Rosay.
Donation à l'abbaye par Hugues Le Portier (Hugo Janitor) d'une rente annuelle d'un setier de froment assignée sur son moulin de Rosay (s. d. ).
Donation à l'abbaye par Hugues Le Portier (Hugo Janitor) d'une rente annuelle d'un setier de froment assignée sur son moulin de Rosay (s. d. ).
Aveu rendu par la confrérie à Adrien-Robert de Frémont, marquis de Charleval et de Rozay, etc., pour une vergée de terre située au triège des Malicornes et relevant de la seigneurie de Bacqueville.
Pièces de procédures pour l'abbaye de Mortemer contre Robert Langlois, curé de Rosay, « pour raison de certaines dixmes que lesdits religieux de Mortemer disoient avoir droit de prendre et avoir sur plusieurs pièces de terre assises en ladite paroisse de Rosay, qui anciennement furent du manoir du Roule ausdits religieux de Mortemer appartenant » (fin du XVe siècle) ; aveu rendu par Pierre Le Sueur aux religieux de Mortemer, « seigneurs de Rosay en partie » pour plusieurs pièces de terre sises à Rosay (1467).
Copies de titres et procédures concernant dix acres de terre, dont huit situées à la campagne de Rosay et deux à la Villenaise, constituées en dot en 1654 par Jean-Jacques de la Mare, écuyer, sieur du Chesne-Varin, maître particulier des eaux et forêts du bailliage de Gisors, au profit de Jeanne de la Mare, l'une de ses filles, religieuse au couvent des Bénédictines de Lyons.
Vente à l'abbaye par Jean Boufi, de Rosay, et Nicole, sa femme, d'une pièce de terre située entre Rosay et la grange des religieux de Mortemer au Roule, pour le prix de 8 livres tournois (1240) ; id. Par Richard Anquetil, de Rosay, d'une pièce de terre sise à Rosay, pour l'usage de l'infirmerie des pauvres de Mortemer (1246) ; confirmation au profit des religieux de Mortemer par Jean de Marigny, chevalier, de la possession de deux pièces de terre à Rosay, « in valle de inter duas silvas », qui leur avaient été données par Hugues de Bettencourt, chevalier, et par Mathilde, sa femme, ainsi que des autres possessions de l'abbaye dans l'étendue de son fief (1250) ; donation à l'abbaye par Roger de Radepont, pour les distributions faites à la porte de l'abbaye, d'une rente de 2 sous 7 deniers assignée sur une masure sise à Rosay (1258).
Fragment d'un accord entre Froger, évêque de Séez, et l'abbaye de Mortemer, au sujet de leurs possessions respectives au Roule (s. d. 1158-1184. Au dos, une cote du XVIIe siècle porte la mention suivante : « Accord avec Froger, évêque de Sées... Il est enterré dans notre église au côté du grand autel ») ; accord entre l'abbaye et l'église de Rosay au sujet des dîmes des terres du Roule, paroisse de Rosay. L'abbaye s'engage à payer à l'église une rente d'un muid de froment et d'un demi-muid d'avoine, ainsi que les droits de dîmes pour les terres qu'elle acquerrerait à l'avenir (1181. En présence de Rotrou de Beaumont, archevêque de Rouen, Guillaume étant abbé de Mortemer) ; confirmation par Guillaume de Gaillardbois des donations faites à l'abbaye, au Roule, par Geoffroi Flori, son père, et par lui-même (s. d. XIIe siècle) ; fragment d'une donation faite à l'abbaye par Hugues Le Portier de 10 acres de terre à Écouis et d'un hôte à Rosay [s. D. vers 1200 ? ).
Mémoires, pièces de. Procédures et sentences pour les religieux de Mortemer contre Antoine du Mesnil-Jourdain, écuyer, seigneur de Rosay en partie, au sujet de la mouvance de plusieurs pièces de terre sises à Rosay, et contre les curés de Rosay, au sujet de leurs prétentions aux dîmes de certaines terres situées dans la même paroisse (XVIe siècle) ; procès-verbal d'adjudication à Louis de Benserade, sieur de la Motte, des fiefs nobles possédés par l'abbaye dans la paroisse de Rosay (Gruchet et Le Roule) et aliénés par elle moyennant le prix principal de 1700 livres tournois (1577) ; notes et extraits de titres concernant les fiefs compris dans la terre de Rosay, érigée en marquisat en 1680. « Par contrat du 17 mai 1669, M. de Rosay vend a M. de Fremont les fiefs de Préaux et Gruchet relevans nuement du Roy à cause de son château de Lions, sur lequel fief de Préaux est assis un chasteau basti de briques, entouré de fossés pleins d'eau, à fond de cuve, remplis de carpes, perches, truites et autres, terrasses, pont-levis, chapelle, basse-cour séparée consistante en grange, écuries, caves, pressoir, bergeries, collombier, le tout couvert de tuille, jardin potager, fruitier, pourpris, clos d'arbres fruitiers, terres labourables, prés, bois taillis, un bouquet de haute futaye, garenne, le moulin à bled dudit Rosay, celui de la Bretesque couvert de tuilles, moulin à huille, rentes seigneuriales en deniers, etc. ».
Donations, ventes et confirmations au profit de l'abbaye de terres ou de rentes situées ou assignées à Rosay par Robert Le Cordonnier (1301), Gervais Harenc et Agasse, sa femme (1302), Robert Beauvoisin et Alice, sa femme (1314), Pierre Le Tonnelier et Isabelle, sa femme (1317), Richard Lambert et « Roberge », sa femme (1327), Jean Le Clerc et Péronnelle, sa femme, Guillaume Le Tonnelier et Alice, sa femme (1335), « Guillebert » Assire et Roger, son fils (1336), Jean Le Vavasseur et Jeanne, sa femme (1337), Alice, veuve de Jeand'Aufay, dit Gardien (1339), Robert Le Charpentier (1346), Jean Le Roy le Vieux (1349), Laurent Paulin, prêtre (1363).
Confirmation par Gautier de Saussay, chevalier, et par Jacques de Marigny, écuyer, de la vente faite à l'abbaye par Alice, fille de Pierre Boissel, d'une pièce de terre sise à Bosay (1266) ; donations, ventes et confirmations à l'abbaye de terres situées à Rosay par Gautier de Saussay, chevalier, Hugues du Jardin, clerc, et Mathilde sa femme, Pierre de Senneville, écuyer, Pierre Charpentier (1271), Thibaud, gendre de Roger » de Monasterio » (1272), Pierre de Senneville, écuyer (1281), Jean Forestier, clerc, et Isabelle, sa femme (1289), Guillaume Morel et Emmeline, sa femme, Simon Le Fèvre (1292) ; confirmation par Jean de la Barre, bourgeois d'Andely, et Gille, sa femme, de la vente faite à l'abbaye par Nicole du Coudray, belle-mère dudit Jean de la Barre, d'un moulin appelé le Petit-Moulin, sis à Rosay, et d'une rente de 23 sous tournois assignée dans la même paroisse (1281).
Vente par Pierre Le Charpentier et Maheut, sa femme, de la paroisse de Rosny, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 9 sous et 10 deniers tournois assignée sur une maison située dans la paroisse d'Écouis, pour le prix de 4 livres parisis (1333) ; – copie d'un bail à rente d'une masure et de ses dépendances situées a Écouis, passé par Mahyet Le Corayet et Maheut, sa femme, à Guillaume Bardicon et à Jeanne, sa femme, à la charge pour les preneurs de payer chaque année au chapitre d'Écouis une rente de 16 sous parisis (1357) ; – copie de l'acte de fondation par « hault et puissant signeur Mre Alebert de Rousselet, chevallier, gentilhomme ordinaire de la chanbre du Roy, cappitaine de cinquante hommes d'armes de ses ordonnances, sieur de La Part Dieu, Risly, Les Abatiz et Villerets en partye, et dame Magalonne Le Mareschal, son espouze », de treize obits solennels et. De 52 messes basses dans l'église collégiale d'Écouis, « moyennant la somme de 117 livres tournois réduits à 39 escus sol de rente » assignés sur des terres situées dans « les dîmages d'Écouis, Touffreville et ès environs », « laquelle fondation sera appelée et nommée la fondation de messire Charles de Gondy, marquis de Belle-Isle » (17 décembre 1598) ; – bail à ferme passé par le chapitre d'Écouis à Michel Lefebvre, de 14 acres de terres labourables « assises au dixmage d'Escouis et Touffreville », pour le prix annuel de 125 livres (1661) ; – aveux rendus par le chapitre à « haulte et puissante dame Marie-Catherine-Madeleine Paviot de La Hautteville, épouse civilement séparée d'avec messire Nicolas de Frémont, chevalier, seigneur d'Aumesnil, conseiller du Roy, président honoraire en la première chambre des enquêtes du Parlement de Paris, de 18 pièces de terre sises en la paroisse d'Écouis et relevant des fiefs du Fay, de Villers et d'Oricher » (1762) ; – transaction passée entre le chapitre d'Ëcouis et Nicolas de La Grange, relativement au payement de la somme de 400 livres due par ce dernier pour huit années d'arrérages d'une rente annuelle de 50 livres sur la maison du Dauphin à Écouis (17 avril 1626) ; – contrat de révalidation consenti au profit du chapitre et fabrique de l'église collégiale d Écouis, par Pierre Antoine d'Hostel, écuyer, sieur du Perron, seigneur du Fay, par Izambart et Michel d'Hostel du Perron, ses frères, d'une rente foncière de 50 livres et d'une rente seigneuriale et foncière de 66 sols pour fieffe d'héritage consistant en une maison assise à Écouis, nommée Le Dauphin, au carrefour devant l'église (23 décembre 1739).