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Copies d'aveux rendus au Roi par les abbés de la Croix-Saint-Leufroi pour les terres féodales appartenant à ladite abbaye, situées à la Croix-Saint-Leufroi, à Écardenville, à Saint-Julien-de-la-Liègue, à Champenard, à Cailly, à Venables, à Tosny, à Saint-Marcel, à Saint-Just, à Saint-Pierre-d'Autils, à Bizy, à Gamilly, à Bezu-le-Long, à Vernon, à Iville, au Troncq, à Épégard, au Val-de-Rueil (vicomte de Pont-de-l'Arche), à Cahaignes, à Pacel, à Sailly, au Breuil, à Tournay, à Saint-Aubin-sur-Gaillon et à Dardez (1475-1530) ; –« déclaration que baille au Roy, en sa chambre des comptes de Normandie, Me Anne Busquet, écuyer, religieux de l'abbaye de la Croix-Saint-Leuffroy, prieur du prieuré de Bezu-le-Long, diocèse de Rouen, vicomte de Gisors.... Premièrement, l'église et chapelle dudit prieuré de Bezu-le-Long, membre dépendant de l'abbaye de la Croix-Leuffroy, et conciste en un fief amorti, auquel il y a domaine fieffé et non fieffé, chef-mois concistant en salle, chambres, greniers, caves, granges, écuries, colombier, pressoir et autres bâtiments, le tout enclos de murs, auquel bâtiment est jointe une pièce de terre enclos qui contient tant en labeur qu'en prairie cinq acres ou environ, compris la cour et bâtiment, etc.. » (1679).
Copies d'aveux rendus au Roi par les abbés de la Croix-Saint-Leufroi pour les terres féodales appartenant à ladite abbaye, situées à la Croix-Saint-Leufroi, à Écardenville, à Saint-Julien-de-la-Liègue, à Champenard, à Cailly, à Venables, à Tosny, à Saint-Marcel, à Saint-Just, à Saint-Pierre-d'Autils, à Bizy, à Gamilly, à Bezu-le-Long, à Vernon, à Iville, au Troncq, à Épégard, au Val-de-Rueil (vicomte de Pont-de-l'Arche), à Cahaignes, à Pacel, à Sailly, au Breuil, à Tournay, à Saint-Aubin-sur-Gaillon et à Dardez (1475-1530) ; –« déclaration que baille au Roy, en sa chambre des comptes de Normandie, Me Anne Busquet, écuyer, religieux de l'abbaye de la Croix-Saint-Leuffroy, prieur du prieuré de Bezu-le-Long, diocèse de Rouen, vicomte de Gisors.... Premièrement, l'église et chapelle dudit prieuré de Bezu-le-Long, membre dépendant de l'abbaye de la Croix-Leuffroy, et conciste en un fief amorti, auquel il y a domaine fieffé et non fieffé, chef-mois concistant en salle, chambres, greniers, caves, granges, écuries, colombier, pressoir et autres bâtiments, le tout enclos de murs, auquel bâtiment est jointe une pièce de terre enclos qui contient tant en labeur qu'en prairie cinq acres ou environ, compris la cour et bâtiment, etc.. » (1679).
Déclaration donnée par Simon de la Mare, curé d'Écouis, agissant au nom de la fabrique, à « Albert de Gondy, duc de Rais, pair et maréchal de France, marquis de Belle-Isle, etc., des terres données et aumosnées à la fabrique de ladite paroisse par les anciens seigneurs patrons dudit lieu, pour servir et valloir au terrier que mondit sieur entend faire de ses terres et seigneuries du Plessis, Escouys et Muchegros » (1637) ; – déclaration « des revenus, charges réelles et casuelles de l'église et fabrique de Saint-Aubin du bourg d'Écouis », fournie au bureau diocésain de l'Archevêché de Rouen par le trésorier en charge (le total des revenus est évalué à 375 livres 16 sols 6 deniers et celui des charges à 373 livres 18 sols 6 deniers, 1651) ; – bail à ferme passé par Marie-Marthe Asseline, femme séparée de biens de Mathieu Lefebvre, marchand à Écouis, aux syndic, trésoriers et habitants de la paroisse, « d'une grande maison située en ce lieu d'Écouis, en face de la grande route, à côté du cloître de l'église collégiale du dit lieu », au prix de 260 livres par an, pour servir à caserner la brigade de maréchaussée à a résidence d'Écouis, conformément aux dispositions de l'ordonnance du 27 décembre 1769 (1779).
Déclaration donnée par Simon de la Mare, curé d'Écouis, agissant au nom de la fabrique, à « Albert de Gondy, duc de Rais, pair et maréchal de France, marquis de Belle-Isle, etc., des terres données et aumosnées à la fabrique de ladite paroisse par les anciens seigneurs patrons dudit lieu, pour servir et valloir au terrier que mondit sieur entend faire de ses terres et seigneuries du Plessis, Escouys et Muchegros » (1637) ; – déclaration « des revenus, charges réelles et casuelles de l'église et fabrique de Saint-Aubin du bourg d'Écouis », fournie au bureau diocésain de l'Archevêché de Rouen par le trésorier en charge (le total des revenus est évalué à 375 livres 16 sols 6 deniers et celui des charges à 373 livres 18 sols 6 deniers, 1651) ; – bail à ferme passé par Marie-Marthe Asseline, femme séparée de biens de Mathieu Lefebvre, marchand à Écouis, aux syndic, trésoriers et habitants de la paroisse, « d'une grande maison située en ce lieu d'Écouis, en face de la grande route, à côté du cloître de l'église collégiale du dit lieu », au prix de 260 livres par an, pour servir à caserner la brigade de maréchaussée à a résidence d'Écouis, conformément aux dispositions de l'ordonnance du 27 décembre 1769 (1779).
Dixième volume contenant les églises paroissiales (lettre S, fin).
Table à la fin du registre. – Les paroisses comprises dans ce volume sont les suivantes : doyenné de Lyre : Sainte-Opportune-près-Rugles, Saint-Ouen-de-Mancelles, Saint-Germain-de-Rugles, Soccanne ; – doyenné de Conches : Saint-Etienne-de-Conches, Saint-Germain-lez-Évreux, Saint-Élier-près-Conches, Saint-Léger-le-Gautier, Sainte-Marthe, Sébécourt, Saint-Sébastien-du-Bois-Gencelin ; – doyenné d'Ouche : Saint-Pierre-de-Cernieres, Saint-Aubin-des-Hayes, Saint-Aubin-le-Guichard, Saint-Aubin-le-Vertueux, Saint-Aubin-sur-Risle, Saint-Jacques-de-la-Barre, Saint-Lambert, Sainte-Marguerite-en-Ouche, Saint-Quentin-des-Iles ; – doyenné du Neubourg : Sainte-Colombe-la-Campagne, Saint-Léger-la-Campagne, Saint-Martin-la-Corneille, Saint-Melain-la-Campagne, Saint-Melain-du-Bosc, Saint-Nicolas-du-Bosc, Sainte-Opportune-du-Bosc, Sainte-Opportune-la-Campagne, Saint-Pierre-des-Cercueils, Saint-Amand-des-Hautes-Terres, Semerville ; – doyenné de Louviers : Sacquenville, Saint-Aubin-d'Écrosville, Saint-Cyr-du-Vaudreuil, Saint-Cyr-la-Campagne, Saint-Didier-des-Bois, Saint-Germain de Louviers, Saint-Martin-la-Campagne, Surtauville, Surville, Saint-Jean d'Elbeuf.
Dixième volume contenant les églises paroissiales (lettre S, fin).
Table à la fin du registre. – Les paroisses comprises dans ce volume sont les suivantes : doyenné de Lyre : Sainte-Opportune-près-Rugles, Saint-Ouen-de-Mancelles, Saint-Germain-de-Rugles, Soccanne ; – doyenné de Conches : Saint-Etienne-de-Conches, Saint-Germain-lez-Évreux, Saint-Élier-près-Conches, Saint-Léger-le-Gautier, Sainte-Marthe, Sébécourt, Saint-Sébastien-du-Bois-Gencelin ; – doyenné d'Ouche : Saint-Pierre-de-Cernieres, Saint-Aubin-des-Hayes, Saint-Aubin-le-Guichard, Saint-Aubin-le-Vertueux, Saint-Aubin-sur-Risle, Saint-Jacques-de-la-Barre, Saint-Lambert, Sainte-Marguerite-en-Ouche, Saint-Quentin-des-Iles ; – doyenné du Neubourg : Sainte-Colombe-la-Campagne, Saint-Léger-la-Campagne, Saint-Martin-la-Corneille, Saint-Melain-la-Campagne, Saint-Melain-du-Bosc, Saint-Nicolas-du-Bosc, Sainte-Opportune-du-Bosc, Sainte-Opportune-la-Campagne, Saint-Pierre-des-Cercueils, Saint-Amand-des-Hautes-Terres, Semerville ; – doyenné de Louviers : Sacquenville, Saint-Aubin-d'Écrosville, Saint-Cyr-du-Vaudreuil, Saint-Cyr-la-Campagne, Saint-Didier-des-Bois, Saint-Germain de Louviers, Saint-Martin-la-Campagne, Surtauville, Surville, Saint-Jean d'Elbeuf.
Donation au prieuré par Jean Grimout d'une rente de deux sous tournois assignée sur un héritage situé à la Croix-Saint-Leufroi (1251) ; – id., par Guillaume Le Coq et Haisie, sa femme, avec le consentement de Gautier, leur fils, d'une rente de 3 sous parisis qui leur était due par Jacques et Hugues Latire, frères, à cause d'une pièce de terre située à la Fosse-Olier (1258) ; – reconnaissance par Geoffroi Taupin, d'Angreville, paroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon, et Robert, son fils aîné, d'une rente de 9 sous parisis par eux due au prieuré à cause de deux acres de terre qu'ils tenaient en fieffe des religieux de Grammont (1294) ; – vidimus d'une transaction passée entre les religieux du prieuré de Grammont-près-Rouen et de Grammont-près-Gaillon, d'une part, et les représentants de Jaquet Morisset, d'autre part, au sujet de leurs droits prétendus sur une maison située paroisse Saint-Léger à Évreux et appartenant audit Morisset : «... Touteffois que eulx ou leur famille viennent à Évreux pour les nécessités et négoces de leur hostel, ils ont de leur droit en ladite maison blanche nappe, feu en la cheminée, foing ou vêche pour leurs chevaulz et fourraux pour lictière à leurs chevaulx, et aussy y avoient que touteffois et quant le chevetaigne de ladicte maison aloit de vie à trespas, eulx prenoient la tierce partie des biens meubles de ce qui audit trespassé appartenoit... » (1349) ; – déclaration et aveux rendus aux jésuites du collège royal de Rouen, « prieurs et seigneurs haults justiciers du prieuré de Grandmont-lès-Rouen et Petit-Grandmont-lès-Gaillon, son annexe, » par les tenanciers de maisons et de terres relevant du prieuré à Gaillon et à Saint-Aubin-sur-Gaillon (1654-1691).
Donation au prieuré par Jean Grimout d'une rente de deux sous tournois assignée sur un héritage situé à la Croix-Saint-Leufroi (1251) ; – id., par Guillaume Le Coq et Haisie, sa femme, avec le consentement de Gautier, leur fils, d'une rente de 3 sous parisis qui leur était due par Jacques et Hugues Latire, frères, à cause d'une pièce de terre située à la Fosse-Olier (1258) ; – reconnaissance par Geoffroi Taupin, d'Angreville, paroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon, et Robert, son fils aîné, d'une rente de 9 sous parisis par eux due au prieuré à cause de deux acres de terre qu'ils tenaient en fieffe des religieux de Grammont (1294) ; – vidimus d'une transaction passée entre les religieux du prieuré de Grammont-près-Rouen et de Grammont-près-Gaillon, d'une part, et les représentants de Jaquet Morisset, d'autre part, au sujet de leurs droits prétendus sur une maison située paroisse Saint-Léger à Évreux et appartenant audit Morisset : «... Touteffois que eulx ou leur famille viennent à Évreux pour les nécessités et négoces de leur hostel, ils ont de leur droit en ladite maison blanche nappe, feu en la cheminée, foing ou vêche pour leurs chevaulz et fourraux pour lictière à leurs chevaulx, et aussy y avoient que touteffois et quant le chevetaigne de ladicte maison aloit de vie à trespas, eulx prenoient la tierce partie des biens meubles de ce qui audit trespassé appartenoit... » (1349) ; – déclaration et aveux rendus aux jésuites du collège royal de Rouen, « prieurs et seigneurs haults justiciers du prieuré de Grandmont-lès-Rouen et Petit-Grandmont-lès-Gaillon, son annexe, » par les tenanciers de maisons et de terres relevant du prieuré à Gaillon et à Saint-Aubin-sur-Gaillon (1654-1691).
Donation par Pierre Boyvin, au nom de feu Gabriel Belhomme, d'une somme de 800 livres à chacune des églises de Saint-Aubin-de-Pacy et de Saint-Aquilin-de-Pacy ; – baux à ferme des terres de la fabrique ; – -contrats de donation et de constitution de rentes au profit de la fabrique ; – transaction passée entre les habitants et le sieur Boyvin, bourgeois de Pacy. Ce dernier s'oblige à faire établir une gouttière pour l'écoulement des eaux de pluie provenant de sa maison d'habitation, qui détérioraient les murs de l'église.
Donation par Pierre Boyvin, au nom de feu Gabriel Belhomme, d'une somme de 800 livres à chacune des églises de Saint-Aubin-de-Pacy et de Saint-Aquilin-de-Pacy ; – baux à ferme des terres de la fabrique ; – -contrats de donation et de constitution de rentes au profit de la fabrique ; – transaction passée entre les habitants et le sieur Boyvin, bourgeois de Pacy. Ce dernier s'oblige à faire établir une gouttière pour l'écoulement des eaux de pluie provenant de sa maison d'habitation, qui détérioraient les murs de l'église.
Fontaine-l'Abbé.
Donation à l'abbaye par Jean de Planca, avec le consentement d'Eudeline, sa femme, de trois vergées de bois situées à Fontaine-Abbé (1252 a. s. ) ; sentence du lieutenant-général des maîtres et enquêteurs des eaux et forêts en Normandie et en Picardie, renvoyant l'abbaye de Bernay et Jean Fourmage des fins de la poursuite intentée contre eux au sujet du droit de tiers et danger et reconnaissant que les bois de l'abbaye situés à Fontaine-l'Abbé étaient exempts de ce droit (1392) ; copies d'aveux et de gages-pleiges établissant le droit pour l'abbaye de percevoir le droit de panage sur les habitants de Fontaine-l'Abbé (1460-1620) ; rôles du panage des bois de Fontaine-l'Abbé et de Saint-Aubin-le-Vertueux, des fiefs Vauquelin, de Bétheville, au Clerc, Basse, du Boscnoir et de Bougeville, pour les années 1485 et 1495 ; accord intervenu entre Raulin Guilleboult, d'une part, et Guillaume Couillart, d'autre part, pour régler les contestations pendantes entre eux au sujet de l'exercice de l'office de « prevosté, forestage ou verderie dudit lieu de Fontaines, tant en la Haye l'Abbé, les Boys Cosnard, Carantonne et Saint Cler de Dercey, en tant qu'il en y a appartenant aux religieux, abbé et couvent de Bernay » (1457).
Fontaine-l'Abbé.
Donation à l'abbaye par Jean de Planca, avec le consentement d'Eudeline, sa femme, de trois vergées de bois situées à Fontaine-Abbé (1252 a. s. ) ; sentence du lieutenant-général des maîtres et enquêteurs des eaux et forêts en Normandie et en Picardie, renvoyant l'abbaye de Bernay et Jean Fourmage des fins de la poursuite intentée contre eux au sujet du droit de tiers et danger et reconnaissant que les bois de l'abbaye situés à Fontaine-l'Abbé étaient exempts de ce droit (1392) ; copies d'aveux et de gages-pleiges établissant le droit pour l'abbaye de percevoir le droit de panage sur les habitants de Fontaine-l'Abbé (1460-1620) ; rôles du panage des bois de Fontaine-l'Abbé et de Saint-Aubin-le-Vertueux, des fiefs Vauquelin, de Bétheville, au Clerc, Basse, du Boscnoir et de Bougeville, pour les années 1485 et 1495 ; accord intervenu entre Raulin Guilleboult, d'une part, et Guillaume Couillart, d'autre part, pour régler les contestations pendantes entre eux au sujet de l'exercice de l'office de « prevosté, forestage ou verderie dudit lieu de Fontaines, tant en la Haye l'Abbé, les Boys Cosnard, Carantonne et Saint Cler de Dercey, en tant qu'il en y a appartenant aux religieux, abbé et couvent de Bernay » (1457).
Forêt-la-Folie.
Aveux rendus par les Ursulines de Gisors à Marie Lyonne, veuve de Charles Amelot, chevalier, ancien président au Grand Conseil du Roi (1694), à Charles-François Guedier, écuyer, seigneur de Saint-Aubin, lieutenant général de Gournay et à cause de sa femme, Catherine-Elisabeth du Val, seigneur du fief de Viennois, sis à Forêt (1705-1725), à Guy de Chaumont, chevalier, marquis d'Orbec, seigneur de Guitry, Forêt et Sébécourt (1705) et à Michel-Pierre-Georges Le Fèvre, écuyer, maître ordinaire en la Cour des comptes, aides et finances de Normandie, seigneur du fief de la Heaumière sis à Forêt (1750), pour des terres sises à Forêt et relevant de la seigneurie dudit lieu et des fiefs de Viennois et de la Heaumière ; baux à ferme de trois pièces de terre contenant deux acres et demie, sises à Forêt et appartenant aux Ursulines de Gisors, passés moyennant un prix de fermage annuel de 32 livres en 1723 et de 35 livres en 1749.
Forêt-la-Folie.
Aveux rendus par les Ursulines de Gisors à Marie Lyonne, veuve de Charles Amelot, chevalier, ancien président au Grand Conseil du Roi (1694), à Charles-François Guedier, écuyer, seigneur de Saint-Aubin, lieutenant général de Gournay et à cause de sa femme, Catherine-Elisabeth du Val, seigneur du fief de Viennois, sis à Forêt (1705-1725), à Guy de Chaumont, chevalier, marquis d'Orbec, seigneur de Guitry, Forêt et Sébécourt (1705) et à Michel-Pierre-Georges Le Fèvre, écuyer, maître ordinaire en la Cour des comptes, aides et finances de Normandie, seigneur du fief de la Heaumière sis à Forêt (1750), pour des terres sises à Forêt et relevant de la seigneurie dudit lieu et des fiefs de Viennois et de la Heaumière ; baux à ferme de trois pièces de terre contenant deux acres et demie, sises à Forêt et appartenant aux Ursulines de Gisors, passés moyennant un prix de fermage annuel de 32 livres en 1723 et de 35 livres en 1749.