La Barre.
État de contenances et plans de l'aînesse de la Normandière, sise à la Barre, Gisay et La Noë.
État de contenances et plans de l'aînesse de la Normandière, sise à la Barre, Gisay et La Noë.
Ch. 18. Paroisse de Neaufles. Ch. 19. Paroisse d'Ambenay ; Ch. 20. Paroisse de Rugles ; Ch. 21. Paroisse de Bois-Arnault ; Ch. 22. Paroisse de Gisay ; Ch. 23. Paroisse des Frétils ; Ch. 24. Paroisse de Glos ; Ch. 25. Paroisse de Couvain ; Ch 26. Paroisse d'Anceins ; Ch. 27. Paroisse de Gauville ; Ch. 28. Paroisses de Notre-Dame-du-Hamel et de Socanne ; Ch. 29. Paroisse de Juignettes ; Ch. 30. Paroisse des Bottereaux ; Ch. 31. Paroisse de Chambord ; Ch. 32. Paroisse de Bois-Nouvel ; Ch. 23. Paroisse de la Haye-Saint-Sylvestre ; Ch. 34. Paroisse de Bois-Pen-thou ; Ch. 35. Paroisse de Marnefer. Tables alphabétiques des biens de la mense abbatiale et de la mense conventuelle au commencement du volume (l0feuillets).
Fragment d'une charte d'Audin, évoque d'Évreux (1113-1139) confirmant la donation de l'église de La Barre faite à l'abbaye par Simon, fils de Robert de la Rarre (s. d. ) ; attestation par Rotrou de Beaumont, archevêque de Rouen, qu'au temps où il était évoque d'Évreux il avait donné l'église de Saint-André de la Barre à Dreu (Drogoni), que Guillaume de Grand-Camp l'avait contestée à ce dernier, puis s'était désisté de ses prétentions et que pour ces motifs, il confirmait audit Dreu la paisible possession de ladite église (s. d. 1165-1183) ; confirmation par Richer de la Barre et par Avicie, sa femme, des donations faites à l'abbaye par leurs prédécesseurs, notamment par Roger de la Barre et par Luc, fils de Simon de la Barre, père de ladite Avicie (s. d. Vers 1195) ; confirmations par Jean de La Barre, chevalier, des possessions de l'abbaye dans l'étendue de son fief (1222-1227) ; bail à ferme passé par les religieux de Lyre à Roger Malpoint de leur manoir de la Barre, avec les terres en dépendant, et de la dîme des grains, moyennant une rente annuelle de deux muids de froment ou de pois, deux muids de gros blé et trois muids d'avoine ou d'orge (1247) ; baux à ferme de la dîme de la paroisse de la Barre appartenant à l'abbaye (XVIe siècle) ; marché passé par les religieux de Lyre et par Marin Buhot, curé de la Barre, pour les réparations de l'église de la Barre dont les frais incombaient pour deux tiers à l'abbé de Lyre et pour un tiers au curé (1652) ; aveux, déclarations, sentences et procédures concernant l'aînesse de la Normandière, située paroisses de la Barre, de Gisay et de la Noë (XVIe-XVIIIe siècle). (Soixante-deuxième chapitre de l'inventaire de 1738.).
« Gage plège en forme de terrier de la seigneurie et haute-justice de Grandmont ». Dans ce terrier, les paroisses où le prieuré possédait des terres sujettes à des rentes seigneuriales ont été classées dans L'ordre suivant : Châtel-la-Lune (fol. 1) ; Ajou (fol. 41) ; Serquigny (fol. 44) ; Vieilles (fol. 48) ; Beaumont-le-Roger (fol. 52) ; Grosley (fol. 76) ; Barc (fol. 79) ; Gisay (fol. 99) ; Thevray (fol. 110) ; Saint-Aubin-des-Hayes (fol. 316) ; Lyre (fol. 388) ; Le Plessis-Mahiet (fol. 395) ; La Vacherie (fol. 396) ; Bosc-Roger (fol. 397) ; La Puthenaye (fol. 400) ; Mancelles (fol. 403) ; Berville (fol. 404) ; Appeville (fol. 420).
Sentence arbitrale prononcée par l'archevêque de Rouen pour trancher le différend soulevé entre l'abbaye de Lyre et les exécuteurs testamentaires de feu Hugues d'Amfreville (Anfrevilla in campis), prêtre, au sujet de l'attribution et du partage des biens de ce dernier (1233) ; bail à fieffe passé par l'abbaye à Aubin Potin de tous les biens que possédaient les religieux de Lyre au Boulay (apud Boeleiumjuxta Boort) moyennant une redevance annuelle de 20 sous (1231) ; vente à l'abbaye par Pierre Le Meunier (Molendinarius), prêtre, Guillaume Le Meunier, son père, et Gautier, clerc, fils de ce dernier, d'une maison avec un jardin située à Évreux près du moulin de la Planche (1233) ; donation à l'abbaye par Raoul d'Orbec de 10 sous de rente assignés sur la vavassorie tenue de lui par Jean Vavasseur « apud Cantelu in parrochîa de la Guespere » (1235) ; plans de l'aînesse du Boulay située paroisse d'Épinay (1660-1739) ; donation à l'abbaye par Jean d'Orbec, chevalier, de divers biens situés à Orbec et aux environs, en échange de la vavassorie « de la Guespere » qu'Aline, sa mère, avait donnée à ladite abbaye (1237) ; titres d'une rente viagère de 50 livres assignée sur l'Hôtel-Dieu de là Madeleine de Rouen, cédée à l'abbaye en 1703 par Louis Hamel, novice bénédictin en ladite abbaye, « pour satisfaire au payement de la pension de son noviciat et pour les habits et livres à luy fournis pendant ledit tems de noviciat, ensemble pour le payement des habits qui luy doivent estre fournis le jour de sa profession et aultres fraiz à faire audit jour ». Mémoire sur les contestations survenues entre l'abbaye de Lyre et celle de Séez au sujet de la perception de cette rente (1708) ; ventes à l'abbaye de terres et de rentes situées ou assignées à Saint-Aubin-d'Écrosville par Pierre Roulant (1310), Pierre du Perrey (1315) et Geoffroi Le Métayer, autrement dit Le Boucher (1331) ; transaction entre l'abbaye d'une part, et Geoffroi de Moyaux, chevalier, d'autre part, au sujet des droits de moûte seiche sur les fiefs Huré et de la Pommeraie (1263) ; donation à l'abbaye par Guillaume, seigneur de Sacquenville, chevalier, en considération de son départ projeté pour la Sicile et la Terre-Sainte, d'une rente annuelle de 60 sous tournois assignée sur son moulin, appelé le Moulin Alys, situé dans la paroisse de Saint-Martin-de-Charentonne (1267) ; vente à l'abbaye par Gauquelin Pouchart d'une mine de froment assignée sur trois vergées de terre sises à Saint-Victor-de-Chrétienville, pour le prix de 4 livres tournois (1262).