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Déclaration fournie au subdélégué de Pont-de-l'Arche par Robert Fossard, curé et trésorier de la paroisse de Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin : « dit et déclare qu'en sa paroisse il y a deux petits fiefs nommez le fief de Troussebout et Bulle et un colombier, que possède présentement honneste personne Jean Turgis, bourgeois, maître de la Monnoye à Rouen, lesquels il a acquits avec deux autres fiefs nommés le fief Oynel et Robert Séneschal, situés et assis tant en la paroisse de Saint-Pierre des Serqueux que du Thuisignol, tenus, mouvants et relevans de Monsieur le marquis du Béthomas, seigneur temporel et honoraire de nostre dite parroisse, de noble homme Monsieur Nicolas de Rome, conseiller du Roy au parlement de Bouen, seigneur de Fresquiène et autres lieux, qui luy sont venus et succédez par la mort de feu Monsieur Asselin ».

G1231 , 1673 , Bec-Thomas (Le) ; Bullé (fief de, à Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin) ; Fresquienne ; Oynel (fief, à Saint-Pierre-des-Cercueils) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Robert-Sénéchal (fief, à Thuit-Signol) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville) ; Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin ; Troussebout (fief de), à Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin  
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Églises paroissiales > Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin

Copies des lettres de collation par Gabriel Le Veneur, évêque d'Évreux, du prieuré cure de la Haye-le-Comte, vacant par le décès de Richard Le Valois, dernier prieur, en faveur d'Antoine Raoul, clerc du diocèse d'Angers, sur la présentation de l'abbé d'Aubecour, et du procès-verbal de prise de possession dudit prieuré par le nouveau titulaire (1557) ; –« déclaration que baille à Anne Le Métaier, escuier, seigneur de la Haie-le-Conte et. De la Rive, frère Jean Blondeau, et ce des héritages apartenans audit prieuré, assis sur les fiefs de la Haie-le-Gonte » (1632) ; – copie collationnée du procès-verbal de dédicace par François de Péricard, évêque d'Évreux, de l'église restaurée du prieuré (6 juin 1645) : « cum ecclesia prioratus beatae Mariae de Haya Comitis, curam parochianorum habentis et a monasterio sanctae Mariae de Alba Curia dependentis, penè funditùs diruta et prophanata per multum temporis spatium, a nobis iterum conservanda maturo judicio judicata sit, post communem ipsius restaurationem cura et impensis tam magistri Anne Le Metayer, scutigeri, domini de la Haye Le Conte et de la Rive quàm fratris Joannis Blondeau, prioris dictae ecclesiae de Haya Comitis, tandem Deo optimo maximo in honorem beatae Mariae semper virginis et sancti Theobaldi, servatis solemnitatibus assuetis, conservavimus et dedicavimus... » ; – procès-verbal d'information dressé contradictoirement entre Louis de Sopité, abbé régulier d'Aubecour, et Jean Penillon, prieur curé de la Haye-le-Comte, d'une part, Anne Le Métayer, sieur de la Haye-le--Comte, d'autre part, au sujet des empiétements et vexations au préjudice du prieuré reprochées à ce dernier (1647. Information faite par François de Godefroy, écuyer, conseiller au parlement de Rouen et commissaire délégué à cet effet) ; –« déclaration que donne à Nosseigneurs de l'assemblée générale du clergé de France, qui sera tenue en l'année 1730, et à Messieurs du Bureau du diocèse d'Évreux frère Etienne-François Nouette, chanoine régulier, prieur et curé de la Haie-le-Comte lès Louviers, des biens et revenus desdits prieuré et cure. Ces deux bénéfices ou édifices sont contigus et ne sont séparez l'un de l'autre que par un mur mitoyen ; on passe de l'un dans l'autre par une porte de communication. Ces deux bénéfices ont été bâtis et dotez sous le nom de chapelles différentes et à près d'un siècle l'un de l'autre : l'une sous l'invocation de Notre-Dame et l'autre sous l'invocation de Saint-Thibault. Cependant ces deux chapelles sont unies depuis leur fondation, toujours possédées par un seul titulaire ; la colla-lion d'icelles apartient à l'abbaïe royale d'Abbecourt, ordre de Prémontré, parroisse d'Orgeval près Poissy, diocèse de Chartres, dont l'abbé est régulier... (1728). ».

H897 , 1544-1776 , Abbecourt (Abbaye d') ; Aubecourt (Abbaye d') ; Haye-le-Comte (Prieuré de la) ; Orgeval (paroisse près Poissy) ; Rive (fief de la) ; Rouen (Parlement de)  
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Ordres religieux d'hommes > Prieuré de la Haye-le-Comte

Illeville-sur-Montfort.

H41 , 1764 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bosc-Héroult (Manoir de) sis à Ecaquelon ; Clermont ; Ecaquelon ; Ileville-sur-Montfort ; Ileville-sur-Montfort (le fief d'), situé à Illeville ; Rivière (fief de la) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Léger-du-Gennetey  

Aveu rendu à Louis de Bourbon, comte de Clermont, prince du sang et abbé commendataire du Bec, par Jacques Morin, écuyer, seigneur de la Rivière, représentant par acquisition de Guillaume-Louis-Joseph Le Chevallier d'Ëcaquelon, conseiller au parlement de Normandie, par contrat du 19 décembre 1747, et en cette qualité seigneur et patron des paroisses d'Écaquelon, Saint-Léger-du-Gennetey, seigneur honoraire de la paroisse d'Illeville-sur-Montfort, demeurant au manoir seigneurial d'Écaquelon-Boschéroult, sis en ladite paroisse d'Écaquelon, pour un huitième de fief de haubert noble, nommé le fief d'Illeville, situé à Illeville-sur-Montfort et relevant de la baronnie et haute justice du Bec.

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Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Mesnil-Jourdain (le).

H1209 , 1470-1668 , Acquigny ; Becdal (fief de) ; Cambremont (fief de) ; Clos-Miclot (Le), triège situé au Mesnil-Jourdain ; Ermitage (L'), triège sis au Mesnil-Jourdain ; Follenville (fief de) ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Métairie (fief de la) ; Mouillepain (surnom de la Rivière en Eure, à Becdal près Louviers) ; Rouen (Parlement de) ; Vivonne (fief de)  

Donation par Artus de Hellenvillier, écuyer, seigneur du Mesnil-Jourdain, à « frère Jehan Berthon, prêtre, religieux de la tierce ordre Saint-François » et à ses successeurs, d'« une place et lieu assis ès bois de la dite seigneurie du Mesnil-Jourdain, nommé l'Ermitage, avec acre et demie de bois à prendre en l'environ d'icelui lieu et dix perques de terre au long de la rivière d'Eure, au bas et en l'endroit d'icelui hermitage », en considération de « la grant et affectueux désir que ledit frère Jehan Berthon avoit de vivre et finir ses jours, comme il disoit, en dévocion et en lieu hors la communauté du peuple » (1470) ; — donation aux Pénitents de Sainte-Barbe-près-Louviers par « Claude Le Roux, chevalier, seigneur et baron haut justicier d'Acquigny, châtelain de Cambremont, Mesnil-Jourdain, Vivonne, seigneur de Becdal, la Métairie, Folleville et autres lieux, conseiller au parlement de Normandie, patron fondateur de la maison, couvent et monastère des révérends pères Pénitents establis à Sainte-Barbe-lès-Louviers en la paroisse du Mesnil-Jourdain, d'une pièce d'héritage en labour et pré, nommé d'antiquité le Clos-Miclot, close de haye, contenant trois vergées ou environ, sise au Mesnil-Jourdain, bornée d'un costé l'eau de la rivière d'Eure vulgairement appelée Mouillepain, d'autre costé le grand chemin tendant de Louviers à Évreux » et d'une rente annuelle de 13 livres 10 sous tournois, pour la fondation de messes dans la chapelle de son manoir seigneurial de Becdal (1667).

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Couvents et communautés d'hommes > Pénitents de Louviers

« Ensuyt l'inventaire des lectres et enseignemens apparlenans à l'office de l'omonier de Sainct Taurin d'Évreux. » Cet inventaire, rédigé au XVIe siècle, contient des analyses développées et des copies par extrait des chartes, titres et documents, du XIIIe au XVIe siècle, intéressant les terres et les rentes appartenant à l'office d'aumônier de l'abbaye, situées ou assignées à Morsent, à Bérengeville-la-Rivière, au Bois Gencelin, à Évreux, à Glisolles, à la Sôgne, à Louviers, etc. On a transcrit intégralement sur le 23e et dernier feuillet une transaction passée le 23 novembre 1549 entre Jacques, cardinal d'Annebaut, évêque de Lisieux et abbé commendataire de Saint-Taurin, d'une part, et Gabriel Le Veneur, évêque d'Évreux, d'autre part, pour terminer « certain procès cy devant meu entre eulx, pandant et indécis en la court de parlement de Rouan, touchant certaine demande et soustien faict par ledit sieur cardinal abbé dudit Saint-Taurin, au droict de l'office et dignité d'aumosnier, constre ledit sieur évesque d'Évreulx, disant que le mullet ou autre espesse sur lequel ledit sieur évesque d'Evreulx estoit monté lors de son avènement et entrée en son évesché appartenoit à l'aumosnier de son dit monastère, avecques une bacque ou anneau d'or de valleur honneste, le contraire auroit esté soustenu par ledit Le Veneur, évesque d'Evreulx. » Par cette transaction, l'évêque d'Évreux, « pour demeurer quitte vers ledit sieur cardinal, au droit de l'office et dignitté d'aumosnier de ladite abbaye, a présentement baillé contant à domp Ambroise de Moustiers, prêtre, religieulx, à présent aumosnier, la somme de cinquante six escuz sol, pour demeurer quitte de toutes choses généralement quelconques... ».

H795 , XIIIe-XVIe siècles , Bérengeville-la-Rivière ; Bois-Gencelin (Le) sis paroisse Saint-Sébastien ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Glisolles ; Louviers ; Morsent ; Rouen (Parlement de) ; Sôgne (La)  
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Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

« Plaidoyers de Me Feral, avocat au Parlement de Paris, accusé d'un délit de chasse, poursuivi par la voie des monitoires, et depuis accusateur, contre messire Léonard de Poudens, abbé commendataire de l'abbaye royale de Bernay, aumônier de Madame, décrété d'assigné pour être ouï ; Messire Joseph de Florence, abbé commendataire de l'abbaye de Clermont, grand archidiacre du diocèse de Tarbes, aumônier ordinaire de Madame, décrété d'assigné pour être ouï ; Me Pierre Bernais, curé de la paroisse du Planqué, décrété d'assigné pour être ouï ; Martin Gence, garde-chasse de M. l'abbé de Poudens, et du sieur Perteville, décrété d'ajournement personnel ; Etienne Belhache, garde général de M. l'abbé de Poudens, décrété de prise de corps ; François-Jacques Dutheil, garde-chasse de M. l'abbé de Poudens, décrété de prise de corps, coutumax, tous six procédans au Parlement de Rouen par attribution de lettres-patentes du Roi ». –« Au milieu d'un pays libre, sur le déclin du dix-huitième siècle, on voit renaître une de ces causes dignes des siècles qui ont précédé les Richelieu et les Mazarin, et qui nous rappellent, sous un gouvernement doux et paisible, le triste souvenir des premiers temps de la féodalité, où les privilèges de la grandeur se bornoient à étouffer, à anéantir les droits et les plaintes de la médiocrité... ».

H177 , 1783 , Paris (Parlement de) ; Rouen (Parlement de) ; Tarbes  
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Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bernay

Déclarations et aveux rendus par la fabrique à Louis Le Carpentier, avocat au Parlement de Paris, « seigneur en sa partie du fief de Martot scis en la parroisse de Vraiville » (1691), à Henri de Lorraine, duc d'Elbeuf, pair de France, gouverneur et lieutenant général pour le Roi des provinces de Picardie et d'Artois, etc. (1720), à Thomas de Boissel, écuyer, seigneur de la Harengère (1754), au chapitre cathédral de Rouen, seigneur en partie de Fouqueville et de Mandeville (1755, 1774), à Pierre-Marc-Antoine de Languedor, chevalier, marquis de Becthomas (1768) et à Jean-Jacques-Pierre Quenet de Saint-Just, chevalier, seigneur et patron de Saint-Didier, conseiller honoraire en la grande chambre du Parlement de Normandie (1783), pour des terres relevant des fiefs de Martot et de la Harengère, du marquisat de Becthomas et des seigneuries de Mandeville et de Saint-Didier.

G1177 , 1691-1783 , Artois (L') ; Bec-Thomas (Le) ; Fouqueville ; Harengère (La) ; Mandeville ; Martot ; Paris (Parlement de) ; Picardie (La) ; Rouen (Chapitre Cathédral) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Didier-des-Bois ; Saint-Just ; Vraiville  
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Églises paroissiales > Saint-Didier-des-Bois

Confrérie de charité.

G1581 , 1684-1761 , Beuzemouchel (fief de), à Honguemare ; Bosbénard ; Bouquelon ; Bourg-Achard ; Flancourt ; Honguemare ; Maulévrier ; Quesney (fief du) ; Rouen (Parlement de)  

Aveux rendus par la Charité à Jean du Moustier, seigneur et patron honoraire de Honguemare (1684), à François-Gilles du Boscregnoult, seigneur du fief du Quesney et de la Métairie, situé à Bourgachard et à Bouquetot (1712), à Jacques-Georges du Fay, chevalier, seigneur comte de Maulévrier et de Bourgachard, patron honoraire et fondateur du prieuré des chanoines réguliers dudit lieu au droit de ses prédécesseurs (1721), à Louis-Charles Le Charpentier, prêtre (1725), et à Nicolas Le Charpentier du Margat (1761), seigneurs de Flancourt, à Gilles-Henri Maignard de Bernières, président honoraire à mortier au parlement de Normandie (1728), et à Jacques-Gaspard Le Boucher (1756), seigneurs de Honguemare, et à Charles Thirel, chevalier, seigneur de Bosbénard-Commin (1761), pour des terres relevant des seigneuries et des fiefs de Beuzemouchel, paroisse de Honguemare, du Quesney, de Bourgachard et de Flancourt.

Contexte :
Confréries > Bourg-Achard

Confrérie de charité.

G1681 , 1698-1789 , Anjou (L') ; Daubeuf-la-Campagne ; Doynel (fief du, à Louvriers) ; Folleville ; Incarville ; Louviers (Eglise Notre-Dame) ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Rouen (Abbayes, monastères : Saint-Ouen) ; Rouen (Parlement de) ; Vaudreuil (Le)  

Aveux rendus par la Charité à François de Mascaraux (1698), Jacques de Routier (1711) et Jean-François Cornet (1778), chanceliers de l'églisede Rouen, à Emmanuel-Théodore de la Tour-d'Auvergne, cardinal de Bouillon (1707), Jean-François-Joseph, cardinal de Rochechouart, évêque de Laon (1768), Georges-Louis Phelipeaux, archevêque de Bourges (1785), abbés commendataires de l'abbaye de Saint-Ouen de Rouen et en cette qualité seigneurs de Daubeuf, à Antoine-Augustin des Harbiers, seigneur du fief Doynel (1750), à Charles-Eugène de Lorraine, gouverneur et lieutenant générai en la province d'Anjou, duc d'Elbeuf (1789), à François de Rome, seigneur de Folle-ville (1719-1730), à Pierre-Robert Le Roux d'Esneval, président à mortier au parlement de Rouen, seigneur du Mesnil-Jourdain (1764), pour des terres relevant du fief du Chancelier, « qui s'étend aux paroisses de Léry, Vaudreuil, Incarville et autres lieux », de la seigneurie de Daubeuf, du fief Doynel et des seigneuries d'Amneville, membre du duché d'Elbeuf, de Folleville et du Mesnil-Jourdain.

Contexte :
Confréries > Louviers > Notre-Dame

Theil-Nolent (Le), Bailleul-la-Vallée et Boissy-Lamberville (baronnie du Theil-Nolent).

H81 , 1618 , Bailleul-la-Vallée ; Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Boissy-Lamberville ; Chevreul (le Moulin), sis à Bailleul-la-Vallée ; Evreux (Ville) ; Petit-Coudray (fief du), sis à Boissey-Louberville ; Rouen (Parlement de) ; Theil-Nolent (Le)  

Confirmations par Raoul de Varneville, évoque de Lisieux, et par Gilbert de Lamberville, de la donation faite à l'abbaye par Guillaume du Bos-Rôt (de Busco rotundo), Vauquelin et Emma, sa femme, Guillaume Herluin et Mathilde, sa femme, de deux gerbes de dîme au Petit-Coudrai (parvi Corileti), paroisse de Boissy (s. d, 1182-1191) ; — confirmation par Hugues d'Asnières de la donation faite à l'abbaye par Simon de Morainville de la moitié du moulin Chevreul (molendinum de Capriolo), sis paroisse de Bailleul (1210). Bail à fieffe de ladite moitié de moulin, passé par l'abbaye à Guillaume de Bailleul, moyennant une rente annuelle de 8 livres tournois (1274) ; — donation à l'abbaye par Robert Haraon, prêtre, de 8 acres de terre en plusieurs pièces, sises au Theil-Nolent, « en la teneure, seigneurie et fief noble » des religieux du Bec (1455, n. s. ) ; — arrêt du parlement de Rouen, confirmatif d'une sentence du bailli d'Évreux qui avait réuni au corps de l'abbaye sept vergées de terre sises au Theil-Noient et précédemment aliénées par elle (1618).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Bail à fieffe passé par Robinet Larchevêque et Jeanne, sa femme, à Vincenot Langlois et à Raullecte, sa femme, bourgeois d'Andely, d'une maison et d'un jardin sis à Andely, rue de la Foullerie, bornés d'un côté la rue qui conduit à la fontaine Saint-Jean, d'un bout le chemin du Roi, moyennant une rente annuelle de 28 sous parisis (1357) ; – reconnaissance par la sous-prieure des Ursulines d'Andely au profit de Claude Le Roux, sieur de Cambremont, conseiller au parlement de Rouen, d'une rente annuelle de 20 sous « pour fieffe d'un jardin contenant demi-acre ou environ », sis au Grand-Andely, rue Sainte-Clotide, borné d'un bout la rivière de Gambon et d'autre bout la fontaine Sainte-Clotide » (1645) ; – mémoires et pièces de procédures pour les Ursulines d'Andely contre MM. De la Blandinière, conseiller à la cour, Puchot, trésorier de France, Richomme, auditeur des Comptes, et Le Roy, avocat, adjudicataires par décret des héritages ayant appartenu à Vincent, François et Robert Dieupart, desquels lesdites religieuses avaient précédemment acquis une maison et des terres sises à Andely et comprises audit décret (1657-1679).

H1729 , 1357-1695 , Andelys (Les) ; Andelys (Les), Fontaine Saint-Jean (sise aux Andelys) ; Andelys (Les), Les Ursulines ; Bellemare (fief de) sis à Plaiville ; Cambremont (fief de) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Ursulines d'Andely

Contrat d'échange de deux pièces de terre situées dans les paroisses de Tourville et de Saint-Germain de Pont-Audemer, passé entre les Carmélites, d'une part, et Jacques Dehors, sieur de Boismo-ret, marchand tanneur à Pont-Audemer, d'autre part (1735) ; – aveu rendu par les Carmélites au bureau des pauvres de l'Hôtel-Dieu de Pont-Audemer, propriétaire de la seigneurie du prieuré de Saint-Gilles, pour une acre de terre labourable située dans la paroisse Saint-Germain de Pont-Audemer et relevant de la dite seigneurie (1739) ; – aveux rendus par les mêmes à « messire Tenneguy-François-Jean de Guérin, chevalier, seigneur patron de Tourville » (1768), à Charles-Pierre de Bailleul, président à mortier au parlement de Normandie, « seigneur des fiefs du donjon de la châtellenie de Fort-Moville » (1769) et à Louis-Charles-Félix de Malhortie « écuyer, chevalier, seigneur du noble fief, terre et seigneurie de la Motte, situé sur la paroisse de Saint-Germain de Pont-Audemer et qui s'étend sur les paroisses de Saint-Paul sur Rille, Campigny, Tourville, Saint-Ouen du Pont-Audemer et aux environs » (1778), pour des terres relevant des seigneuries de Tourville et de Fort-Moville et du fief de la Motte.

H1515 , 1714-1793 , Bois-Moret (fief de) ; Campigny ; Fort-Moville ; Motte (fief de la), sis paroisse de Saint-Germain de Pont-Audemer ; Pont-Audemer (Carmélites de) ; Pont-Audemer (Paroisse Saint-Germain de) ; Pont-Audemer (Paroisse Saint-Ouen de) ; Pont-Audemer (Prieuré de Saint-Gilles) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Gilles-de-Pont-Audemer ; Saint-Paul-sur-Risle ; Tourville-près-Pont-Audemer  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Carmélites de Pont-Audemer

Aveux rendus par la fabrique : au chapitre cathédral de Beauvais pour une vergée de terre relevant de la seigneurie d'Ailly, – aux chanceliers de l'église de Rouen (1683-1779), pour des terres relevant du fief du Chancelier « qui s'étend dans les paroisses de Léry, Valdreuil, Incarville et autres lieux », –à Pierre-Armand Le Vicomte, premier président des Requêtes du parlement de Normandie (1751), pour des terres relevant de la seigneurie de Folleville, –à Jean-Baptiste « de Challon », gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi (1654), à Thomas Le Gendre, écuyer (1695-1722) et à Jean-Louis Portail, président à mortier honoraire du parlement de Paris (1759), pour une pièce de terre sise à Incarville et relevant du fief de Maigremont, –à Claude Le Roux, baron d'Acquigny (1675), aux enfants mineurs de Robert Le Roux (1697), et à Pierre-Robert Le Roux (1764-1785), pour une vergée et demie de terre labourable relevant de la seigneurie du Mesnil-Jourdain, –à Charles-Alexandre de La Touche, chevalier (1785), pour le cimetière de Saint-Germain et la maison du vicaire, relevant du fief de Saint-Germain, –à Jean et Jean-Nicolas Le Cheron (1738-1780), pour une maison et des terres relevant du fief de la Salle du Bois.

G860 , 1654-1785 , Acquigny ; Beauvais (ville de) ; Chancelier (fief du), à Léry ; Folleville ; Incarville ; Léry ; Louviers ; Maigremont (fief de) ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Rouen (Parlement de) ; Salle-du-Bois (fief à Saint-Etienne-du-Vauvray) ; Vaudreuil (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Louviers > Saint-Germain

Quittance de rentes dues à la fabrique, délivrée par Jean Amyot et Robinet Lambert, trésoriers en charge, à Jean Hervieu, écuyer, héritier en partie de feu maître Jacques Hervieu (1508) ; – donation à la fabrique par Robine Breton, veuve de Robert Tragin, épouse en secondes noces de Thomas Dobeaux, avec le consentement de Me Jean Tragin, son fils, greffier au bailliage de Brionne, d'une somme de 70 livres tournois, à la charge d'un obit (1624) (parmi les témoins figurent Thomas Turpin, curé de Brionne, honorable homme maître Jean Taulpin, maître Jacques Taulpin, avocat, sieur de Forges, élu en l'élection de Bernay) ; – testament de Thomas Frémont, avocat au parlement de Rouen, résidant à Brionne, contenant donation à la fabrique d'une lampe d'argent, qui devait être allumée nuit et jour devant le Saint-Sacrement, et d'une rente annuelle de 20 livres (1706) ; – donation par maître Louis Frémont, curé de Brionne, à la fabrique de cette église, d'une rente annuelle de 7 livres 14 sous, à la charge d'un obit (1698) ; – testaments de Jeanne de Vittecoq et de Charles-Nicolas Boulenger, reçus par Louis Frémont, curé de Brionne, et contenant des legs pieux à la fabrique (1711-1712).

G456 , 1508-1756 , Brionne ; Forges ; Rouen (Parlement de)  
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Églises paroissiales > Brionne

Copie collationnée des lettres patentes de Louis XIV autorisant les Pénitents de Sainte-Barbe, près Louviers, à transférer leur couvent dans la ville de Louviers et leur accordant le droit d'amortissement pour leurs biens acquis ou à acquérir (1645) : « Dez l'année mi six cens quatre, feu nostre cher et bien amé orateur le Père Vincent Mussart, lors provincial dudit ordre, auroit entrepris la restauration et reforme d'un ancien couvent de religieux du mesme ordre appelle de Sainte-Barbe, proche la ville de Louviers, lequel estoit presque entièrement ruiné, sur l'instance que luy en auroient faite les habitans, avec promesse de contribuer à ce qu'ils pourroient librement de leurs moyens, facultez et aumosnes, pour nourir les religieux reformez qui seraient mis audit couvent, ce qui auroit avec la bénédiction de Dieu et par les soins, travaux et vie exemplaire desdits religieux si heureusement réussy que ledit couvent auroit esté entièrement rebasty et le service divin avec la discipline régulière et monastique parfaitement restablis en iceluy ; mais d'autant que depuis ce restablissement les religieux qui ont demeuré audit couvent ont souffert de très grandes incommoditées tant pour le grand esloignement de ladite ville que pour les grandes maladies dont la pluspart ont estés affligés et que l'on a recognu par expérience provenir de la situation du lieu fort malsain, ils auroient esté conseillez de transférer leur dit couvent et famille dans ladite ville à laquelle, n'y ayant point d'autres religieux, ils ne seroient en rien plus à charge, ains s'y pouroient rendre plus utiles au public par leurs exercices et fonctions religieuses et ecclésiastiques..., etc. » ; – vente par Jean Behotte, fils de Jacques Behotte, de Louviers, aux Pénitents de Sainte-Barbe, près Louviers, d'« une maison et jardin assis audict Louviers, d'un bout la rivière faisant mouldre les moullins de Fescamp et d'aultre bout la rue de la Trinité, pour y transférer et establir leur dit couvent de Sainle-Barbe-lez-Louviers, ainsy qu'ilz y ont esté permis par arrest de la Cour du deuxiesme de novembre dernier », pour le prix de 700 livres tournois (1646) ; – donation aux Pénitents de Sainte-Barbe-près-Louviers par Marguerite du Bosc, veuve de Jean de Beaulieu, seigneur du Bec-Thomas et d'Amfreville-sur-Iton, fille de feu Léonor du Bosc, chevalier, seigneur de Radepont, Fleury-sur-Andelle et Boudeville, demeurant au château du Bec-Thomas, d'une somme de 4,200 livres tournois, « pour contribuer à l'establissement du couvent que lesdits religieux Pénitens entreprennent et ont commencé de construire et bastir en ladite ville de Louviers soubz l'invocation et tiltre de Nostre-Dame-de-Consolation, ainsy qu'il plust hyer à Monseigneur l'illustrisime François de Péricard, évesque d'Évreux, faire la bénédiction d'une chapelle soubz ce mesme tiltre en la maison qui leur a été destinée pour ledit establissement par Monsieur Me François Auber, écuyer, conseiller du Roy en sa Cour de Parlement de Rouen, commissère à ce depputé par ladite Cour » (1646).

H1205 , 1645-1646 , Amfreville-sur-Iton ; Bec-Thomas (Le) ; Boudeville ; Fleury-sur-Andelle ; Louviers (Couvent Sainte-Barbe Pénitents) ; Louviers (Eglise en Couvent sous le titre de N.-D. de Consolation, venue de Sainte-Barbe) ; Louviers (Rue de la Trinité, à) ; Radepont (de rapido ponte), (de Ponte rigido) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Pénitents de Louviers