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Copie collationnée (1792) de la « déclaration que baille au Roy, en sa chambre des comptes de Normandie, Estienne Bernard, chevalier de Notre Dame du Montcarmel et de Saint Lasare de Hiérusalern, prieur commandataire du prieuré de Saint Nicaise de Gasny l'Isle, diocèse de Rouen, vicariat de Pontoise, du temporel dudit prieuré, aux fins de la main levée des saisies faittes en faute de laditte déclaration » (1679), suivie de la copie de l'arrêt de la chambre des comptes de Normandie ordonnant la main-levée de la saisie du temporel dudit prieuré (1680).

H864 , 1679-1680 , Gasny-l'Isle (Prieuré de Saint-… de) ; Mont-Carmel (lieu-dit), Notre-Dame du ; Pontoise  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Gasny

Procès-verbal de l'état des fondations de l'église de Gisors, dressé par « Anthoine de Jeuffoce, prestre, docteur de Sorbonne, grand vicaire et officiai de Ponthoise et du Vexin françois pour Mrg l'archevesque de Rouen », et ordonnance de réduction desdites fondations rendue par François Rouxel de Médavy, archevêque de Rouen.

G699 , 1675-1676 , Gisors (Eglise, description en vers française, 2200 vers, XVIIe siècle) ; Pontoise ; Vexin-François (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Gisors

Génicourt.

H1450 , 1624-1760 , Génicourt ; Gisors (Les Annonciades de) ; Pontoise  

Procès-verbal d'arpentage des terres appartenant aux Annonciades de Gisors à Génicourt, dressé par R. Bouramé, mesureur et arpenteur royal à Pontoise (1650) ; — titres d'une rente de douze setiers de grain, les deux tiers en blé et l'autre tiers en avoine, assignée sur trente acres de terre à Génicourt, acquise par les Annonciades de Gisors en 1655 au prix de 3100 livres ; — aveu de treize pièces de terre sises à Génicourt et appartenant aux Annonciades de Gisors, rendu à Louis, marquis de Gouy, maréchal des camps et armées du Roi, seigneur de Génicourt, du chef de sa femme Anne-Yvonette-Marguerite-Esther de Rivié (1760).

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Couvents et communautés de femmes > Annonciades de Gisors

Procès-verbal des réparations à faire aux églises, fermes, granges et bâtiments dépendant de l'abbaye de Conches, dressé par Pierre Fontaine, architecte, demeurant à Pontoise, et Gabriel Le Chartier, architecte, demeurant à Conches, experts nommés parles économes séquestres des bénéfices vacants à la nomination du Roi, et par Charles-François-Siméon de Saint-Siméon Sandricourt, ci-devant abbé commendataire de Conches (1761-1762) ; – sentence de nomination et procès-verbal de prestation de serment du sieur Tiercelet, architecte à Paris, y demeurant, et d'Edouard-Jean Le Boullier, aussi architecte à Paris, experts désignés dans le même but en 1754 par Pierre-Jules-César de Rochechouart, évêque de Bailleux, ci-devant abbé commendataire de Conches, et Charles-François-Siméon de Saint-Siméon Sandricourt, son successeur.

H265 , 1754-1762 , Conches, Abbaye de Saint-Pierre et Saint-Paul-de-Castillon-les-Conches ; Paris (ville) ; Pontoise  
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Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Conches (Ordre de Saint-Benoît)

Contrats de donation, de constitution et de revalidation de rentes au profit de la fabrique. (Donation d'une rente de 26 sous tournois par Anne Lemaitre, veuve de Henri Mordant, vivant avocat et conseiller du Roi, élu en l'élection de Gisors et Pontoise, à charge par la fabrique de faire dire une messe basse chaque année, le 8 octobre, « à l'intention tant de son dit feu mary et d'elle que de deffunt discrette personne Mrg Guillaume Petit, prestre de l'oratoire de Jésus, son cousin », 1669) ; – donation à la fabrique par François Auvray et Françoise Drouard, sa femme, de 12 perches de terre sises à Tierceville, triège des Noës, chargées d'un œuf de rente seigneuriale, au terme de Pâques, envers les héritiers de feu Jean d'Épinay, écuyer, seigneur de Tierceville (1546).

G1340 , 1546-1758 , Gisors ; Noës (Les), triège à Thierceville ; Pontoise ; Tierceville  
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Églises paroissiales > Tierceville

Puiseux.

H1398 , 1266 , Pontoise ; Puiseux ; Saint-Michel (Prieuré de), près Vernon ; Trésor (Abbaye du)  

Sentence prononcée par le prieur de Saint-Michel, près Vernon, juge délégué par le légat, dans la cause pendante entre l'abbaye, d'une part, et Étienne Manseborc, de Pontoise, d'autre part au sujet du payement d'une rente de 5 sous léguée à l'abbaye par Béatrice, veuve de Jean Le Moine, chevalier, et assignée sur ses revenus de Puiseux. Le jugement condamne Étienne Manseborc à acquitter cette rente et à payer à l'abbaye cinq années d'arrérages arriérés.

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Ordres religieux de femmes > Abbaye du Trésor (Ordre de Cîteaux)

Meulan (rente sur la prévôté de).

H1396 , 1243-1756 , Mantes ; Meulan ; Pontoise ; Trésor (Abbaye du)  

Donation à l'abbaye par Blanche de Castille, reine de France, d'une rente de 40 livres parisis assignée sur la prévôté de Meulan et confirmation de cette donation par le roi Louis IX (Pontoise, mars 1243) ; — donation à l'abbaye par Mathieu de Marly, d'une rente de 20 sous parisis à prendre sur les vingt livres que la Reine avait assignées à son profit sur la prévôté de Meulan (1247) ; — quittance de la somme de 50 livres assignée au profit de l'abbaye sur les domaines du Roi de Mantes et Meulan pour l'année 1754, délivrée par Marie-Gabrielle-Élisabeth Duplessis de Richelieu, abbesse du Trésor, et par Claude Rouhier, religieux de Cîteaux, confesseur et procureur de ladite abbaye (1256).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye du Trésor (Ordre de Cîteaux)

Copie d'un contrat de constitution de rentes au profit de la fabrique de Bazincourt par Denis Le Monnyer, écuyer, sieur des Boulards et de Beauregard, président en l'élection de Gisors et Pontoise (1649) ; – requête adressée par Marin Martin, curé de Bazincourt, à M. « de Touvent », seigneur de Hacqueville, conseiller au parlement de Rouen, à l'effet d'arrêter les procédures engagées devant la Cour entre la fabrique et Louis Delahaye, notaire à Charleval, relativement au recouvrement d'une rente de 6 livres 12 sous : « sensiblement touché de l'estat auquel il voit réduit sa pauvre église par les taxes excessives qu'il a fallu payer tant des amortissements, aliénations que par des procédures très-injustes et déraisonnables de Louis de La Haye, nottaire, qui ont esté faites tant à Étrépagny, Gisors, qu'au parlement de Rouen, qui est présentement saisi sur l'appel interjecté par ledit La Haye depuis plusieurs années, ledit sieur curé, tant en son nom qu'au nom de tous les habitants, a recours à vous pour arrester le cours de tant de despenses dans l'espérance qu'il a que vous luy rendrez justice ; et quoyque ledit sieur curé sçache fort bien que ledit Louis de La Haye soit l'un de vos vasseaux et mesme sous votre protection, il ose se flatter qu'après vous avoir exposé sans aucun fard le bon droit de son église, votre charité y aura esgard ».

G378 , 1649-1752 , Bazincourt ; Boulards (fief des) ; Charleval ; Gisors ; Hacqueville ; Pontoise ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Bazincourt

Aveux rendus par la fabrique à Jacques Durand, sieur de Saint-Germain, élu en l'élection de Gisors et Pontoise (1638), à Marie-Suzanne de Nojon, veuve de Pierre de Marie (1729), à Pierre de Marie, fils du précédent (1751), à Jean de Gallet de Vallières, à Antoine de Gallie de Pertheville et aux filles de feu Pierre de Marie (1776), pour des terres relevant du fief de Saint-Germain à Étrépagny, –à Michel Sublet, marquis de Heudicourt, pour des terres relevant delà seigneurie de La Broche (1692), –à Marie Magon, veuve de Louis-Benoist Dauvet, marquis de Mainneville (1731) et à Louis-Nicolas, marquis Dauvet (1756), pour des terres relevant de la seigneurie de Longchamps.

G601 , 1638-1776 , Broche (La), seigneurie ; Gisors ; Mainneville ; Pontoise ; Saint-Germain (fief à Etrepagny)  
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Églises paroissiales > Étrépagny

Du 15 novembre 1602 au 13 octobre 1652.

G243 , 1602-1652 , Bonneville-la-Louvet ; Bosc-Roger-en-Roumois ; Bosc-Roger-en-Roumois ; Bucquets (les), hameau de La Sauvage ; Elbeuf ; Evreux, Jacobins (dominicains) ; Neubourg (Le), Ville ; Pontoise ; Rouen (ville) ; Saint-Germain-de-Pasquier ; Saint-Jacques-du-Roule ; Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin  

Le chapitre décide de donner « à Mr Pierre Viau, maître des enfants, la somme de cinquante soldetz, pour aucunement le gratifier et récompenser du festin et banquet qu'il leur fict le jor Sainte Cécile » (28 novembre 1603) ; – présentation par le chapitre de maître Jean Martin, chanoine de La Saussaye, au bénéfice cure de Saint-Pierre du Bosc-Roger, en remplacement de maître Louis Gauttier, décédé (6 septembre 1604) ; –« le 4e jour de mars 1605, du consentement du chapitre et du chantre, a esté vendu au plus offrant et dernier enchérisseur le boys de taillis planté aux Bucquets, pour l'église et thrésor du chapitre » ; –« le 28 septembre 1605 a esté présenté en chapitre par monsieur le chantre un billet d'un nommé Morin, vice-promoteur en la court ecclésiastique d'Évreux, commissaire député en ceste part par Monseigneur l'evesque audit lieu, pour visiter l'église de La Saulsaie le 3e jour d'octobre prochain, huict heures du matin » ; – réception par le chapitre du corps du duc d'Elbeuf, seigneur patron de La Saussaye, enseveli au milieu du chœur (24 novembre 1605) ; –« deulx de messieurs (les chanoines), à savoir Le Febvre et Le Telier, iront ce jourd'huy veoir Messeigneurs les petits princes au logis du sieur de Matouville, pour leur présenter les très-humbre recommandations de la compagnie (26 juillet 1606) ; – service anniversaire pour le duc d'Elbeuf : « madame d'Elbeuf assista audit service anniversaire, accompagnée de madame d'Aumale, de monsieur le baron du Neufbourg et aultre noblesse en assez bon nombre, et grand nombre de curez despendants tant dudit duché d'Elbeuf que de la conté de Harcourt (18 septembre 1606) ; – visite de l'église collégiale par M. du Fray, grand vicaire de Monseigneur l'évêque d'Évreux (18 octobre 1607) ; – le chapitre décide que M. Morestel, chanoine non résidant, participera aux distributions des blés « combien que ce fût contre tout droit, raison et équité, madame d'Elbeuf y forceant le chapitre vi et violentia » (23 octobre 1609) ; –« le 21 juin 1610, la table de marbre noir fut levée et mise en place comme elle est à présent sur le sépulchre de feu Monseigneur le duc d'Elbeuf, au milieu du chœur de l'église ; le lendemain Me Guillaume Lourdet, sculpteur, commença à graver et escrire à l'entour de ladite table, à scavoir : Cy gist, etc. » ; – le chapitre députe un chanoine à l'assemblée des États de Normandie qui devait se tenir à Rouen le 8 août 1614 ; –« il a esté mis en advant par monsieur le chantre que longtemps y a que l'on devoit aller à Bonneville-la-Louvet, mais que à cause des troubles et gens d'armes qui estoient par le pays, le voyage avoit esté rompu et, maintenant que le chemin est libre, qu'il serait bon d'y aller : il a esté fait response que la feste et octaves du Saint-Sacrement passées, il fallait acomplir le voyage » (1er juin 1616) ; – visite de l'église de La Saussaye par M. de La Mare, chanoine d'Évreux (16 août 1616) ; – chanoine député à l'assemblée des États de Normandie à Rouen, le 25 octobre 1617 ; –« du mardi 19 octobre 1627, Monseigneur le Bévendissime évesque d'Évreux fist la visite en nostre église entre quatre et cinq heures de relevée ; le lendemain séjourna le jour entyer, où il célébra la messe, donna confirmation à un chacun, puis ayant fait confirmation, donna tonsure aux quatre enfants de chœur, après midi fist sa visite à Saint-Germain de Pasquier, Saint-Martin de La Corneille et Saint-Nicolas de Bosc-Ase-lin, le lendemain matin s'en alla à Ellebeuf » ; – Mr Vincent Le Febvre, chantre et chanoine, est député aux États de Normandie, à Rouen, le 20 novembre 1629 ; – Marguerin Pastelier, en sollicitant le renouvellement de son bail de la dîme du Bosc-Roger, promet « de ne demander aucune diminution de la perte qu'il avait faite l'année précédente à cause de la peste dont la plus grande partie des habitans de la paroisse du Bosc-Roger avaient esté affligez pendant l'automne, ce qui avoit esté cause que ledit Pastelier n'avoit peu percepvoir la dixme des fruits » (7 octobre 1637) ; –« le 21 octobre 1637, Me Claude Bordereuil, prêtre, curé de la paroisse de Saint-Gilles au faubourg d'Évreux et docteur en la Sorbonne de Paris, a pris possession de la prébende dont jouissoit cy-devant Me Toussaint Convers ; » – le chapitre achète deux poinçons de vin pour le prix de 100 livres tournois et décide « que la distribution en seroit faite à un chacun de la compagnie à sept sols le pot, » (12 décembre 1639) ; –« le 3e jour de février 1641, monsieur Le Maistre a esté député pour aller au Neufbourg affin de donner sa voix au nom dudit chapitre à quelqu'un du diocèse d'Évreux pour se trouver à Ponthoyse le 14e dudit rooys, et ce suivant la déclaration de Sa Majesté » ; – le chapitre accorde 24 livres à Nicolas Maretto, menuisier et peintre, « pour avoir faict des enchâtillements à tous les autels de l'église » (20 février 1641) ; – M. de Morestel, chanoine, docteur en théologie, fait don au chapitre de sa bibliothèque, comprenant « sept cents soixante et treize livres en divers volumes » (11 décembre 1647) ; – requête adressée par le chapitre « aux révérends pères prieurs et religieux du couvent royal de Saint-Louis d'Évreux, de l'ordre des Frères Prêcheurs », à l'effet d'obtenir son affiliation à la « confrairie du Rosaire de la Vierge, mère de Dieu, donné à saint Dominique, leur patron et patriarche » (16 août 1648).

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Chapitre collégial de la Saussaye > Délibérations capitulaires

Requête adressée au cardinal de Joyeuse, archevêque de Rouen, par Robert Denyau, curé, et parles paroissiens de Gisors, à l'effet d'obtenir l'autorisation pour les Ursulines de fonder un établissement à Gisors ; suivie de l'autorisation conforme de l'Archevêque donnée à Saint-Martin de Pontoise le 4 mars 1613 (signature autographe du cardinal de Joyeuse) ; – copie collationnée du bref adressé par le pape Paul V au nonce apostolique en France pour lui prescrire d'autoriser les Ursulines, établies à Pontoise, à Gisors, à Eu, à Amiens et à Abbeville, à fonder de nouveaux couvents de leur ordre dans les diocèses de Rouen et d'Amiens (1617) ; – procès-verbal d'installation des Ursulines de Gisors par François II de Harlay, archevêque de Rouen (25 juillet 1621) : « Nous nous sommes transportés en personne de Ponthoize jusques en ladite ville de Gisors et avons fait conduire en mesme temps en ladite ville de Gisors trois religieuses du couvent de Ponthoize comme premières fondatrices et institutrices dudit couvent de Gisors, c'est assavoir sœur Françoise de Saint-André, prieure, sœur Geneviesve de Saint-Joseph, assistante, et sœur Antoinette de Saint-François, converse, lesquelles soubs la conduitte d'illustre dame Madame Catherine de Matignon, duchesse et dame de la Rocheguyon, ont esté amenées jusques en ladite ville de Gisors et puis processionnellement par nous conduites depuis la maison de Me Denis Noël, conseiller au siège de Gisors, fondateur et bienfaiteur dudit couvent, jusques dans l'église ou chapelle dudit couvent, lesdites religieuses assistées d'illustrissimes princesse demoiselle Catherine d'Orléans, princesse de Longueville et de ladite dame comtesse de la Rocheguion, et les avons introduites et mises en réelle et actuelle possession de ladite chapelle, bastimens, lieux et pourpris, ainsy qu'il s'estend, pour y mener vie religieuse selon l'ordre de Saint-Augustin et y exercer toutes et une chacune les pratiques et fonctions conformément à l'institut des Ursulines dont elles on fait profession... Présence des susdites princesse de Longueville et dame de la Rocheguion, nobles personnes Me Pierre Berger, conseiller du Roy au parlement de Paris, Messire Jehan de Chaumont, conseiller du Roy en son Conseil d'Estat, Me Achille Frontín, lieutenant-général audit Gisors, Me Julian Le Bret, vicomte, Me Jacques Le Maître, sieur de Saint-Crespin, lieutenant criminel, Me Denis Noël, conseiller et fondateur, et plusieurs autres officiers du Roy, eschevins, bourgeois et habitans de Gisors » ; – consentement donné par les officiers, gens du Roi, échevins et habitants de la ville de Gisors à la clôture, sollicitée par les Ursulines, de « certaine rue ou cul de sac aboutissant aux murailles de ladite ville, nommée vulgairement la rue Tournecul, régnant le long de leur maison et couvent, à prendre depuis les murailles de ladite ville jusques à l'endroit de la grande porte et entrée de leur dit couvent... ; les droictz appartenantz et que pouroient prétendre les habittans en commun à la proprietté et jouissance de ladict rue demeureront au proffict de ladicte communaulté de religieuses pour s'en servir par elle comme eussent peu faire lesdictz habittans, parce que néantmoingtz ilz ne la pouront clore sans le consentement des propriétaires des maisons et jardinages aboutissantz à la dicte rue, et à la charge de faire rebastir un autre puis, au lieu quy leur sera désigné, à la place de celluy qui est basty dans ladicte rue et de soufrir le passage en temps de guerre pour aller librement et commodément sur les murailles de ladicte ville et sans que lesdictes relligieuses puissent s'estendre dans la rue de Paris à peine d'estre descheus de la grâce quy leur est conceddée » (1637) ; – arrêt de la Chambre des comptes de Normandie rejetant l'opposition formée par Louis-François de Vassé, prieur commendataire du prieuré de Saint-Ouen de Gisors, à l'enregistrement des lettres patentes qui avaient autorisé l'établissement et accordé l'amortissement des biens du couvent des Ursulines de Gisors (1680).

H1563 , 1613-1680 , Abbeville ; Amiens ; Eu (ville d') ; Gisors, (Prieuré de Saint-Ouen de) ; Gisors, Les Ursulines ; Pontoise ; Pontoise (Paroisse Saint-Martin de) ; Rouen (ville) ; Saint-Crépin (fief de)  
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Couvents et communautés de femmes > Ursulines de Gisors

Titres et notes concernant les fondations de messes et de services religieux et les donations en argent ou en mobilier faites au couvent des Mathurins de Gisors par Charlotte Alain (1674), Marie Berger (1713), Jean de la Boissière, sieur de Chambords (1623), Madame de Boubiers (1700), Jean-Chrisostôme de Boullainvilliers, écuyer (1702), Nicolas Brisset, conseiller du Roi, premier échevin de Gisors (1708), Marie Cartier (1616), Jeanne Cartier (1639), Robert Chevalier, prêtre, chapelain de l'église d'Étrépagny (1630), Marie Couturier (1681), M. Couturier, docteur en médecine (1723), Antoine Dancoche, sieur d'Isancourt (1665), Alexis David, prêtre, (s. d.), Charlotte Doubledent (1649), Anne Drouet (1698), Gillette Deleaue (1672), Marin Durand (1676), Françoise Gosse, veuve de Guillaume Gérard, sieur de la Fruge (1698), Jean Hébert (1697), Robert Hubert, curé de Monts (1657), Angélique Iluet, (1720), Anne Ingoult, fille majeure de Nicolas Ingoult, maître apothicaire à Gisors (1692), Etienne Jumel (1680) et Jeanne Lecouturier, sa veuve (1683), Élisabeth Laisné, veuve de Pierre de Bernon, écuyer, seigneur du Boisgeloup (1647), Annibal Le Cauchois, conseiller du Roi, élu en l'Élection de Gisors et Pontoise (1629), François Le Febvre, prêtre, chanoine d'Écouis (1706), Anne Lemaître, veuve de Henri Mordant, élu en l'Élection de Gisors (1684), Michel Lemaître, écuyer, sieur de Saint-Crépin (1690), Louis Le Page, écuyer, prévôt vicomtal de Gisors (1632), Georges Le Sueur, prêtre (1665), Madeleine Le Ver, veuve de François d'Orillac, chevalier, seigneur de Launay (s. d.), Madeleine Liénard (1690), Catherine Masson (1694), Thomas Morin, prêtre, curé de Bachevillers (1631), Marie Nicolaï, veuve de Pierre de Roncherolles, chevalier, baron de Pont-Saint-Pierre (1668), Denis Noël, prêtre (1625), Geneviève Parfait (1627), Marie Piquet (1677), Hélène et Louise Pohier (1683), Romaine Riollet (1632), Charlotte de Trouville, veuve en premières noces de François de Saint-Blimont, seigneur de Suplicourt, en secondes noces de René de Lallier, seigneur de Saint-Lieu, et en troisièmes noces de Nicolas Breteil, seigneur de Gremonville (1708), Claude Sublet, conseiller et aumônier ordinaire du Roi, abbé de Saint-Éloi-Fontaine, prieur de Lesvière près Angers, et curé de Heudicourt (1630-1646). Claude Sublet donne aux Mathurins de Gisors sa bibliothèque composée, suivant le catalogue annexé au contrat de donation, de 228 volumes comprenant surtout des ouvrages sur l'Écriture Sainte, les Saints-Pères et la théologie), Marie-Madeleine Thierry (1683), Charles Thomas, écuyer, sieur de Latainville (1629), Jean Thomas, écuyer, conseiller et maître d'hôtel ordinaire de la maison du Roi (1634), Elisabeth-Angélique de Vienne, veuve de François de Montmorency, chevalier, comte de Bouteville, « estant laditte dame au château de Dangu et agissant tant en son nom qu'au nom de très-haut et très-puissant seigneur messire Henri-François de Montmorency, duc de Luxembourg, pair et premier baron chrétien de France, général des armées du, Roi, seigneur de Pressy, Dangu et autres lieux » (1672), etc.

H1188 , XVIIe-XVIIIe siècles , Bachevilliers ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Boisgeloup (fief de) ; Bouteville (fief de) ; Chambords-en-Vexin-le-François (fief de) ; Dangu ; Ecouis (Collégiale d') ; Etrépagny ; Fruge (fief de), Fruges ; Gisors ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Gremonville (fief de) ; Heudicourt ; Lattainville (fief de) ; Launay (fief de) ; Lesvière (prieuré de), sis près d'Angers ; Luxembourg (Duché de) ; Monts (par. de) ; Pontoise ; Pont-Saint-Pierre ; Pressy (fief de) ; Saint-Crépin (fief de) ; Saint-Eloi-Fontaine (abbaye de) ; Saint-Leu (le fief de) ; Suplicourt (fief de)  
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Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon. Ce cartulaire comprend deux parties distinctes. La première, subdivisée elle-même en trois parties, occupe les feuillets 1 à 357 et porte le titre suivant : « Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon contenant les titres de sa fondation, dotation et augmentation, divisé en trois parties dont la première contient les titres de sa fondation et des acquisitions faites avant l'union. De l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est-à-dire depuis 1571 jusqu'à 1591, durant 20 ans ; la seconde partie est divisée en deux chapitres, dont le premier contient les titres de l'union de laditte abaye et le second les titres des biens de la mense abbatiale demeurez à ladite Chartreuse, qui sont les biens de la dotation ; la troisième partie contient les titres des acquisitions faites depuis laditte union jusqu'à présent, qui sont les titres de son augmentation ; avec deux tables, dont la première est celle des titres rengez selon qu'ils sont dans ce livre, qui est l'ordre de la chronologie, autant qu'on a pu le garder (on n'a pas jugé à propos de faire cette table, parce que l'on a trouvé plus commode de suivre l'ordre que l'on a gardé dans la déclaration générale des biens de la Chartreuse donnée à la Chambre des comptes le 11 mars 1675) ; la seconde table, par ordre alphabétique, est celle des héritages, droits, privilèges et autres biens contenus dans ces mêmes titres. Commencé par le soussigné, religieux, coadjutateur et garde des archives de la ditte Chartreuse, le 7 juillet 1705. Frère Calliste Clarentin ». Cette première partie contient deux rédactions différentes, la compilation de dom Calliste, interrompue à la page 464, ayant été poursuivie après sa mort par un continuateur anonyme qui a inscrit à la fin de son travail, terminé en 1718, la réflexion suivante (p. 644) : « Cum feceritis omnia quae pracepta sunt vobis, dicite : servi inutiles sumus ; quod debuimus facere fecimus. » La seconde partie du Cartulaire et la plus ancienne comme date de rédaction occupe les feuillets 365 à 390 et comprend les transcriptions de quinze documents, de 1571 à 1579, intéressant la fondation et la première dotation de la Chartreuse. Dom Calliste Clarentin a fait précéder cette seconde partie de la note suivante : « Le R. P. D. Ogier commença ce cartulaire le 16 May 1576, estant procureur, comme il paroist cy-après. Mais quoy qu'il ait demeuré encore quinze ans dans la même charge, il n'en a fait que fort peu de chose, empesché apparemment par les grandes et difficiles affaires de ce temps-là. J'avois dessein de le continuer pour me servir de ce qui estoit desjà fait. Mais j'ay trouvé plus à propos d'en commencer un nouveau. Et parce que n'y mettray pas la pluspart des titres qui sont dans celuy-cy, j'en ay fait la table suivante, afin qu'on les puisse trouver plus facilement... » Les principales divisions du cartulaire de Dom Calliste sont les suivantes : Première partie : « Titres de la fondation de la Chartreuse (p. 5) ; union du prieuré de Saint-Pierre-de-Launay (p. 15) ; Saint-Germain-de-Paulbourg, hameau de la paroisse de Morgny, dans le bailliage de Gisors, vicomté et doyenné de Lions (p. 33) ; union du prieuré de Saint-Pierre de Geneville, membre dépendant de l'abbaye de Jumièges, situé dans l'archevesché de Rouen, grand vicariat de Pontoise, doyenné de Magny (p. 48) ; union de la chapelle Saint-Fiacre, située dans la paroisse d'Aubevoye, diocèse d'É-veux, doyenné de la Croix, et pour le temporel dans la justice seigneuriale de Gaillon et par appel aux Grands-Jours à Rouen, qui est la justice de l'Archevesché, dont on appelle ensuite au Parlement (p. 92) ; église et vignes de Bethléem à Aubevoye (p. 101) ; union du prieuré de la chapelle de Sainte-Austreberte-en-Bray, membre dépendant de l'abbaye de Sainte-Catherine, ladite chapelle fondée à l'honneur de la Sainte-Trinité dans l'évesché et comté de Beauvais et le vidamé de Gerberoy, au quartier du Bray, dont on l'appelle la Chapelle-en-Bray, et plus communément la Capelle-aux-Pots à cause de la quantité de poterie de grets que l'on y fait (p. 125) ; union du prieuré de Sainte-Catherine de Bisi, membre dépendant de la mense abbatiale de l'abbaye de Sainte-Catherine, situé au village de Bisi près Vernon (p. 152) ; dons et privilèges accordez à la Chartreuse par les rois de France (p. 166) ; titres du don du bois du Breuil (le bois du Breuil est dans les paroisses de Courcelles et de Bouafles, maîtrise de Vernon et Andeli) (p. 173) ; acquisition du Bois-Jean (p. 186) ; bois de la Chartreuse en général (p. 188) ; amortissement des biens de la Chartreuse (p. 194) ; droits et privilèges divers (p. 206) ; titres de l'acquisition de la seigneurie de Courcelles (p. 240) ; Port-Mort et la Rocque (pré de l'Ile-aux-Vaches, etc. (p. 273). Seconde partie : Union de l'abbaye de Sainte-Catherine (pourquoy l'on a si peu d'anciens papiers de l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est que, en 1562, le fort de Sainte-Catherine qui estoit sur la montagne proche de Rouen, aussi bien que le monastère, furent assiégez et pris sur les protestants par l'armée royale. Dans les troubles suivans qui durèrent sous les règnes de Charles IX, Henry III et Henry IV, laditte abbaye ainsi que la ville furent occupées par les parties contraires et ce fut dans ce temps que les biens et les papiers furent pillez et dissipez (p. 288) ; titres généraux (le plus ancien titre que nous ayons de la fondation de l'abbaye de Sainte-Catherine est un cahier en parchemin in-folio, en latin, contenant 40 pages, couvert d'une estofe de soye jaune ouvragée d'une manière fort antique, qui contient en 93 articles toutes les donations faites à ladite abbaye depuis l'an 1030 jusqu'en l'an 1100, avec toutes les acquisitions faites par les abbez de Sainte-Catherine pendant le mesme temps (p. 305) ; Auteverne (p. 314) ; Cahaignes, Requiécourt et Fours (p. 337) ; Gisancourt (p. 345) ; Chauvincourt (p. 347) ; Bretonville (p. 351) ; Boisemont-1'Abbaye (p. 355) : Bourbaudouin (p. 375) ; Bois-l'Évesque (p. 377) ; Anceaumeville (p. 380) ; baronie de Gruchy (p. 385) ; le Tot (p. 391) ; Monville (p. 395) ; Ellètes (p. 403) Saussay (p. 406) ; Ronfugère (p. 411) ; Auzonville (p. 413) ; Limesi (p. 417) ; Pavilly (p. 420) ; Boiguillaume (p. 421) ; maison de Rouen (p. 424) ; Caudecoste, Dieppe, Appeville (p. 426) ; Muchedent (p. 443) ; Anglesqueville-sur-Sanne (p. 445) ; Cannehen (p. 449) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard (p. 459) ; Sanroy, hameau de Touffreville (p. 460) ; Fontaine-le-Dun (p. 460) ; Carville, Limanville et Boscadam (p. 463) ; Blacqueville (p. 483) ; Flamenville (p. 492) ; Criquetot-L'Esneval et Anglesqueville (p. 497) ; Saint-Vincent-de-Nogent près le Neufchâtel (p. 505) ; Montcanchy (p. 526) ; Gravigny (p. 532) ; Giverville (p. 543) ; Branville (p. 556) ; Manne-ville-l'Egarée (p. 563). Troisième partie : (acquisitions faites depuis l'union de l'abbaye de Sainte-Catherine) : droit de pêche sous la grande arche du pont de Vernon (p. 567) ; acquisition des héritages de M. Jean Bruneval dans la vicomté de Montivilliers (p. 572) ; Fontenay et Rolleville (p. 577) ; Sainle-Marie-au-Bosc (p. 578) ; Beaurepaire (p. 582) ; Angerville, Graimbouville (p. 583) ; Le Tilleul (p. 585) ; Boisemont et Frenelles (p. 591) ; titres des patronages » (p. 624).

H1144 , XVIe-XVIIIe siècles , Anceumeville ; Andelys (Les) ; Angerville-l'Orcher ; Anglesqueville-sur-Saone ; Appeville, dit ; Authevernes ; Auzonville ; Beaurepaire ; Beauvais ; Bethéem (égise en vigne de) sises à Aubevoye ; Bisy, près Vernon ; Blacqueville ; Boisemont (Abbaye de) ; Bois-Guillaume ; Bois-Jean (Le) ; Bois-l'Evêque ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bourg-Baudoin (Le) ; Bramville-en-Auge ; Bretonville ; Breuil (le Bois du), sis à Courcelles-en-Bouafles ; Cahaignes ; Capelle-aux-Pots (au Pays de Bray) ; Carville ; Caudecoste ; Chauvincourt ; Courcelles ; Criquetot-l'Esneval ; Dieppe ; Ellètes ; Flamenville ; Fontaine-le-Oury ; Fontenay ; Fours ; Frenelles (hameau de), situé à Boisemont ; Gerberoy-en-Bray (fief de) ; Gisancourt ; Gisors ; Giverville ; Graimbouville ; Gravigny ; Gruchy ; Ile-aux-Vaches (Pré de l') ; Junnièges (Abbaye de) ; Limanville ; Limési ; Lyons-la-Forêt ; Manneville-l'Egarée ; Mont-Canchy ; Montivilliers ; Monville ; Mouchedent ou Muchedent ; Pavilly ; Pontoise ; Requiécourt ; Rocque (fief de la) ; Rolleville ; Ronfugère ; Rouen (Parlement de) ; Rouen, Abbaye de Sainte-Catherine ; Sainte-Austreberte-en-Bray (Chapelle de) ; Sainte-Marie-au-Bosc (triège de), sis au Tilleul ; Saint-Fiacre (Chapelle), située à Aubevoye ; Saint-Pierre-de-Geneville (Prieuré de), près Magny ; Saint-Pierre-de-Launay (Prieuré de) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard ; Saint-Vincent-de-Nogent, près Neufchâtel ; Sanroy (hameau de), sis à Touffreville ; Saussay (Le) ; Tilleul (Le) ; Tot (Le) ; Touffreville ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon
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