Toutes les ressources Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) 19 résultats (12ms)

Mandement de Charles IX, adressé au bailli de Rouen, pour lui prescrire de ne pas tenir compte de précédentes lettres royales qui avaient pourvu « Etienne Prévost, soy disant soldat à noz bandes françoises » d'une place de religieux lai au prieuré des Deux-Amants, « s'il appert que ledit prieuré ne soyt de fondation royal, ducal, ny contal, ny de revenu suffisant, desduictes les autres charges... » (1568) ; requêtes et pièces de procédures pour le prieur des Deux-Amants contre ledit « Étienne Le Prevost », soi-disant pourvu par le Roi d'une place de religieux lai audit prieuré et prétendant faire condamner le prieur « à luy bailler vestiaire et provision de vivres comme à l'ung des aultres religieux dudit prieuré » (1571) ; – copie informe du concordat intervenu entre les religieux du prieuré des Deux-Amants et les chanoines réguliers de Saint-Augustin, de la congrégation de France, pour l'aggrégation de leur prieuré à ladite congrégation (1648).

H862 , 1568-1652 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des)  
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Farceaux.

H854 , 1235-XVIIe siècle , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Farceaux  

Donation au prieuré par Enguerran, clerc, de Farceaux, de 5 sous parisis de rente assignés sur un jardin à Farceaux, de 2 chapons à Noël et de 20 œufs à Pâques (1235) ; — description par tenants et aboutissants de 4 acres de terre, en 4 pièces, sises à Farceaux « et que souloit tenir jadis un appelé Guilebert Le Masurier, laboureur » (XVIIe siècle).

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Sentence rendue en chambre du Conseil par Pierre de la Tour, lieutenant général du bailliage de Gisors et président du présidial d'Andely, envoyant les religieux du prieuré des Deux-Amants en possession des héritages dépendant de la succession de feu Jean Le Cloustier, seigneur et patron de Vatteville, qui étaient chargés envers ledit prieuré d'une rente de 324 boisseaux de blé et 10 livres en argent.

H859 , 1699 , Andelys (Les) ; Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Vatteville  
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Romilly-sur-Andelle.

H857 , 1651-1774 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Mulhomme (triège du), sis à Romilly-sur-Andelle ; Romilly-sur-Andelle  

Baux à ferme d'une pièce de terre contenant 50 perches, sise à Romilly, triège du Mulhomme, passés par les religieux du prieuré pour le prix annuel de 6 livres en 1660, de 100 sous en 1690 et 1704, de 6 livres en 1714, 1721 et 1725, de 10 livres en 1748 et de 12 livres en 1756 et en 1774.

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Déclaration des nouveaux acquêts du prieuré depuis l'année 1641 (1673) ; –« déclaration du revenu temporel de la manse conventuelle des prieur, chanoines réguliers et chapitre du prieuré de Sainte Magdelaine des Deux Amans, ordre de Saint-Augustin, de la congrégation de France, ensemble du fond de la somme de huit cens livres pris sur le tiers des charges et qui leur a été délaissé par les révérends pères jésuites du collège de Rouen, auquel est uni le revenu de la manse prieuralle, pour acquitter les charges de l'église et faire les réparations de leur monastère et des fermes de leur lot... » (1720) ; –« éclaircissements ou notes sur les différents biens de la maison des Deux-Amans » (vers 1720) ; –« état et revenu du prieuré des Deux-Amans, situé sur le sommet de la côte, entre le Pont-de-l'Arche et le Pont-Saint-Pierre » (vers 1750) : « Le prieuré des Deux Amants est de très ancienne fondation. L'on ne peut en établir l'époque, le premier titre et beaucoup d'autres qui prouveraient son antiquité et ses privilèges et biens en dépendants ayant péris parles incendies et incursions de gens de guerre, comme il paroit et est établi par les Chartres du roy très chrétien Henri deux ; il paroit avoir eu pour fondateur un M. de Malmains dont il porte les armes, trois mains gauches. Ce prieuré est uni au collège des R.R. P.P. Jésuites de Rouen, qui jouissent par conséquent des biens et revenus attachez à la manse prioralle. La communauté, qui est composée de neuf chanoines réguliers, n'a pour tous biens et revenus que ceux cy après., etc. » ; d'après cet état, les revenus de la mense conventuelle sont évalués à 4.919 livres et les charges ordinaires à 1.263 livres ; –« tableau des biens et revenus, en argent et en nature, de la maison et prieuré de la Magdelène, mont des Deux Amants, dressé sur les titres et sommier de la ditte maison par Antoine Louis de Moncrif, prieur, le trois avril 1784. ».

H847 , 1673-1790 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Pont-de-l'Arche, ville ; Pont-Saint-Pierre ; Sainte-Madeleine-les-Deux-Amants (Prieuré de)  
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Notes de comptabilité pour frais de procédures (XVIIe siècle) ; – lettres adressées de Paris au prieur des Deux-Amants et au procureur du prieuré par M. Fauvelay, chargé du recouvrement des rentes constituées au profit dudit prieuré sur l'Hôtel-de-Ville de Paris, sur les Postes, sur les Aides et Gabelles (1720-1722) ; – vente par les religieux du prieuré à François Préaux, marchand de bois à Pont-de-1'Arche, de toutes les coupes de bois taillis dépendant de la mense conventuelle du prieuré, pendant les années 1723 à 1728, soit 5 coupes, pour le prix principal de 5,500 livres (1722) ; – emprunt de 3,000 livres contracté par le procureur du prieuré sur les prêtres de l'Oratoire de Rouen moyennant une rente de 150 livres (1732).

H861 , 1656-1732 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Pont-de-l'Arche, ville ; Rouen, Couvent des Prêtres de l'Oratoire  
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Amfreville-sous-les-Monts.

H850 , 1634-1772 , Amfreville-sous-les-Monts ; Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des)  

Vente par Jean Jolin, laboureur, à dom Claude Le Febvre, prêtre, religieux du prieuré des Deux-Amants et curé d'Amfreville-sous-les-Monts, d'une masure contenant cinq vergées, sise à Amfreville, triège du Val-Amey, pour le prix de 100 livres tournois (1635) ; — rôle de répartition sur les habitants propriétaires de la paroisse d'Amfreville-sous-les-Monts d'une somme de 1,503 livres pour les réparations du presbytère et de l'église (1760) ; — procès-verbal de visite et d'estimation des réparations à faire au chœur, chancel et bâtiment presbytéral d'Amfreville-sous-les-Monts, dressé par Jacques-Charles La Lande et Louis Gilbert, architectes experts jurés au bailliage de Rouen (1771).

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Copies collationnées (XVIIe siècle) de la confirmation des biens du prieuré des Deux-Amants par Hugues III d'Amiens, archevêque de Rouen (s.d. 1146-1150) ; – confirmation générale des biens du prieuré par Gautier de Coutances, archevêque de Rouen (1207) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) des lettres patentes de Henri IV, du 17 janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, autorisant le retrait des biens du prieuré autrefois aliénés, donnés à fieffe ou à bail emphytéotique, « ce qui a grandement diminué le revenu dudit prieuré, avec l'incendie et bruslement des bastimens d'iceluy advenus en l'année 1593 », – des lettres du même roi, de janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, confirmant les droits, franchises et libertés du prieuré : «... D'autant que par la violence et confusion tant des premiers troubles et sièges de nostre ville de Rouen de l'année mil cinq cens soixante et deux, que les derniers advenus en ce royaume, et mesme par l'incendie et bruslement dudit lieu des Deux Amans en l'année mil cinq cens quatre vingt traize, seroit arrivé perte de la plus grande et meilleure partie de leurs Chartres, tiltres, papiers et enseignemens, outre celle des bastimens et autres choses dépendantes du dit prieuré, estimé à dix mille escus et plus,... Nous avons les dits prieur, religieux et couvent continuez et confirmez, continuons et confirmons par ces présentes en touts les dits droits, franchises et libertés qu'ils monstreront tant par les dites Chartres, tiltres et enseignemens qui leur peuvent rester que par les anciens baux à ferme, papiers, journaux de recepte et autrement, avoir appartenu à leurs prédécesseurs prieurs et religieux à cause de leur dit prieuré des Deux Amans. ».

H846 , XIIe-1603 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
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Amfreville-sous-les-Monts.

H851 , 1685-1725 , Amfreville-sous-les-Monts ; Amfreville-sous-les-Monts (Prieuré des Deux-Amants) ; Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des)  

Mémoires et notes concernant les réparations des bâtiments du prieuré (1685-1686) ; — procès-verbal de visite et d'estimation des réparations à faire à l'église du prieuré, dressé par Pierre Jarry, architecte à Rouen (1720) ; — autorisation donnée aux religieux des Deux-Amants par les vicaires généraux de Rouen, le siège vacant, de démolir l'ancienne église du prieuré pour en construire une nouvelle et de célébrer, en attendant, l'office divin dans leur grande salle « qui est en état et décemment ornée » (1721) ; — « marché pour la démolition de l'ancienne église du prieuré des Deux-Amants et la réédification d'une nouvelle, fait par les prieur et chanoines réguliers dudit prieuré avec Me Jacques Cécille (1722) ; — description de l'ancienne église du prieuré avant sa démolition commencée le 5 octobre 1722 : «... La sacristie étoit derrière le grand autel et faisoit partie de l'église, aiant dix huit pieds de long sur dix sept de large. Au fond, contre le pignon, étoit un autel et au-dessus un rétable représentant l'Annonciation, au bas duquel étoit d'un côté les armoiries du prieuré, qui sont trois mains gauches de sable sur un fond d'azur, représentant le dessus de la main à la vue ; de l'autre côté étoit un écusson dont le fond étoit aussi d'azur, en ovale de même que le précédent, avec un cheveron doré, au hault duquel et entre la pointe étoient deux roses sans queue, et au bas du dit cheveron, dans le milieu, un croissant doré... Le rétable du maître autel étoit de pierre de taille et avoit quatre pieds de hault en dessus du maître autel, et long de neuf pieds six pouces. L'histoire de la Magdelaine y étoit représentée en sculpture sur des pierres de même que celles du rétable. On en a fait présent au P. curé d'Amfreville sous les Monts, qui les a demandés pour son église... » ; — copie du procès-verbal de consécration de la nouvelle église du prieuré par Jean IV de Caulet, évêque de Grenoble, le 22 septembre 1726.

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« Lots et partages des biens et terres du prieuré des Deux-Amants, faits entre les pères jésuites du collège de Rouen auquel est uni le revenu temporel de la manse prieuralle dudit prieuré et les chanoines réguliers de la congrégation de France établis dans le dit prieuré » (1652) ; – ratification par François Annat, provincial de la compagnie de Jésus en la province de France, du concordat passé entre Jacques Grandaux, recteur du collège des jésuites de Rouen, d'une part, et Pierre Lescalopier, chanoine régulier de la congrégation de Saint-Augustin, prieur claustral du monastère de Saint-Lô, d'autre part, au sujet du rétablissement de la discipline régulière au prieuré des Deux-Amants, ainsi que des conventions intervenues pour le partage des revenus du prieuré en conséquence de ce concordat (1653.).

H849 , 1652-1668 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Rouen, Collège des Jésuites ; Saint-Lô (Monastère de)  
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Gaillardbois-Cressen ville.

H855 , 1515-1789 , Brémulle (ferme de) sise à Gaillard-bois ; Cressenville (fief de), près Gaillardbois ; Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Gaillardbois ; Grainville ; Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Paris (Parlement de) ; Villerets  

Notes, copies de baux à ferme, et pièces de procédures concernant le recouvrement de la rente de 4 mines de froment et 2 mines d'avoine due au prieuré des Deux-Amants sur la ferme de Brémulle, sise à Gaillardbois, Cressenville, Villerets et Grainville, et appartenant à l'abbaye de Mortemer (1515-1706) ; — procès-verbal d'apposition de scellés sur les meubles de feu Nicolas Chaboiceau, curé de Gaillardbois, dressé par le bailli de la haute justice de Bacqueville à la requête de Pierre-Ignace de Ruelle, chanoine régulier de la Congrégation de France, procureur du prieuré des Deux-Amants (1789).

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Alisay.

H852 , 1774 , Alisay ; Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Marais (Les), sis à Alizay ; Pont-de-l'Arche (le Pont de) ; Rouen (Parlement de) ; Rouville  

Déclaration fournie par Jean La Garde, prieur, Nicolas Charles Le Meaux et Georges Valfort, chanoines réguliers du prieuré des Deux-Amants, à Gilles-Louis Halle, comte de Rouville, second président du parlement de Normandie, pour « deux pièces de terre en nature de prey, appartenantes en pure aumône au dit prieuré des Deux Amants, assises en la paroisse d'Alizay, aux Marais, sujettes à la banalité du moulin du dit seigneur siz sur le pont du Pont de l'Arche et en outre au pressurage des fruits et crues de vin qui pourroient excroitre sur les dittos pièces de terre au pressoir du dit seigneur, en payant le septième pot pour le droit de pressurage. ».

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Bacqueville (forêt de), etc.

H853 , 1177-1654 , Bray (lieu-dit) sis à Bacqueville ; Buisson (lieu-dit Le), sis à Racqueville ; Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Ecriquetuit (Chapelle d'), sis à Racqueville ; Gisors ; Normandie (La)  

Confirmation par Goël de Beaudemont de la donation faite au prieuré par lui et par Baudry, son père, de la chapelle d'Écriquetuit (Escrachetut), avec les terres en dépendant, du droit de panage pour leurs porcs et du droit d'usage dans sa forêt de Bacqueville. Goël de Baudemont concède en outre aux religieux du prieuré le libre passage par Bray pour eux et les choses leur appartenant (1177) ; — procès-verbal de visite de la forêt de Bacqueville par Jacques de Chauffours, écuyer, lieutenant général des eaux et forêts au bailliage de Gisors, pour y reconnaître, marquer du marteau du Roi et délivrer au prieur des Deux-Amants les arbres propres aux réparations des bâtiments du prieuré (1616) ; — requête adressée par les religieux des Deux-Amants à M. Matharel, grand maître enquêteur et général réformateur des eaux et forêts en Normandie, à l'effet d'obtenir la délivrance d'arbres delà forêt de Bacqueville pour réparations des bâtiments du prieuré. Cette requête est rejetée, parce que le buisson de Bacqueville « n'est planté qu'en jeunes ventes et revenu de vingt ans sans aulcun bois d'essance à bastir » (1654).

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