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Alisay.

H852 , 1774 , Alisay ; Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Marais (Les), sis à Alizay ; Pont-de-l'Arche (le Pont de) ; Rouen (Parlement de) ; Rouville  

Déclaration fournie par Jean La Garde, prieur, Nicolas Charles Le Meaux et Georges Valfort, chanoines réguliers du prieuré des Deux-Amants, à Gilles-Louis Halle, comte de Rouville, second président du parlement de Normandie, pour « deux pièces de terre en nature de prey, appartenantes en pure aumône au dit prieuré des Deux Amants, assises en la paroisse d'Alizay, aux Marais, sujettes à la banalité du moulin du dit seigneur siz sur le pont du Pont de l'Arche et en outre au pressurage des fruits et crues de vin qui pourroient excroitre sur les dittos pièces de terre au pressoir du dit seigneur, en payant le septième pot pour le droit de pressurage. ».

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré des Deux-Amants

Reconnaissance au profit de l'abbaye par Jean Lambert, d'Elbeuf, d'une rente de deux sous assignée sur une maison sise à Elbeuf, rue Muleuse (1248) ; – bail à fieffe passé par Guillaume Croc, écuyer, à Richard Le Tailleur, d'une masure située paroisse Saint-Ëtienne d'Elbeuf, moyennant une rente annuelle de 12 sous et un chapon (1265) ; – extraits des comptes de l'abbaye, contenant le relevé des rentes foncières qui lui étaient dues à Elbeuf (XVIe siècle) ; – copie collationnée d'un mandement du roi Charles IX, adressé aux conseillers des Requêtes du Palais, à Rouen, et au bailli de Rouen, pour leur ordonner de contraindre les débiteurs de l'abbaye de Bonport à payer les rentes dont ils seraient trouvés redevables d'après les comptes de l'abbaye : «... Les relligieux, abbé et couvent de l'abbaye Nostre-Dame de Bomport nous ont faict remonstrer que pendant les premiers troubles advenuz en cestuy nostre royaulme, spéciallement estant la ville de Rouen assiégée, les plus principaux tittres et papiers originaux de ladicte abbaye ont esté prins, bruslez, gettez en la rivière de Seine et emportez par la malice d'aucuns cuidans s'affranchir et exempter en ce faisant des rentes et aultres redebvances qu'ilz leur doibvent... Etc. » (5 novembre 1570). – (Soixante-dixième liasse de l'inventaire de 1784.).

H212 , 1248-1599 , Bonport (Abbaye Saint-Pierre de) ; Deux-Amants (Prieuré des) ; Elbeuf-sur-Seine ; Elbeuf-sur-Seine (paroisse Saint-Etienne d') ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bonport (Ordre de Cîteaux)

Chapelle du Fayel, paroisse de Perriers-sur-Andelle.

G1532 , 1736-1795 , Gamaches ; Mouflaines ; Provemont (chapelle de Saint-Michel de Vatimesnil) ; Provemont-Fissencourt (fief) ; Rouen (Parlement de) ; Sablonnière (triège de La, à Mouflaines)  

Aveu rendu par l'homme vivant et mourant de ladite chapelle à Robert Fauvel, chevalier, conseiller au parlement de Normandie, seigneur de Mouflaines, etc., pour une vergée de terre sise à Mouflaines, triège de la Sablonnière (1736) ; – contrainte pour le payement d'une somme de 88 livres due, pour le droit d'amortissement, par la chapelle de Vatimesnil « à cause de 20 livres de rente annuelle et perpétuelle, affectée spécialement sur une maison sise à Gamaches, et d'une vergée de terre sise à Sainte-Marie-des-Champs, de valeur de 4 livres de revenu, à elle donnée par le sieur Robert Le Felvre, laboureur, demeurant à Gamaches, par contract passé devant Duthil, notaire à Étrépagny, du 14 septembre 1749 ».

Contexte :
Chapelles

Titres concernant des rentes foncières assignées sur des maisons situées à Évreux, rue de l'Horloge, « d'un côté Pierre Boette, à cause de la maison qui est sur le pont Robert Bende, et d'un bout le pavement du Roi », –« rue Trianon, dict la rue Saint-Loys, d'un boult les fossez du chasteau et d'aultre bout la rue », –« sur la maison où pend pour enseigne Les Balleynes » située devant l'église Saint-Pierre, – sur une maison sise paroisse Saint-Pierre, « d'un bout la Grand'Rue, et d'autre bout les représentants le sieur Grebouval, qui a sortye sur la maison de Catherine Nervet, veuve de Pierre Levert, procureur au parlement do Rouen, située rue aux Juifs, paroisse Saint-Pierre.

G629 , 1494-1758 , Evreux ("Juifs", rue aux, paroisse Saint-Pierre) ; Evreux ("L'Horloge", rue de) ; Evreux ("Pont-Robert-Bende , Le) ; Evreux ("Trianon", rue du, située au près des Jacobins) ; Evreux (Saint-Pierre) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Évreux > Saint-Pierre

Farceaux.

H1481 , 1658-1779 , Andelys (Les) ; Andelys (Les), Les Bénédictines ; Bonnemare (hameau de), situé à Radepont ; Farceaux ; Lyons-la-Forêt (Couvent de Bénédictins de Saint-Charles de) ; Rouen (Parlement de)  

Copies d'aveux rendus par Louis Desmoulins, marchand à Andely, à François de Remond, chevalier, seigneur de Farceaux, pour des terres sises audit lieu (1658) ; — aveux rendus par les Bénédictines d'Andely à François de Remond, chevalier (1682), à Louis-André de Rome, chevalier président à mortier au Parlement de Normandie (1227), seigneurs de Farceaux et de Bonnemare, et à Toussaint Sacquard, seigneur de Bonnemare (1707), pour des terres sises à Farceaux et relevant de la seigneurie dudit lieu et du fief de Bonnemare.

Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Bénédictines d'Andely et Bénédictines de Lyons, y réunies

Bec-Hellouin (Le).

H13 , 1257-1762 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bec-Héllouin (Le) ; Neubourg (Le), paroisse Saint-Paul ; Pont-Hachette (le), sis au Bec-Hellouin ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Etienne-l'Allier  

Vente à l'abbaye par Gilbert du Hamel, de Saint-Étienne-l'Allier, d'une maison sise au Bec, ayant appartenu à Geoffroi de Maleville, pour le prix de 200 livres tournois (février 1257 n. s. ), — id., par Raoul du Neubourg, d'une partie de maison sise au Bec, dont l'autre partie appartenait à Jean « Le Waleis » (septembre 1257) ; — id., par Gauthier, prêtre de l'église Saint-Paul du Neubourg (septembre 1257), par Jean Le Galois (dictus Le Gualeis, juin 1259), et par Jeanne Laissée (1352), de maisons, masures et héritages sis au Bec ; —vente par les religieux du Bec (Pierre-François Boudier, prieur ; Louis-Denis Durier, sous-prieur ; Mathurin Larcher, Guillaume Delaunay, Robert Rivière), à Nicolas Vittecoq, marchand, demeurant au Bec, de trois pièces de terre, avec les bâtiments y édifiés, sises au Bec, triège du Pont-Hachette, la première contenant une acre, la seconde cinq vergées, la troisième une demi-acre, « appartenantes auxdits sieurs religieux à droit de confiscation sur la personne de Charles Vittecoq, prestre, frère dudit sieur acquéreur, condamné aux gallaires par arrest de la Cour du Parlement de Normandie, du 23 aoust 1757 », moyennant le prix principal de 1000 livres et à la charge d'acquitter deux rentes, de 6 livres 13 sous 4 deniers chacune, dont elles sont supposées grevées (1762).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Copies des lettres de collation par Gabriel Le Veneur, évêque d'Évreux, du prieuré cure de la Haye-le-Comte, vacant par le décès de Richard Le Valois, dernier prieur, en faveur d'Antoine Raoul, clerc du diocèse d'Angers, sur la présentation de l'abbé d'Aubecour, et du procès-verbal de prise de possession dudit prieuré par le nouveau titulaire (1557) ; –« déclaration que baille à Anne Le Métaier, escuier, seigneur de la Haie-le-Conte et. De la Rive, frère Jean Blondeau, et ce des héritages apartenans audit prieuré, assis sur les fiefs de la Haie-le-Gonte » (1632) ; – copie collationnée du procès-verbal de dédicace par François de Péricard, évêque d'Évreux, de l'église restaurée du prieuré (6 juin 1645) : « cum ecclesia prioratus beatae Mariae de Haya Comitis, curam parochianorum habentis et a monasterio sanctae Mariae de Alba Curia dependentis, penè funditùs diruta et prophanata per multum temporis spatium, a nobis iterum conservanda maturo judicio judicata sit, post communem ipsius restaurationem cura et impensis tam magistri Anne Le Metayer, scutigeri, domini de la Haye Le Conte et de la Rive quàm fratris Joannis Blondeau, prioris dictae ecclesiae de Haya Comitis, tandem Deo optimo maximo in honorem beatae Mariae semper virginis et sancti Theobaldi, servatis solemnitatibus assuetis, conservavimus et dedicavimus... » ; – procès-verbal d'information dressé contradictoirement entre Louis de Sopité, abbé régulier d'Aubecour, et Jean Penillon, prieur curé de la Haye-le-Comte, d'une part, Anne Le Métayer, sieur de la Haye-le--Comte, d'autre part, au sujet des empiétements et vexations au préjudice du prieuré reprochées à ce dernier (1647. Information faite par François de Godefroy, écuyer, conseiller au parlement de Rouen et commissaire délégué à cet effet) ; –« déclaration que donne à Nosseigneurs de l'assemblée générale du clergé de France, qui sera tenue en l'année 1730, et à Messieurs du Bureau du diocèse d'Évreux frère Etienne-François Nouette, chanoine régulier, prieur et curé de la Haie-le-Comte lès Louviers, des biens et revenus desdits prieuré et cure. Ces deux bénéfices ou édifices sont contigus et ne sont séparez l'un de l'autre que par un mur mitoyen ; on passe de l'un dans l'autre par une porte de communication. Ces deux bénéfices ont été bâtis et dotez sous le nom de chapelles différentes et à près d'un siècle l'un de l'autre : l'une sous l'invocation de Notre-Dame et l'autre sous l'invocation de Saint-Thibault. Cependant ces deux chapelles sont unies depuis leur fondation, toujours possédées par un seul titulaire ; la colla-lion d'icelles apartient à l'abbaïe royale d'Abbecourt, ordre de Prémontré, parroisse d'Orgeval près Poissy, diocèse de Chartres, dont l'abbé est régulier... (1728). ».

H897 , 1544-1776 , Abbecourt (Abbaye d') ; Aubecourt (Abbaye d') ; Haye-le-Comte (Prieuré de la) ; Orgeval (paroisse près Poissy) ; Rive (fief de la) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de la Haye-le-Comte

Mesnil-Jourdain (le).

H1209 , 1470-1668 , Acquigny ; Becdal (fief de) ; Cambremont (fief de) ; Clos-Miclot (Le), triège situé au Mesnil-Jourdain ; Ermitage (L'), triège sis au Mesnil-Jourdain ; Follenville (fief de) ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Métairie (fief de la) ; Mouillepain (surnom de la Rivière en Eure, à Becdal près Louviers) ; Rouen (Parlement de) ; Vivonne (fief de)  

Donation par Artus de Hellenvillier, écuyer, seigneur du Mesnil-Jourdain, à « frère Jehan Berthon, prêtre, religieux de la tierce ordre Saint-François » et à ses successeurs, d'« une place et lieu assis ès bois de la dite seigneurie du Mesnil-Jourdain, nommé l'Ermitage, avec acre et demie de bois à prendre en l'environ d'icelui lieu et dix perques de terre au long de la rivière d'Eure, au bas et en l'endroit d'icelui hermitage », en considération de « la grant et affectueux désir que ledit frère Jehan Berthon avoit de vivre et finir ses jours, comme il disoit, en dévocion et en lieu hors la communauté du peuple » (1470) ; — donation aux Pénitents de Sainte-Barbe-près-Louviers par « Claude Le Roux, chevalier, seigneur et baron haut justicier d'Acquigny, châtelain de Cambremont, Mesnil-Jourdain, Vivonne, seigneur de Becdal, la Métairie, Folleville et autres lieux, conseiller au parlement de Normandie, patron fondateur de la maison, couvent et monastère des révérends pères Pénitents establis à Sainte-Barbe-lès-Louviers en la paroisse du Mesnil-Jourdain, d'une pièce d'héritage en labour et pré, nommé d'antiquité le Clos-Miclot, close de haye, contenant trois vergées ou environ, sise au Mesnil-Jourdain, bornée d'un costé l'eau de la rivière d'Eure vulgairement appelée Mouillepain, d'autre costé le grand chemin tendant de Louviers à Évreux » et d'une rente annuelle de 13 livres 10 sous tournois, pour la fondation de messes dans la chapelle de son manoir seigneurial de Becdal (1667).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Pénitents de Louviers

Déclaration fournie au subdélégué de Pont-de-l'Arche par Robert Fossard, curé et trésorier de la paroisse de Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin : « dit et déclare qu'en sa paroisse il y a deux petits fiefs nommez le fief de Troussebout et Bulle et un colombier, que possède présentement honneste personne Jean Turgis, bourgeois, maître de la Monnoye à Rouen, lesquels il a acquits avec deux autres fiefs nommés le fief Oynel et Robert Séneschal, situés et assis tant en la paroisse de Saint-Pierre des Serqueux que du Thuisignol, tenus, mouvants et relevans de Monsieur le marquis du Béthomas, seigneur temporel et honoraire de nostre dite parroisse, de noble homme Monsieur Nicolas de Rome, conseiller du Roy au parlement de Bouen, seigneur de Fresquiène et autres lieux, qui luy sont venus et succédez par la mort de feu Monsieur Asselin ».

G1231 , 1673 , Bec-Thomas (Le) ; Bullé (fief de, à Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin) ; Fresquienne ; Oynel (fief, à Saint-Pierre-des-Cercueils) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Robert-Sénéchal (fief, à Thuit-Signol) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville) ; Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin ; Troussebout (fief de), à Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin

« Plaidoyers de Me Feral, avocat au Parlement de Paris, accusé d'un délit de chasse, poursuivi par la voie des monitoires, et depuis accusateur, contre messire Léonard de Poudens, abbé commendataire de l'abbaye royale de Bernay, aumônier de Madame, décrété d'assigné pour être ouï ; Messire Joseph de Florence, abbé commendataire de l'abbaye de Clermont, grand archidiacre du diocèse de Tarbes, aumônier ordinaire de Madame, décrété d'assigné pour être ouï ; Me Pierre Bernais, curé de la paroisse du Planqué, décrété d'assigné pour être ouï ; Martin Gence, garde-chasse de M. l'abbé de Poudens, et du sieur Perteville, décrété d'ajournement personnel ; Etienne Belhache, garde général de M. l'abbé de Poudens, décrété de prise de corps ; François-Jacques Dutheil, garde-chasse de M. l'abbé de Poudens, décrété de prise de corps, coutumax, tous six procédans au Parlement de Rouen par attribution de lettres-patentes du Roi ». –« Au milieu d'un pays libre, sur le déclin du dix-huitième siècle, on voit renaître une de ces causes dignes des siècles qui ont précédé les Richelieu et les Mazarin, et qui nous rappellent, sous un gouvernement doux et paisible, le triste souvenir des premiers temps de la féodalité, où les privilèges de la grandeur se bornoient à étouffer, à anéantir les droits et les plaintes de la médiocrité... ».

H177 , 1783 , Paris (Parlement de) ; Rouen (Parlement de) ; Tarbes  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bernay

Rentes diverses.

G188 , 1371-XVIIIe siècle , Buisson (Le), triège à Gaillon ; Couvicourt (hameau de Saint-Aubin-sur-Guillon) ; Emainville (hameau à Saint-Pierre-la-Garenne) ; Fontaine-la-Verte (Hameau à Venables) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Aubin-sur-Gaillon ; Venables  

Vidiraus d'un mandement adressé par Philippe d'Alençon, archevêque de Rouen, à son receveur de Gaillon, pour lui ordonner de payer aux chanoines de Gaillon la somme de 12 francs d'or, représentant,, avec les 14 boisseaux de noix que ceux-ci avaient reçus précédemment, la valeur de la rente d'un muid et demi de noix qui leur était due depuis 3 années (29 mai 1371) ; – mandements du cardinal Charles II de Bourbon (1586) et de Charles III de Bourbon (1601), archevêques de Rouen, ordonnant à leurs receveurs de la seigneurie de Gaillon de payer au chapitre collégial la rente de 2 setiers de blé et un muid de noix qui lui était due chaque année ; – titres divers de rentes dues au chapitre de Gaillon et au séminaire d'Évreux comme substitué aux droits de ce dernier : 111 sous 5 deniers par an dus par Louis-Georges Doux, laboureur, demeurant au Buisson de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1742), 20 livres de rente annuelle au capital de 400 livres dues par Jean-Nicolas de Cambon, écuyer, prévôt général de la Haute-Normandie (1746), 10 livres et deux poulets dus par Antoine Philippes, journalier, demeurant en la paroisse de Venables, au hameau de Fontaine-la-Verte (1758), 3 livres 10 sous dus par François Saunier, laboureur, demeurant au hameau de Couvicourt, paroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1769), 32 livres 10 sous dus par Charles Malle, laboureur, demeurant au hameau d'Émainville, paroisse de Saint-Pierre-la-Garenne (1782), 3 livres dues par maître Augustin-Henry Le Bourgeois de Belleville, avocat au parlement de Rouen (1787).

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux > Ancien chapitre de Gaillon, uni au Grand séminaire d'Évreux en 1737

« Ensuyt l'inventaire des lectres et enseignemens apparlenans à l'office de l'omonier de Sainct Taurin d'Évreux. » Cet inventaire, rédigé au XVIe siècle, contient des analyses développées et des copies par extrait des chartes, titres et documents, du XIIIe au XVIe siècle, intéressant les terres et les rentes appartenant à l'office d'aumônier de l'abbaye, situées ou assignées à Morsent, à Bérengeville-la-Rivière, au Bois Gencelin, à Évreux, à Glisolles, à la Sôgne, à Louviers, etc. On a transcrit intégralement sur le 23e et dernier feuillet une transaction passée le 23 novembre 1549 entre Jacques, cardinal d'Annebaut, évêque de Lisieux et abbé commendataire de Saint-Taurin, d'une part, et Gabriel Le Veneur, évêque d'Évreux, d'autre part, pour terminer « certain procès cy devant meu entre eulx, pandant et indécis en la court de parlement de Rouan, touchant certaine demande et soustien faict par ledit sieur cardinal abbé dudit Saint-Taurin, au droict de l'office et dignité d'aumosnier, constre ledit sieur évesque d'Évreulx, disant que le mullet ou autre espesse sur lequel ledit sieur évesque d'Evreulx estoit monté lors de son avènement et entrée en son évesché appartenoit à l'aumosnier de son dit monastère, avecques une bacque ou anneau d'or de valleur honneste, le contraire auroit esté soustenu par ledit Le Veneur, évesque d'Evreulx. » Par cette transaction, l'évêque d'Évreux, « pour demeurer quitte vers ledit sieur cardinal, au droit de l'office et dignitté d'aumosnier de ladite abbaye, a présentement baillé contant à domp Ambroise de Moustiers, prêtre, religieulx, à présent aumosnier, la somme de cinquante six escuz sol, pour demeurer quitte de toutes choses généralement quelconques... ».

H795 , XIIIe-XVIe siècles , Bérengeville-la-Rivière ; Bois-Gencelin (Le) sis paroisse Saint-Sébastien ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Glisolles ; Louviers ; Morsent ; Rouen (Parlement de) ; Sôgne (La)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Illeville-sur-Montfort.

H41 , 1764 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bosc-Héroult (Manoir de) sis à Ecaquelon ; Clermont ; Ecaquelon ; Ileville-sur-Montfort ; Ileville-sur-Montfort (le fief d'), situé à Illeville ; Rivière (fief de la) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Léger-du-Gennetey  

Aveu rendu à Louis de Bourbon, comte de Clermont, prince du sang et abbé commendataire du Bec, par Jacques Morin, écuyer, seigneur de la Rivière, représentant par acquisition de Guillaume-Louis-Joseph Le Chevallier d'Ëcaquelon, conseiller au parlement de Normandie, par contrat du 19 décembre 1747, et en cette qualité seigneur et patron des paroisses d'Écaquelon, Saint-Léger-du-Gennetey, seigneur honoraire de la paroisse d'Illeville-sur-Montfort, demeurant au manoir seigneurial d'Écaquelon-Boschéroult, sis en ladite paroisse d'Écaquelon, pour un huitième de fief de haubert noble, nommé le fief d'Illeville, situé à Illeville-sur-Montfort et relevant de la baronnie et haute justice du Bec.

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Gage-plège du noble fief, terre et seigneurie de Menille, situé en la paroisse de Sainte-Colombe, appartenant à Messire Pierre-Jacques Le Carpentier, chevalier, baron de Combon, seigneur et patron honoraire dudit lieu, des paroisses de Saint-Opportune-la-Campagne, Saint-Martin-du-Tremblay, Saint-Nicolas-du-Verbois-en-Caux, des nobles fiefs, terres et seigneuries d'Omonville-Blanday, Omonville-Lexplinquet, Omon-ville-La-Prévosté, des Barres, du Bois-aux-Corneilles, fief Brunet, Les Granges, Le Houvet et autres lieux, conseiller de Grand'Chambre au Parlement de Normandie. ».

H1658 , 1776 , Bois-aux-Corneilles (fief du) ; Brunet (le fief) ; Combon ; Granges (Les), fief sis à Combon ; Houvet (fief du) ; Menilles ; Omonville-Blandey (fief d') ; Omonville-la-Prévosté ; Omonville-l'Esplinguet (fief) ; Rouen (Parlement de) ; Sainte-Opportune-la-Campagne ; Saint-Etienne-de-Remeville (Commanderie de) ; Saint-Nicolas-du-Verbois-en-Caux ; Tremblay (Le)  

Gage-plège du noble fief, terre et seigneurie de Menille, situé en la paroisse de Sainte-Colombe, appartenant à Messire Pierre-Jacques Le Carpentier, chevalier, baron de Combon, seigneur et patron honoraire dudit lieu, des paroisses de Saint-Opportune-la-Campagne, Saint-Martin-du-Tremblay, Saint-Nicolas-du-Verbois-en-Caux, des nobles fiefs, terres et seigneuries d'Omonville-Blanday, Omonville-Lexplinquet, Omon-ville-La-Prévosté, des Barres, du Bois-aux-Corneilles, fief Brunet, Les Granges, Le Houvet et autres lieux, conseiller de Grand'Chambre au Parlement de Normandie. ».

Contexte :
Ordres militaires religieux > Commanderie de Saint-Étienne-de-Renneville

Aveux rendus par la fabrique à l'abbaye du Bec (1688), à Alexandre Le Cordier de Bigards, marquis du Troncq, maréchal de camp (1723), à Charles-André Guenet de Saint-Just, seigneur et patron de La Pyle, « doyen de Nos Seigneurs du parlement de Rouen » (1760), et à Pierre-Louis de Savary, haut doyen du chapitre cathédral d'Évreux, vicaire général du diocèse d'Évreux, abbé commendataire de l'abbaye de Beaulieu, seigneur du Troncq, des Hayes, du Pérey, de la Queue-du-Troncq (1759-1765), etc., pour des terres relevant desdits fiefs et seigneuries.

G1383 , 1688-1767 , Beaulieu (abbaye de Notre-Dame de) ; Bec-Hellouin (abbaye) ; Evreux (Chapitre Cathédral) ; Perery (Le), fief ; Pyle (La) ; Queue-du-Troncq (fief de La) ; Rouen (Parlement de) ; Troncq (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Troncq (Le)