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Jugement du bailliage d'Évreux, condamnant les fermiers des sieurs de Mérey et de Blanquelu, à payer la dixième gerbe de dîme au chapitre d'Évreux, « gros décimateur sur la paroisse de Gadencourt, ayant l'adjonction du sieur curé dudit lieu » conformément à l'usage de toute la paroisse et de toutes les autres circonvoisines ; –« inventaire des contrats concernant les biens et rentes de la fabrique de l'église Saint-Denis de Gadencourt, année 1739. ».

G677 , 1703-1739 , Evreux (ville d') ; Gadencourt  
Contexte :
Églises paroissiales > Gadencourt

Jugement du bailliage d'Évreux, condamnant les fermiers des sieurs de Mérey et de Blanquelu, à payer la dixième gerbe de dîme au chapitre d'Évreux, « gros décimateur sur la paroisse de Gadencourt, ayant l'adjonction du sieur curé dudit lieu » conformément à l'usage de toute la paroisse et de toutes les autres circonvoisines ; –« inventaire des contrats concernant les biens et rentes de la fabrique de l'église Saint-Denis de Gadencourt, année 1739. ».

G677 , 1703-1739 , Evreux (ville d') ; Gadencourt  
Contexte :
Églises paroissiales > Gadencourt

Gadencourt.

H422 , 1294 , Aumône (le Jardin de), sis à Ivry ; Epieds ; Gadencourt ; Ivry (Abbaye d')  

Vente par Jean Le Moine, d'Épieds, et Alice, sa femme, à Robert Heudeer (alias Heudaier), de 10 sous parisis de rente assignés sur une terre à Gadencourt, pour le prix de 60 sous parisis.

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye d'Ivry (Ordre de Saint-Benoît)

Gadencourt.

H422 , 1294 , Aumône (le Jardin de), sis à Ivry ; Epieds ; Gadencourt ; Ivry (Abbaye d')  

Vente par Jean Le Moine, d'Épieds, et Alice, sa femme, à Robert Heudeer (alias Heudaier), de 10 sous parisis de rente assignés sur une terre à Gadencourt, pour le prix de 60 sous parisis.

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye d'Ivry (Ordre de Saint-Benoît)

Gadencourt, etc.

H1330 , 1645-1788 , Boissière (fief de la) ; Bretagnolles ; Epieds ; Fains, près Pacy ; Gadencourt ; Menilles ; Mousseaux ; Parc (fief du) ; Parc (Le) ; Roussette (La), triège sis à Gadencourt ; Serez ; Verneuil-sur-Avre (Abbaye de Saint-Nicolas)  

Vente à l'abbaye de Notre-Dame de Pacy par Gabriel Legendre d'un pré contenant trois arpents, sis à Gadencourt, triège de la Roussette, pour le prix de 500 livres tournois (1645) ; — bail à ferme passé par l'abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil à Nicolas Chedeville, marchand, demeurant à Serez, des terres et des prés de Gadencourt, Fains, Serez, Bretagnolles, la Boissière, Menilles, le Parc, Mousseaux et Épieds, ainsi que de diverses rentes, montant à 338 livres, assignées sur des particuliers, moyennant un prix de fermage annuel de 2.200 livres (1788).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil et Abbaye de Notre-Dame de Pacy, y réunie (Ordre de Saint-Benoît)

« Papier terrier de la commanderie de Chanu contenant le détail par nouveaux tenants et aboutissants, tant du domaine non fieffé que du domaine fieffé de cette seigneurie, suivant ses anciens titres et possessions, et les nouvelles reconnoissances rendues en conséquence d'iceux, avec tous les honneurs, privilèges, droits et devoirs seigneuriaux, faisances, redevances seigneurialles, suivant leur ordre naturel, la forme de leur prestation et les termes de leurs échéances. – La commanderie de Chanu appartient de toute ancienneté à l'ordre de Malthe ; elle est scituée dans le diocèse d'Évreux ; le chef-lieu est assis dans la paroisse de Chanu et s'étend dans les paroisses d'Heurgeville, Saint-Illiers-les-Bois, Bueil, Villiers, Gadencourt, Saint-Chéron et Champigny. C'est une seigneurie qui a droit de haute justice, dont les appels se relèvent au baillage de Chartres duquel on suit la coutume et la jurisprudence. Cette haulte justice a droit de prison, dans laquelle on met les personnes trouvées en flagrant délit et auxquels on donne le pain, l'eau et la paille suivant les règlements et comme dans les prisons royalles. Elle s'exerce par un bailly, un lieutenant, un procureur fiscal, un greffier et un sergent, sur tous les vasseaux de la ditte commanderie. Ces officiers sont à la nomination de Monsieur le Commandeur et ne peuvent exercer que sur ses provisions. Comme aussy a droit de faire faire des fourches patibulaires dans sa hautte justice de Chanu, au lieu nommé la Haulte-Justice, sur une pièce de terre appartenant à Marie-Magdeleine Cadot, veuve du sieur De la Sale, qui est obligée de souffrir ces pilliers, ainsy qu'elle l'a reconnu dans sa déclaration rendue le 29 avril 1762, article 22. Ce droit appartient aux seigneurs hauts justiciers suivant le droit général des coutumes. Dans le manoir seigneurial il y a une chapelle fondée sous l'invocation de la Sainte-Vierge, dans laquelle ledit seigneur Commendeur a droit d'y faire dire deux messes par semaine, l'une le mercredy et l'autre le vendredy et de priver le prêtre de ses honoraires, s'il ne les dit dans la chapelle, parce qu'il est de la religion de Monsieur le Commandeur qu'elle soit ditte dans la chappelle à l'intention des fondateurs. Monsieur le Commandeur a droit de nommer et présenter aux bénéfices cures de Saint-Pierre de Chanu, de la paroisse d'Heurgeville, fondée sous l'invocation de Saint-Siphorien, de la paroisse de Saint-Illier lès Bois, fondée sous l'invocation de la très sainte Trinité et de la paroisse de Brucourt fondée sous l'invocation de la Sainte-Vierge. Dans lesquelles églises Monsieur le Commandeur a droit d'avoir les droits honorifiques. Ils consistent : à avoir droit de banc dans le chœur, à avoir un autre banc dans la nef pour les domestiques, au lieu le plus convenable ; à avoir l'eau bénite le premier après le clergé et avant les paroissiens ; à aller le premier en procession après le clergé et avant les paroissiens ; à être recommandé nommément aux prières nominales qui se disent au prône ; à avoir le premier le pain béni après le clergé et avant les paroissiens ; à être encensé le premier avec distinction après le clergé ; à avoir droit de sépulture dans le chœur ; à avoir droit de mettre le littre et cintures funèbres au dedans et au dehors de l'église, de ses armes ; à avoir droit d'assister aux comptes des fabriques et sçavoir l'usage que l'on fait des revenus desdites églises. ».

H1615 , 1762 , Brucourt ; Bueil ; Champigny ; Chanu (Commanderie de) ; Gadencourt ; Haulte-Justice (lieu-dit), sis à Chanu ; Saint-Chéron ; Saint-Hillier-les-Bois ; Villiers  
Contexte :
Ordres militaires religieux > Commanderie de Chanu

Déclaration et aveux rendus par la fabrique à Félix-Denis de Karuel, chevalier, seigneur de Gadencourt (1721 -1749) et à Louis-Charles-Alexandre de Boislévêque, baron de Boudeville (1780), pour des terres relevant du fief de Morainvillier et de celui de La Huberde, mouvant de la baronnie de Boudeville ; – testament de Georgette Le Plastrier, veuve de Jean Le Gois, contenant donation à la fabrique d'un pré situé à La Chaussée de Saint-Aquilin (1553) ; – bail à ferme passé par la fabrique à Jacques Tassel et à Vincent Picard, de trois pièces de pré sises à Gadencourt, trièges de Saint-Ernoult et des Hauts-Prés.

G1129 , 1553-1780 , Boudeville ; Chaussé (La), triège à Saint-Aquilin-de-Pacy ; Gadencourt ; Huberde (La), fief à Boudeville ; Morainvillier (fied du, à Boudeville) ; Saint-Acquilin-de-Pacy ; Saint-Ernoult (triège de, à Gadencourt)  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Aquilin-de-Pacy

« Papier terrier de la commanderie de Chanu contenant le détail par nouveaux tenants et aboutissants, tant du domaine non fieffé que du domaine fieffé de cette seigneurie, suivant ses anciens titres et possessions, et les nouvelles reconnoissances rendues en conséquence d'iceux, avec tous les honneurs, privilèges, droits et devoirs seigneuriaux, faisances, redevances seigneurialles, suivant leur ordre naturel, la forme de leur prestation et les termes de leurs échéances. – La commanderie de Chanu appartient de toute ancienneté à l'ordre de Malthe ; elle est scituée dans le diocèse d'Évreux ; le chef-lieu est assis dans la paroisse de Chanu et s'étend dans les paroisses d'Heurgeville, Saint-Illiers-les-Bois, Bueil, Villiers, Gadencourt, Saint-Chéron et Champigny. C'est une seigneurie qui a droit de haute justice, dont les appels se relèvent au baillage de Chartres duquel on suit la coutume et la jurisprudence. Cette haulte justice a droit de prison, dans laquelle on met les personnes trouvées en flagrant délit et auxquels on donne le pain, l'eau et la paille suivant les règlements et comme dans les prisons royalles. Elle s'exerce par un bailly, un lieutenant, un procureur fiscal, un greffier et un sergent, sur tous les vasseaux de la ditte commanderie. Ces officiers sont à la nomination de Monsieur le Commandeur et ne peuvent exercer que sur ses provisions. Comme aussy a droit de faire faire des fourches patibulaires dans sa hautte justice de Chanu, au lieu nommé la Haulte-Justice, sur une pièce de terre appartenant à Marie-Magdeleine Cadot, veuve du sieur De la Sale, qui est obligée de souffrir ces pilliers, ainsy qu'elle l'a reconnu dans sa déclaration rendue le 29 avril 1762, article 22. Ce droit appartient aux seigneurs hauts justiciers suivant le droit général des coutumes. Dans le manoir seigneurial il y a une chapelle fondée sous l'invocation de la Sainte-Vierge, dans laquelle ledit seigneur Commendeur a droit d'y faire dire deux messes par semaine, l'une le mercredy et l'autre le vendredy et de priver le prêtre de ses honoraires, s'il ne les dit dans la chapelle, parce qu'il est de la religion de Monsieur le Commandeur qu'elle soit ditte dans la chappelle à l'intention des fondateurs. Monsieur le Commandeur a droit de nommer et présenter aux bénéfices cures de Saint-Pierre de Chanu, de la paroisse d'Heurgeville, fondée sous l'invocation de Saint-Siphorien, de la paroisse de Saint-Illier lès Bois, fondée sous l'invocation de la très sainte Trinité et de la paroisse de Brucourt fondée sous l'invocation de la Sainte-Vierge. Dans lesquelles églises Monsieur le Commandeur a droit d'avoir les droits honorifiques. Ils consistent : à avoir droit de banc dans le chœur, à avoir un autre banc dans la nef pour les domestiques, au lieu le plus convenable ; à avoir l'eau bénite le premier après le clergé et avant les paroissiens ; à aller le premier en procession après le clergé et avant les paroissiens ; à être recommandé nommément aux prières nominales qui se disent au prône ; à avoir le premier le pain béni après le clergé et avant les paroissiens ; à être encensé le premier avec distinction après le clergé ; à avoir droit de sépulture dans le chœur ; à avoir droit de mettre le littre et cintures funèbres au dedans et au dehors de l'église, de ses armes ; à avoir droit d'assister aux comptes des fabriques et sçavoir l'usage que l'on fait des revenus desdites églises. ».

H1615 , 1762 , Brucourt ; Bueil ; Champigny ; Chanu (Commanderie de) ; Gadencourt ; Haulte-Justice (lieu-dit), sis à Chanu ; Saint-Chéron ; Saint-Hillier-les-Bois ; Villiers  
Contexte :
Ordres militaires religieux > Commanderie de Chanu

Gadencourt, etc.

H1330 , 1645-1788 , Boissière (fief de la) ; Bretagnolles ; Epieds ; Fains, près Pacy ; Gadencourt ; Menilles ; Mousseaux ; Parc (fief du) ; Parc (Le) ; Roussette (La), triège sis à Gadencourt ; Serez ; Verneuil-sur-Avre (Abbaye de Saint-Nicolas)  

Vente à l'abbaye de Notre-Dame de Pacy par Gabriel Legendre d'un pré contenant trois arpents, sis à Gadencourt, triège de la Roussette, pour le prix de 500 livres tournois (1645) ; — bail à ferme passé par l'abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil à Nicolas Chedeville, marchand, demeurant à Serez, des terres et des prés de Gadencourt, Fains, Serez, Bretagnolles, la Boissière, Menilles, le Parc, Mousseaux et Épieds, ainsi que de diverses rentes, montant à 338 livres, assignées sur des particuliers, moyennant un prix de fermage annuel de 2.200 livres (1788).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil et Abbaye de Notre-Dame de Pacy, y réunie (Ordre de Saint-Benoît)