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Lyons.

H630 , 1258-XVIIIe siècle , Beuzeguay (triège de) sis à Lyons ; Lande (ferme de la), sise à Lyon ; Lyons-la-Forêt ; Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Rouen (Parlement de) ; Villaines (triège de), sis à Lyons  

Vente à l'abbaye par Jean Le Bruman, de Villaines, d'un pré situé à Villaines, que le vendeur tenait de l'abbaye, pour le prix de 68 sous tournois (1258. Sceau incomplet de Jean Le Bruman, avec la légende : «... Le Brumen ») ; — pièces de procédures et arrêts du parlement de Rouen concernant les possessions de l'abbaye à Bezeguay, paroisse de Lyons (XVIe siècle) ; — procédures, notes et correspondances concernant la ferme de la Lande appartenant à l'abbaye (XVIe-XVIIe siècle). Plan informe des terres dépendant de ladite ferme (XVIIIe siècle).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Mortemer (Ordre des Cîteaux)

Procédures diverses.

G130 , 1400-1724 , Damville ; Orbec ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Rouen (Parlement de)  

Appels de causes, ajournements, désistements et sentences interlocutoires rendues dans les procès poursuivis ou soutenus par le chapitre devant les juridictions des Requêtes du Palais, de l'évêché d'Évreux, des vicomtes d'Évreux de Damville, d'Orbec, de Pont-de-L'arche, des huit chanoines de l'ancienne fondation, de l'officialité d'Évreux :, etc. (XVe-XVIe siècles) ; – assignation à comparaître au parlement de Rouen le samedi 2 août 1659, signifiée aux « maîtres du mestier de menuisier » de la ville d'Évreux, à la requête « des huit chanoines et barons de l'ancienne fondation de l'église cathédrale Notre-Dame d'Évreux » (24 juillet 1659) ; – pièces de procédure à l'appui d'une ordonnance de Mgr de Marillac, intendant de la généralité de Rouen, déchargeant le chapitre cathédral d'Évreux des droits de contrôle supplémentaires que prétendait exiger le commis au contrôle d'Évreux pour les exploits de saisie libellés par le sergent de la haute justice de la baronnie d'Angerville-la-Campagne, appartenant au chapitre (1684-1685) ; –« état en forme d'inventaire des titres, papiers et procédures remis au chapitre par M. Bosguérard, lieutenant général au baillage d'Évreux, qui les avait reçus de Me Raoult, avocat audit siège » (1724).

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Aveu rendu par Thomas Dubuc, maître-ès-arts en l'université de Caen, curé de Villers-en-Vexin, à David Gueroult de Saint-Aubin, conseiller au parlement de Normandie, pour la maison presbytérale et pour les terres de son bénéfice cure relevant de la seigneurie de Villers et du fief Guillaume Dubois (1758) ; – procès-verbal d'adjudication des dîmes de la paroisse, au prix de 3,500 livres pour une année, et des récoltes à effectuer sur treize acres de terre dépendant de la cure, au prix de 1,370 livres, outre diverses charges, aussi pour une année (1786).

G1479 , 1758-1790 , Caen ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Aubin-d'Ecrosville ; Villers-en-Vexin  
Contexte :
Églises paroissiales > Villiers-en-Vexin

Notes, mémoires et pièces de procédures pour le prieur de Beaumont-le-Roger contre François Yon, prêtre, curé dudit lieu, qui réclamait, devant le parlement de Rouen, outre la portion congrue de 300 livres que le prieuré lui servait en vertu de l'arrêt du 6 juillet 1656, la somme de 100 livres « pour les gaiges d'un vicaire pour luy ayder à faire les fonctions curialles et administrer les sacremens, attendu la distance des lieux et son aage plus que sexagénaire » (1658-1659) ; — mémoire pour le sieur Frigard, « pourvu en cour de Rome du prieuré dé Beaumont le vin des calendes de juin dernier », contre les « prétendus titulaires » dudit prieuré, « Le sieur Frigard, lorsqu'il est venu prendre possession le 3 de février 1773, a été fort surpris d'apprendre que deux prétendus titulaires l'avoient précédé, qu'un certain père Jean-Baptiste Poulain de Valendré, religieux bénédictin de l'ancienne observance de Saint-Etienne de Fontenay, y avait été maintenu contre plusieurs contendans, entre autres contre le sieur Anne-Jean-Gabriel Robinet, clerc tonsuré du diocèse de Rheims... Depuis plus de 150 ans, les moines du Bec ont abandonné ce bénéfice. Ils se sont retirés dans leur monastère et ont emporté leur revenu... Le bénéfice de la Très-Sainte-Trinité de Beaumont-le-Roger était séculier de sa nature. La possession irrégulière vantée par les moines n'a pu le rendre régulier. D'ailleurs l'abandon de ces moines l'a restitué à sa première condition. Beaumont est un bénéfice séculier, qui ne peut être conféré qu'à un clerc séculier. Valendré et Robinet sont donc deux intrus, gens sans titres et sans qualités, gens coupables d'une confidence caractérisée, crime énorme qu'on ne peut punir avec trop de sévérité ».

H827 , 1658-1773 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Reims ; Rouen (Parlement de)  

Notes, mémoires et pièces de procédures pour le prieur de Beaumont-le-Roger contre François Yon, prêtre, curé dudit lieu, qui réclamait, devant le parlement de Rouen, outre la portion congrue de 300 livres que le prieuré lui servait en vertu de l'arrêt du 6 juillet 1656, la somme de 100 livres « pour les gaiges d'un vicaire pour luy ayder à faire les fonctions curialles et administrer les sacremens, attendu la distance des lieux et son aage plus que sexagénaire » (1658-1659) ; — mémoire pour le sieur Frigard, « pourvu en cour de Rome du prieuré dé Beaumont le vin des calendes de juin dernier », contre les « prétendus titulaires » dudit prieuré, « Le sieur Frigard, lorsqu'il est venu prendre possession le 3 de février 1773, a été fort surpris d'apprendre que deux prétendus titulaires l'avoient précédé, qu'un certain père Jean-Baptiste Poulain de Valendré, religieux bénédictin de l'ancienne observance de Saint-Etienne de Fontenay, y avait été maintenu contre plusieurs contendans, entre autres contre le sieur Anne-Jean-Gabriel Robinet, clerc tonsuré du diocèse de Rheims... Depuis plus de 150 ans, les moines du Bec ont abandonné ce bénéfice. Ils se sont retirés dans leur monastère et ont emporté leur revenu... Le bénéfice de la Très-Sainte-Trinité de Beaumont-le-Roger était séculier de sa nature. La possession irrégulière vantée par les moines n'a pu le rendre régulier. D'ailleurs l'abandon de ces moines l'a restitué à sa première condition. Beaumont est un bénéfice séculier, qui ne peut être conféré qu'à un clerc séculier. Valendré et Robinet sont donc deux intrus, gens sans titres et sans qualités, gens coupables d'une confidence caractérisée, crime énorme qu'on ne peut punir avec trop de sévérité ».

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Beaumont-le-Roger

Copie collationnée des lettres patentes de Louis XIV confirmant l'établissement du couvent des Cordeliers de Lyons et leur accordant tous les droits et privilèges appartenant aux autres maisons de fondation royale : « le besoin qu'ont eu les habitans de nostre ville de Lions en Normandie d'avoir quelque monastère tant pour leur consollation spirituelle que pour l'instruction de leurs enfans les ayans portez à désirer quelque religieux de l'observance de Saint-François, auroient dans cette affection souhaitté la construction d'une église et couvent soulz le tiltre de Saint-Louis, pour raison de quoi ils se seroient pourveus par devant nostre amé et féal le sieur archevesque de Rouen, lequel en aprouvant leur zelle y avoit consenti ; ce qu'ayant remonstré au feu roy nostre très honoré seigneur et père, que Dieu absolve, qui étoit à Rouen en l'année XVIe vingt-quatre, sa piété auroit non seullement incliné à leur dévotion, mais encores voullu qu'en son nom fust posée la première pierre de ceste église, s'en rendant fondateur ; à cest effect donna commission au sieur de Ris, premier président de nostre parlement de Normandie, affin de se transporter pour luy audit Lyons, n'y pouvant pas aller, ce qui fut acompli le huictiesme septembre de ladite année avec touttes les sollempnités en tel cas requizes, estants assemblez le corps de la justice et de la noblesse de ladite ville... » (1653) ; –« plan du terrain appartenant aux révérends Cordeliers de la ville de Lions, sur lequel est construit leur église, maison, bastiments et cloaitre et cour et jardin » (1748) ; – contrat de constitution sur l'hôtel de ville du Havre au profit des Cordeliers de Lyons d'une rente de 200 livres au capital de 4,000 livres (1786) ; –« origine, époque et description en abrégé de la maison des pères Cordeliers de la ville de Lyons » (1766) : « une inscription sur une pierre de leur église porte : Louis XIII, roi de France et de Navarre m'a posée par la main de Messire Alexandre de Faucon, chevalier, seigneur de Ris, son conseiller d'État et privé et premier président de son parlement de Rouen, le huit septembre 1624..., la maison a été bâtie pour contenir dix religieux ; la communauté étoit composée les années précédentes de neuf religieux, cette année il n'y en a que huit... ».

H1162 , 1653-1788 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Hâvre (Le) ; Lyons-la-Forêt (Couvent des Cordeliers de) ; Ris (fief de) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Cordeliers de Lyons-la-Forêt

Saint-Aubin-le-Vertueux.

H161 , 1696 , Alençon ; Rouen (Parlement de)  

Arrêt du parlement de Rouen, rendu dans la cause pendante entre Gaston de Grieu, sieur de Saint-Aubin, demandeur, d'une part, Nicolas Vèbleron, curé de Saint-Aubin-le-Vertueux, et Léon Pottier de Gesvres, abbé de Bernay, d'autres parts. La cour, « sans s'arrester à la requête dudit de Grieu de ce jourd'huy et faisant droit sur l'intervention et apellation dudit Pottier de Gesvres, abbé de Bernay, de la sentence du bailly d'Allençon au siège de Bernay, du 21 février 1693, a mis et met l'apellation et ce dont est appelé au néant ; émendant et corrigeant, a fait et fait deffenses au curé de Saint-Aubin-le-Vertueux de faire les prières nominalles au prosne de ladite parroisse pour ledit de Grieu et sa famille, à laquelle fin la transaction du 30e janvier 1484 sera exécutée selon sa forme et teneur ; et faisant droit sur les mandements et apel dudit de Grieu de la sentence du juge de Beaumont le Roger, du 4e janvier 1695, a mis et met l'apellation au néant, l'a condamné en 12 livres d'amende envers nous et à rétablir de son consentement, incessamment, à ses frais et dépens, les écussons et armes desdits abbé et religieux de ladite abaye de Bernay au chancel de ladite église de Saint-Aubin-le-Vertueux en la manière qu'elles y estoient par le passé, ledit de Grieu condamné aux dépens envers toutes les parties, tant des causes principales que d'apel... ».

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bernay

Aveux rendus par la fabrique à noble homme Charles Mai-gnard, seigneur et patron de Bernières, président au parlement de Rouen (1658), et à messire Renaud Nicolas de La Roche-Aymon, chevalier, comte de La Roche-Aymon, etc. (1691), pour des terres relevant des fiefs de Bernières et de Saint-Denis-de-la-Capelle à Bernières ; – déclaration des revenus de la fabrique en 1691 ; – extraits des rôles et quittances des droits d'amortissement et de nouveaux-acquêts payés par la fabrique ; – bail des terres appartenant à la fabrique, passé à Adrien Hébert pour le prix de 112 livres (1756).

G397 , 1658-1756 , Bernières ; Roche-Aymon (La) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Denis-de-la-Capelle (fief de), à Bérnières  
Contexte :
Églises paroissiales > Bernières

Pacel.

H293 , 1234-1529 , Croix-Saint-Leufroy (La), abbaye ; Pacel (à Pacy-sur-Eure) ; Rouen (Parlement de)  

Confirmation par Guillaume Guerreii, de Pacel, de la donation faite à l'abbaye de la Croix par son père de seize arpents (jugera) de terre dans la paroisse Saint-Martin de Pacel et de 24 sous 1 denier parisis (1234) ; — donation à l'abbaye par Egidia, veuve de Gilbert de Garencières, chevalier, d'une rente de 3 sous parisis assignée sur le prieuré de Saint-Sulpice de Pacel (1260) ; — diligences faites par Pierre Savary, prêtre, religieux de la Croix et prieur du prieuré de Saint-Sulpice de Pacel, pour obtenir payement d'une somme de 99 livres 17 sous 6 deniers à lui adjugées par arrêt du Parlement de Rouen à rencontre de Biaise Loubert, écuyer, sieur de Cailly (1528-1529).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de la Croix-Saint-Leufroi (Ordre de Saint-Benoît)

Échange entre les habitants de la paroisse et Pierre « de Mongoubert », écuyer, avocat en Parlement, de deux pièces de terre situées à Saint-Victor-d'Épine, trièges de Faucquemare et du Paradis, contre trois autres pièces de terre situées même paroisse (1673) ; – baux à ferme des terres appartenant à la fabrique ; – constitution au profit de la fabrique, par Henri Le Prévost, d'une rente annuelle de 100 sous tournois au capital de 70 livres (1619).

G1265 , 1619-1673 , Fauquemare (triège de, à Saint-Victor-d'Epine) ; Paradis (Le), triège à Saint-Victor-d'Epice ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Victor-d'Epine  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Victor-d'Épine

Confrérie de charité.

G1591 , 1662-1676 , Bourg-Achard ; Epréville-en-Roumois ; Hauville ; Rouen (Parlement de) ; Rougemontiers  

Lettres de François de Harlay, archevêque de Rouen, confirmant les statuts des Charites de Bourgachard et de Hauville et réglant les préséances entre les deux confréries, « sur ce que nostre promoteur général nous a dit et remonstré qu'il a eu advis qu'il serait arrivé grand scandale entre les frères des confrairies de Hauville et de Boscachard et que les frères se seroient dit plusieurs injures et se seraient donné plusieurs coups dans l'église... Etc. » (1662) ; – pièces de procédure entre lesdites Charités et arrêt du parlement de Rouen, du 13 mai 1672, confirmant le règlement ci-dessus ; – copie d'un arrêt du parlement de Rouen, du 4 mars 1676, ordonnant « que les Charités de Rougemontiers et d'Espréville auraient la préséance et préférence en touttes cérémonies et actions publiques au préjudice de ladicte Charité du Bourgachard, hormis en l'esglize du Bourgachard », et condamnant « les maistres et frères de ladicte Charité du Bourgachard aux despens envers les maistres et frères desdites Charités de Rougemontiers et d'Espréville en Roumois ».

Contexte :
Confréries > Bourg-Achard

Copies collationnées (XVIIe siècle) de la confirmation des biens du prieuré des Deux-Amants par Hugues III d'Amiens, archevêque de Rouen (s.d. 1146-1150) ; – confirmation générale des biens du prieuré par Gautier de Coutances, archevêque de Rouen (1207) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) des lettres patentes de Henri IV, du 17 janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, autorisant le retrait des biens du prieuré autrefois aliénés, donnés à fieffe ou à bail emphytéotique, « ce qui a grandement diminué le revenu dudit prieuré, avec l'incendie et bruslement des bastimens d'iceluy advenus en l'année 1593 », – des lettres du même roi, de janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, confirmant les droits, franchises et libertés du prieuré : «... D'autant que par la violence et confusion tant des premiers troubles et sièges de nostre ville de Rouen de l'année mil cinq cens soixante et deux, que les derniers advenus en ce royaume, et mesme par l'incendie et bruslement dudit lieu des Deux Amans en l'année mil cinq cens quatre vingt traize, seroit arrivé perte de la plus grande et meilleure partie de leurs Chartres, tiltres, papiers et enseignemens, outre celle des bastimens et autres choses dépendantes du dit prieuré, estimé à dix mille escus et plus,... Nous avons les dits prieur, religieux et couvent continuez et confirmez, continuons et confirmons par ces présentes en touts les dits droits, franchises et libertés qu'ils monstreront tant par les dites Chartres, tiltres et enseignemens qui leur peuvent rester que par les anciens baux à ferme, papiers, journaux de recepte et autrement, avoir appartenu à leurs prédécesseurs prieurs et religieux à cause de leur dit prieuré des Deux Amans. ».

H846 , XIIe-1603 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré des Deux-Amants

Selles.

H727 , 1396-1774 , Préaux (Abbaye de Saint-Pierre de), Bénédictins de Saint-Maur ; Rouen (Parlement de) ; Sainte-Catherine (Ferme de), sise à Selles  

Arrêt du parlement de Rouen rejetant l'appel interjeté par Guillaume Hopsore, aîné de l'aînesse des Genetais, « tenue de la baronnie de Préaux au fief, terre et sieurie de Selles » et par Antoine Houel, d'une sentence du lieutenant du bailli de Rouen au siège de Pont-Audemer, qui avait admis le blâme d'aveu de ladite aînesse, produit par Charles de l'Aubespine, abbé commendataire de Préaux (1606) ; — aveux et baux à fieffe de terres appartenant aux religieux de Préaux et relevant de leur seigneurie de Selles ; —- bail à ferme de la ferme de Sainte-Catherine, sise à Selles et à Notre-Dame de Préaux, passé par l'abbaye à Benoît Louis Frestel, moyennant un fermage annuel de 50 livres (1718).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Pierre de Préaux (Ordre de Saint-Benoît)

Confrérie de charité.

G1666 , 1687-1788 , Hectomare ; Perré (fief de) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Antoine (fief), à Iville ; Troncq (Le)  

Aveux rendus par la Charité à Charles Puchot, conseiller au parlement de Rouen (1687), à Louis de Savary, doyen de l'église cathédrale et vicaire général d'Évreux (1758), à Bénigne-Étienne-François Foret, procureur général en la cour des comptes, aydes et finances de Normandie (1759), et à Louis-Alexandre de Savary, grand-maître honoraire des eaux et forêts de Normandie (1784), pour des terres relevant des fiefs de Saint-Antoine d'Iville, de Perré, d'Escambosc et du Troncq ; – quittances des rentes seigneuriales payées par la Charité aux seigneurs des fiefs dominants.

Contexte :
Confréries > Hectomare

Ordonnance de visite de l'abbaye de l'Isle-Dieu par François de la Bellière, abbé de la Luzerne, vicaire d'Augustin Le Scellier, général de l'ordre de Prémontré, et visiteur de l'ordre en Normandie, contenant des instructions pour la réception et l'instruction des novices et des profès, l'envoi d'un ou deux religieux dans les prieurés dépendant de l'abbaye, les réparations de l'abbaye et un projet de reconstruction conçu et présenté par l'abbé (1655) ; – copie imprimée (XVIIIe siècle) d'un arrêt du Parlement de Rouen, du 6 mai 1551 « rendu sur le vu de la donation d'Aymeric, archevêque de Rouen, faite au chapitre de l'église cathédrale du même lieu le 29 avril 1341, entre le seigneur cardinal archevêque de Vendôme, archevêque de Rouen, les sieurs doyen, chanoines et chapitre de l'église cathédrale du même lieu, et le seigneur Louis de Clermont, abbé commendataire de l'abbaye de Cerisy, et les religieux de ladite abbaye, apelans de sentence rendue en la Cour des Requêtes du Palais à Rouen le 3 juin 1550 ; qui adjuge les dîmes grosses et menues au profit de St Pierre Vasselin, avocat en la Cour, prêtre et curé de la paroisse de Morgny en la forêt de Lyons, sur sept pièces de terre composant la quantité de trois cens dix-neuf acres aliénées et défrichées de la forêt de Lyons, comme étant situées dedans les confins et limites de ladite paroisse de Morgny, avec dépens et restitution des levées, lequel arrêt confirme ladite sentence, avec dépens ».

H401 , 1551-1655 , Cerizy (abbaye de) ; Isle-Dieu (Abbaye de), près Perruel ; Normandie (La) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Isle-Dieu (Ordre de Prémontré)

Mémoire pour Françoise Le Maistre, veuve de Gabriel de Roulainvilliers, et Claude de Boulainvilliers, son fils, contre Louis Le Febvre, prévôt, et Joseph Huet, avocat du Roi en la ville de Gisors, au sujet des incidents survenus à propos de la sépulture dudit Gabriel de Boullainvilliers dans la chapelle de l'Assomption de l'église de Gisors et du point de savoir si les trésoriers de la fabrique pouvaient concéder un droit de sépulture dans ladite chapelle, spécialement affectée au service de la confrérie de l'Assomption (1677) ; – pièces de procédure et arrêt du conseil d'État du Roi, du 20 juillet 1735, concernant « les constestations portées successivement devant les premiers juges et par appel au parlement de Rouen entre les officiers du bailliage de Gisors, la communauté des habitants, le curé, les trésoriers et marguilliers de l'église parroissiale dudit Gisors et les administrateurs de la confrérie de Notre-Dame, soit sur la nomination et destitution des chapelains, soit sur une augmentation d'appointement que le curé s'est fait accorder par les trésoriers et marguilliers au sujet de ses honoraires, etc., » ; –« moyen d'appel que propose en la Cour M0 Pierre-Guillaume Delisle Dormeau, curé de Gisors, contre François Chenu, marchand à Gisors, et Robert Huet, ci-devant marguilliers de ladite église. » Ce mémoire imprimé, qui ne comprend pas moins de 69 pages in-folio, débute ainsi : « Idée générale du procès. Le sieur curé s'est-il fait payer de 365 messes dans chaque année ordinaire, et de 366 dans l'année bissextile ? Le sieur curé, au contraire, s'est-il fait payer dans l'année 1732 de 480 messes, dans l'année 1733 de 543, dans l'année 1734 de 547 et dans l'année 1735 de 497 ? Dans le premier cas, sa conduite est régulière, ses mains sont pures, elles ne sont point teintes du sang de la fabrique, elles ne sont point engraissées de son suc ; la calomnie est évidente et le curé ne peut être trop solennellement vengé. Dans le second, flatté d'un sordide intérêt, entraîné par une aveugle avidité, il a, avec réflexion, foulé aux pieds les loix de la justice ; il a mis la faux dans le champ de l'Église ; il a recueilli la moisson qu'il n'avait point semée ; alors son titre de pasteur, son caractère de prêtre, s'élèvent contre lui ; le Sacerdoce est déshonoré, les peuples sont scandalisés, la peine est due et la Cour, qui se fait un glorieux devoir de protéger la Religion et tout ce qui y a trait, ne peut en infliger une trop sévère. ».

G700 , 1677-1737 , Gisors (Eglise, description en vers française, 2200 vers, XVIIe siècle) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Gisors