ; Saint-Martin-la-Campagne ; Saint-Taurin (fief de), sis à Evreux ; Sôgne (La)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Contrat passé entre les religieux de Saint-Taurin et Martin Le Turc pour l'admission de ce dernier « en la qualité et condition de commis pour servir audit monastère, dans lequel il passera le reste de ses jours et s'employera en tous services, ministères et exercices auxquels les supérieurs jugeront estre à propos de l'employer, tant dedans que dehors iceluy... Etc. » (1657) ; – actes de profession, en qualité de frères convers, de Pierre Fauquié, de la paroisse Sainte-Catherine de Mirande (1668) et de Louis Cousturier, de la paroisse de Saint-Jean-Baptiste de Dammartin, diocèse de Meaux (1669).

H808 , 1657-1669 , Dammartin (Paroisse de), diocèse de Meaux ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Mirande (ville de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Contrat passé entre les religieux de Saint-Taurin et Martin Le Turc pour l'admission de ce dernier « en la qualité et condition de commis pour servir audit monastère, dans lequel il passera le reste de ses jours et s'employera en tous services, ministères et exercices auxquels les supérieurs jugeront estre à propos de l'employer, tant dedans que dehors iceluy... Etc. » (1657) ; – actes de profession, en qualité de frères convers, de Pierre Fauquié, de la paroisse Sainte-Catherine de Mirande (1668) et de Louis Cousturier, de la paroisse de Saint-Jean-Baptiste de Dammartin, diocèse de Meaux (1669).

H808 , 1657-1669 , Dammartin (Paroisse de), diocèse de Meaux ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Mirande (ville de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Copie collalionnée (1762) de la charte de Richard Cœur-de-Lion, roi d'Angleterre, énumérant les donations faites à l'abbaye et lui confirmant la possession de ses biens (1195) ; – id., du concordat passé entre Jacques du Perron, évêque d'Angoulême et abbé de Saint-Taurin, d'une part, dom Joseph Taillandeau, prieur de l'abbaye de Saint-Évroult, et dom Philippe Dey, religieux convisiteur de la province de Normandie, au nom et comme procureur fondé de dom Grégoire Tarize, supérieur général de la congrégation de Cluny et Saint-Maur, ordre de Saint-Benoît, d'autre part, pour la réforme de l'abbaye et son aggrégation à la congrégation de Saint-Maur : «... Ledit seigneur évesque a dit qu'il avait longtemps ardemment souhaitté de voir reflorir en l'abbaye de Saint-Taurin l'ancienne discipline monastique de l'ordre du glorieux patriarche et père des moines, saint Benoist, laquelle y seroit depuis longtemps décheue et presque anéantie par le laps des temps et malheur des guerres qui ont eu cours en ce royaume et qu'ayant reconnu que le plus propre et assuré moyen pour faire réussir ce dessein et restablir le bien avec solidité dans ladite abbaye à la gloire de Dieu et édification du public estoit de l'unir et aggréger à ladite congrégation. De Saint Bonoist, à l'imitation de plusieurs grands cardinaux, illustres prélats et abbez qui ont appelé des religieux de ladite congrégation dans des plus célèbres et fameuses abbayes de ce royaume, desquelles est à présent composée ladite congrégation..., etc. ». Ce concordat, daté du 16 janvier 1642, règle à la fois la discipline et le régime intérieur de l'abbaye, ainsi que l'attribution des biens et des revenus temporels ; – id., du concordat passé le 5 avril 1661 entre Henri de Bourbon, évêque de Metz, abbé de Saint-Germain-des-Prés et de Saint-Taurin d'Évreux, d'une part, et dom Benoît Brochet, procureur fondé des religieux de Saint-Taurin, d'autre part, pour établir une nouvelle répartition des biens et revenus de l'abbaye entre la mense abbatiale et la mense conventuelle.

H734 , 1195-1661 , Cluny (abbaye de) ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Saint-Evroult (abbaye de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Copie collalionnée (1762) de la charte de Richard Cœur-de-Lion, roi d'Angleterre, énumérant les donations faites à l'abbaye et lui confirmant la possession de ses biens (1195) ; – id., du concordat passé entre Jacques du Perron, évêque d'Angoulême et abbé de Saint-Taurin, d'une part, dom Joseph Taillandeau, prieur de l'abbaye de Saint-Évroult, et dom Philippe Dey, religieux convisiteur de la province de Normandie, au nom et comme procureur fondé de dom Grégoire Tarize, supérieur général de la congrégation de Cluny et Saint-Maur, ordre de Saint-Benoît, d'autre part, pour la réforme de l'abbaye et son aggrégation à la congrégation de Saint-Maur : «... Ledit seigneur évesque a dit qu'il avait longtemps ardemment souhaitté de voir reflorir en l'abbaye de Saint-Taurin l'ancienne discipline monastique de l'ordre du glorieux patriarche et père des moines, saint Benoist, laquelle y seroit depuis longtemps décheue et presque anéantie par le laps des temps et malheur des guerres qui ont eu cours en ce royaume et qu'ayant reconnu que le plus propre et assuré moyen pour faire réussir ce dessein et restablir le bien avec solidité dans ladite abbaye à la gloire de Dieu et édification du public estoit de l'unir et aggréger à ladite congrégation. De Saint Bonoist, à l'imitation de plusieurs grands cardinaux, illustres prélats et abbez qui ont appelé des religieux de ladite congrégation dans des plus célèbres et fameuses abbayes de ce royaume, desquelles est à présent composée ladite congrégation..., etc. ». Ce concordat, daté du 16 janvier 1642, règle à la fois la discipline et le régime intérieur de l'abbaye, ainsi que l'attribution des biens et des revenus temporels ; – id., du concordat passé le 5 avril 1661 entre Henri de Bourbon, évêque de Metz, abbé de Saint-Germain-des-Prés et de Saint-Taurin d'Évreux, d'une part, et dom Benoît Brochet, procureur fondé des religieux de Saint-Taurin, d'autre part, pour établir une nouvelle répartition des biens et revenus de l'abbaye entre la mense abbatiale et la mense conventuelle.

H734 , 1195-1661 , Cluny (abbaye de) ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Saint-Evroult (abbaye de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)