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(Pour les années 1748-1751, les recettes ordinaires s'élèvent à 1977 livres et les dépenses à 4350 livres ; le compte de la dîme de Muids, présenté séparément, comprend 6045 francs de recette et une dépense égale. Le compte des années 1764-1766 accuse 2098 livres de recette et 4887 livres de dépenses ordinaires ; la recette de la dîme de Muids est portée pour une somme de 7635 livres sur laquelle est imputée une dépense de 1656 livres. ).

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Titres concernant une rente de 40 sous tournois assignée au profit du chapitre de La Saussaye sur une maison située à Pont-de-l'Arche, « bornée à présent (1641) d'un côté Me Thomas Cyrot, avocat du Roi, d'autre côté Me Nicolas Le Cordier, d'un bout les fortifications et d'autre bout, le pavé du Roi » ; – obligation des religieuses de l'abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil, lesquelles « reconnaissent devoir au chapitre de La Saussaye, au lieu et place des dames religieuses bénédictines du prieuré de Saint-Antoine du Pont-de-l'Arche, une rente foncière de 40 sols à cause de la réunion qui a été faite dudit prieuré de Pont-de-l'Arche à l'abbaye royale de Saint-Nicolas de Verneuil, à cause des maisons et lieux qui composent les bâtiments dudit prieuré » (20 juin 1746) ; – bail emphytéotique passé par le chapitre de La Saussaye, à Robert Blantou, marchand, demeurant au Pont-de-l'Arche, « d'une isle appelé l'isle d'Harcourt, assise en la paroisse de Saint-Vigor du Pont-de-l'Arche, en la rivière de Seine, au dessous du pont », pour le prix annuel de 100 livres (30 juillet 1729).

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Obligation de 25 sous de rente foncière assignée par Vincent Le Roy en faveur du chapitre collégial d'Andely sur une maison située à La Madeleine, « bornée d'un bout la rue des Poullies, d'autre bout la ruelle des Poullies ou remparts de la ville » (1702) ; – testament de Marion Le Chéron, veuve de défunt maître Jean Le Coq, en son vivant vicomte d'Écouis ; la testatrice choisit sa sépulture dans l'église collégiale d'Écouis, auprès de feu son mari ; elle lègue au chapitre diverses rentes et dispose en faveur de plusieurs personnes de « sa bonne robbe fourrée de roseaux, d'une robbe fourrée de noir, de sa robbe ronde de tous les jours et de son petit corset » (1559) ; – constitution par noble demoiselle Geneviève Le Grand, veuve de feu noble homme Nicolas Fatin, au profit du chapitre collégial d'Andely, d'une rente annuelle de 100 sous tournois, évalués à l'écu 2/3, pour le prix de 50 livres, évaluées à 16 écus 2/3 (1591) ; – fondation par Marguerite Tisseran, veuve de « noble homme Georges Tournebus, vivant lieutenant particulier au siège présidial d'Andely », d'un office de Sainte-Agathe en l'église collégiale d'Andely (1659) ; – obligation de 9 livres de rente passée par Etienne Duval, conseiller du Roi et son avocat au bailliage et siège présidial d'Andely, en faveur du chapitre collégial (1673) ; – accord passé entre M. Houel, doyen du chapitre d'Andely et M. Crommelin, seigneur marquis de Muids ; le sieur Crommelin s'engage à payer au chapitre la somme de 15 livres par an « pour tous droits de dîme que les sieurs du chapitre pourront prétendre dans les enclos dudit seigneur en son manoir seigneurial de Muids, comme propriétaires et gros décimateurs de ladite paroisse ; ces 15 livres seront diminuées sur les 90 livres par an que lesdits sieurs du chapitre doivent audit seigneur Crommelin à cause de son marquisat de Muids, suivant le contrat passé entre le chapitre et messire François Thevin, chevalier, seigneur de Muids, le 4 août 1634 (1716) ».