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En particulier : succession de Louis Abraham, duc d'Harcourt, abbé commendataire de Saint-Taurin d'Évreux (1754) - l'abbé de Saint-Taurin et le cure de Saint-Gilles d'Évreux concernant les revenus des terres de Prey, hameau de la Rochette (1755).

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Transaction passée entre Richard Le Masson, prêtre, demeurant à Prey, fermier de la dîme appartenant à l'église paroissiale de Prey, d'une part, et les religieux, abbé et couvent de Saint-Taurin d'Évreux, « ledit abbé escollier estudiant en l'Université de Paris », d'autre part, au sujet de leurs droits respectifs sur les dîmes de certaines terres de la paroisse de Prey. Richard Le Masson reconnaît que les dîmes contestées appartiennent bien à l'abbaye, à cause de l'office de sacristain, et qu'il n'y a aucun droit en sa qualité de fermier du curé de Prey (1415) ; — mémoire pour les religieux de Saint-Taurin contre M. de Vitermont, seigneur de Prey, au sujet du payement d'une rente de 80 boisseaux de blé, moitié froment et moitié seigle, due en nature par la seigneurie de Prey auxdits religieux « comme pension monacale et pension alimentaire » (vers 1745).

En particulier : succession de Louis Abraham, duc d'Harcourt, abbé commendataire de Saint-Taurin d'Évreux (1754) - l'abbé de Saint-Taurin et le cure de Saint-Gilles d'Évreux concernant les revenus des terres de Prey, hameau de la Rochette (1755).

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Transaction passée entre Richard Le Masson, prêtre, demeurant à Prey, fermier de la dîme appartenant à l'église paroissiale de Prey, d'une part, et les religieux, abbé et couvent de Saint-Taurin d'Évreux, « ledit abbé escollier estudiant en l'Université de Paris », d'autre part, au sujet de leurs droits respectifs sur les dîmes de certaines terres de la paroisse de Prey. Richard Le Masson reconnaît que les dîmes contestées appartiennent bien à l'abbaye, à cause de l'office de sacristain, et qu'il n'y a aucun droit en sa qualité de fermier du curé de Prey (1415) ; — mémoire pour les religieux de Saint-Taurin contre M. de Vitermont, seigneur de Prey, au sujet du payement d'une rente de 80 boisseaux de blé, moitié froment et moitié seigle, due en nature par la seigneurie de Prey auxdits religieux « comme pension monacale et pension alimentaire » (vers 1745).

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Accord entre le chapitre cathédral d'Évreux et Jean, seigneur de Prey. Ce dernier déclare qu'étant débiteur envers le chapitre de 3 setiers de blé commun à cause d'un moulin que possédaient ses prédécesseurs dans la ville d'Évreux, il a transigé en donnant au chapitre 40 sous tournois qui serviront à acheter 3 sous de rente et en lui assurant en outre une rente annuelle de quatorze sous et une obole en échange des trois setiers de blé (1264) ; – déclaration du chapitre d'Évreux autorisant Jean, seigneur de Prey, à jouir à nouveau des quatorze sous et une obole de rente, qu'il avait cédés au chapitre en échange de trois setiers de blé, le Roi ayant refusé d'autoriser cet échange (1269) ; – donation par « Pierre, sire de Perey, chevalier, » à Vincent Le Travaille, chanoine d'Évreux, des dîmes qui lui appartenaient dans la paroisse de Prey. Le donateur déclare que la présente libéralité est faite « en rémunération et guerredon de plusieurs bontés, honeurs, servises et courtoisies que ledit monseigneur Vincent avoet faites audit Pierre de Prey ou temps passé et de quoy il n'avoit onques mes heu satisfacion, restitución ne guerredon » (1326) ; – bail à ferme de la dîme du Champ-Notre-Dame, appartenant au chapitre dans la paroisse de Prey, passé à Guillaume Cheron, prêtre, vicaire de Prey, pour le prix de 40 sous par an (1553).

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Accord entre le chapitre cathédral d'Évreux et Jean, seigneur de Prey. Ce dernier déclare qu'étant débiteur envers le chapitre de 3 setiers de blé commun à cause d'un moulin que possédaient ses prédécesseurs dans la ville d'Évreux, il a transigé en donnant au chapitre 40 sous tournois qui serviront à acheter 3 sous de rente et en lui assurant en outre une rente annuelle de quatorze sous et une obole en échange des trois setiers de blé (1264) ; – déclaration du chapitre d'Évreux autorisant Jean, seigneur de Prey, à jouir à nouveau des quatorze sous et une obole de rente, qu'il avait cédés au chapitre en échange de trois setiers de blé, le Roi ayant refusé d'autoriser cet échange (1269) ; – donation par « Pierre, sire de Perey, chevalier, » à Vincent Le Travaille, chanoine d'Évreux, des dîmes qui lui appartenaient dans la paroisse de Prey. Le donateur déclare que la présente libéralité est faite « en rémunération et guerredon de plusieurs bontés, honeurs, servises et courtoisies que ledit monseigneur Vincent avoet faites audit Pierre de Prey ou temps passé et de quoy il n'avoit onques mes heu satisfacion, restitución ne guerredon » (1326) ; – bail à ferme de la dîme du Champ-Notre-Dame, appartenant au chapitre dans la paroisse de Prey, passé à Guillaume Cheron, prêtre, vicaire de Prey, pour le prix de 40 sous par an (1553).

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Confirmation par Richard de Bellevue, évêque d'Évreux, de la donation faite à l'abbaye par Légarde et ses sœurs des droits de dîme de tout le fief qu'elles tenaient à Prey.

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Confirmation par Richard de Bellevue, évêque d'Évreux, de la donation faite à l'abbaye par Légarde et ses sœurs des droits de dîme de tout le fief qu'elles tenaient à Prey.

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Aveu et déclaration rendus par les religieuses de l'abbaye de Notre-Dame de Pacy à Artus Gouffier, duc de Rouannes, seigneur de Prey et du Vieil-Évreux (1687) et à Antoine-François du Bosç, chevalier, seigneur de Vitermont, baron haut justicier de Garencières, Prey, Thomer, etc. (1759), pour des terres situées à Pacy et appartenant à l'abbaye.