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Copie d'un contrat de constitution de rentes au profit de la fabrique de Bazincourt par Denis Le Monnyer, écuyer, sieur des Boulards et de Beauregard, président en l'élection de Gisors et Pontoise (1649) ; – requête adressée par Marin Martin, curé de Bazincourt, à M. « de Touvent », seigneur de Hacqueville, conseiller au parlement de Rouen, à l'effet d'arrêter les procédures engagées devant la Cour entre la fabrique et Louis Delahaye, notaire à Charleval, relativement au recouvrement d'une rente de 6 livres 12 sous : « sensiblement touché de l'estat auquel il voit réduit sa pauvre église par les taxes excessives qu'il a fallu payer tant des amortissements, aliénations que par des procédures très-injustes et déraisonnables de Louis de La Haye, nottaire, qui ont esté faites tant à Étrépagny, Gisors, qu'au parlement de Rouen, qui est présentement saisi sur l'appel interjecté par ledit La Haye depuis plusieurs années, ledit sieur curé, tant en son nom qu'au nom de tous les habitants, a recours à vous pour arrester le cours de tant de despenses dans l'espérance qu'il a que vous luy rendrez justice ; et quoyque ledit sieur curé sçache fort bien que ledit Louis de La Haye soit l'un de vos vasseaux et mesme sous votre protection, il ose se flatter qu'après vous avoir exposé sans aucun fard le bon droit de son église, votre charité y aura esgard ».

G378 , 1649-1752 , Bazincourt ; Boulards (fief des) ; Charleval ; Gisors ; Hacqueville ; Pontoise ; Rouen (Parlement de)  
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Églises paroissiales > Bazincourt

(vers 1761) « Registre pour la fabrique de Notre-Dame de Tourneville, dans lequel l'on trouvera tout ce qui intéresse les biens de la fabrique, ceux de la cure, et quelques bonnes receptes pour les playes et autres maladies, la plupart éprouvées par moy, prestre, curé de Tourneville, soussigné. Chemin, prêtre curé de Tourneville. » – Ce registre, écrit en entier de la main de Pierre-Jean-Baptiste Chemin, curé de Tourneville de 1756 à 1781 (à l'exception d'une note marginale du curé Thiboust, datée de 1787), renferme des notes historiques sur l'église de Tourneville (copie de « l'inscription gothique fort belle » mentionnant la dédicace de l'église le 15 mars 1547), la liste des curés depuis 1455, des notes sur les seigneurs de Tourneville au XVIIe et au XVIIIe siècles, l'inventaire des titres concernant les biens-fonds et les rentes de la fabrique, des copies de déclarations et d'aveux des anciens curés de Tourneville et des notes sur les droits, privilèges et charges du bénéfice cure, enfin des recettes de médecine empirique (baume sympathique ou baume de Christ, – composition d'un très bon onguent pour les vieilles plaies, – remèdes pour la brûlure et pour les vers : « il ne faut faire de remède pour les vers que dans le décours de lune, parce que dans ce temps ils sont plus traitables et moins sujets à se mettre en fureur »), – remèdes pour la fièvre quarte et pour l'hydropisie, –« vinaigre thériacal très bon pour ceux qui sont obligés d'aller aux malades, dans les pourpres, vérolles et autres », – remèdes contre la peste et le mauvais air dans les maladies dangeureuses, – remède pour guérir de la peste, éprouvé, – baume du commandeur, – baume catholique, – baume d'aristoloche, –« onguent vert contre la gangrène, et qui est fort bon », –remède contre la pierre, –remède pour les fièvres ou quartes ou tierces, –« baume fait de plusieurs herbes aromatiques, bon pour les plaies et bon à boire pour quelque chute », –« onguent très parfait pour les plaies ». – Les notes sur les seigneurs de Tourneville, extraites pour la plupart des annotations inscrites par les anciens curés sur les registres de baptêmes, mariages et sépultures, contiennent le passage suivant : « L'on voit dans les registres d'un de mes prédécesseurs que lorsqu'il entra dans sa cure en 1649, il trouva son presbitère ruiné, ainsi que le village, parce que François de Harcourt, époux de Catherine Le Tellier, a fait venir dans cette même année à Tourneville un régiment de dragons pour empescher Évreux, qui n'en est qu'à lieue et demie loing, de se déclarer en faveur du parlement de Rouen. Ce régiment, mal discipliné, fit tort dans le village de plus de 4,000 livres. Ils ravagèrent le presbitère où il n'i avoit point encore de curé. C'étoit pour lors M. Jourdain Guiblet qui nous a laissé ce dernier trait. Il dit que ceci lui coûta 100 écus ». – Le registre se termine par la note suivante : « Il ne me reste plus qu'à prier mes successeurs de vouloir bien tous les ans chanter à mon intention un libéra au jour de Toussaints après vêpres, comme je l'ai toujours fait pour mes prédécesseurs. Je certifie de nouveau que je n'ai rien mis que de vray dans ce présent registre, autant que je l'ai pu. Je souhaite qu'il soit conservé pour le bien de l'église et de mes successeurs. Chemin, prestre, curé de Tourneville, prieur de Saint-Laurent de Chambray, ancien curé de Creton et chapelain des Saints-Innocents dans la cathédrale d'Évreux ».

G1360 , fin XVIIIe siècle , Chambray ; Creton ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saints Innocents) ; Rouen (Parlement de) ; Tourneville  
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Églises paroissiales > Tourneville

Donations de terres à la fabrique par Robert Chambellan, Eustache Le Maître, Jeuffray Le Doulx et Clément Grosmesnil ; – transaction passée entre Charles Guilbert, curé de Saint-Pierre-la-Garenne, et Louis Jumel, trésorier de la fabrique, d'une part, Jacques Bisson, écuyer, secrétaire du Roi, maison et couronne de France près le parlement de Rouen, patron honoraire de la paroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon, demeurant à Gaillon, et Nicolas Drouet, laboureur, d'autres parts, relativement à la possession de deux pièces de terre usurpées par ledit Nicolas Drouet sur le bénifice-cure et sur la fabrique de la paroisse de Notre-Dame-de-la-Garenne unie à celle de Saint-Pierre (1769) ; – plan de l'église de Saint-Pierre-la-Garenne et des terrains environnants (XVIIIe siècle) ; – baux à ferme des terres de la fabrique ; – exploit signifié aux habitants de la paroisse par Denis du Thil, négociant à Rouen, acquéreur des droits d'échange de plusieurs paroisses, y compris celle de Saint-Pierre-la-Garenne : « Mon dit sieur Denis du Thil entend jouir de tous les droits, honneurs et prérogatives à luy dus aux termes de l'article 3 de la déclaration du Roy, du 20 mars 1748 », d'après lequelles acquéreurs des droits d'échange devaient être réputés seigneurs en partie des terres, fiefs et seigneuries dans l'étendue desquels ils avaient acquis lesdits droits (1670).

G1262 , 1605-1776 , Gaillon ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Aubin-sur-Gaillon ; Saint-Pierre-la-Garenne  
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Églises paroissiales > Saint-Pierre-la-Garenne

Aveu rendu par la fabrique à Pierre-Marc-Antoine de Languedor, marquis de Becthomas, président à mortier au parlement de Normandie, pour le terrain de l'église et du cimetière et-pour des terres sises à Saint-Germain-de-Pasquier, relevant du marquisat de Becthomas (1768) ; – remise à la fabrique par Nicolas Beaucousin, chantre et chanoine de La Saussaye, et curé de Saint-Pierre-des-Cercueils, d'une somme de 50 livres, léguée par Vincent Lefevre, ancien chantre et chanoine de La Saussaye (1652) ; – baux à ferme des terres de la fabrique, situées à Saint-Germain-de-Pasquier, trièges du Gros-Saule et du Sault-du-Moulin.

G1191 , 1652-1771 , Bec-Thomas (Le) ; Gros-Saule (Le), triège à Saint-Germain-de-Pasquier ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Germain-de-Pasquier ; Saint-Germain-de-Pasquier ; Saint-Pierre-des-Cerceuils ; Sault (Le Moulin du), triège à Saint-Germain-de-Pasquier ; Saussaye (Chapitre collégial)  
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Églises paroissiales > Saint-Germain-de-Pasquier

Du 27 juillet 1785 au 7 janvier 1791.

G248 , 1785-1791 , Fontainebleau ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Yon-lès-Rouen  

« M. Deshayes a fait part d'une copie collationnée de la lettre de cachet par laquelle le sieur Flambart est détenu par ordre du Roy dans la maison de Saint-Yon-lès-Rouen, dont la teneur suit : De par le Roy, cher et bien-aimé, nous vous mandons et ordonnons de recevoir dans votre maison le sieur Flambart, chanoine de la collégiale de La Saussaye et de l'y garder et détenir pendant deux ans, moyennant la pension et l'entretien qui seront payés sur les revenus dudit sieur Flambart. Si n'y faites faute, car tel est notre plaisir. Donné à Fontainebleau le 26 octobre 1785. Signé « Louis » et plus bas « Gravier de Vergennes » (5 décembre 1785) ; –à l'occasion de la nouvelle année, le chapitre adresse des lettres au prince de Lambesc et à la comtesse de Brionne, – le chapitre décide que des prières publiques seront faites pour le rétablissement de la santé de l'évêque d'Évreux, « qui est très exposée par l'état dangereux de maladie qu'il éprouve » (6 mai 1788) ; – copie du « cahier de doléances et remontrances des sieurs doyen, chantre, chanoines et chapitre de l'église collégiale de Saint-Louis de La Saussaye » adressé au Roi à l'occasion de la convocasion des États généraux (4 avril 1789) ; – copie du « rapport de MM. Ricatte, doyen, et Renault, chanoine de l'église collégiale de La Saussaye, députés à l'assemblée des trois ordres réunis du grand bailliage de Rouen », tenue à Rouen le 15 avril 1789 ; – copies des lettres adressées par le doyen et les chanoines de La Saussaye au prince de Lambesc, à l'abbé de Montesquiou, agent général du clergé, à l'évêque d'Évreux et à la comtesse de Brionne, au sujet de la modicité des revenus et des charges du chapitre ; –« la compagnie s'étant fait représenter de nouveau la sommation signifiée mercredi dernier et voyant qu'il est instant de se décider à exécuter les décrets de l'Assemblée nationale qui y sont compris, en les acceptant ou les refusant, le chapitre, après en avoir mûrement délibéré, a arrêté de voix unanime que l'empire des circonstances exigeant de lui le sacrifice de sa soumission, il déclare qu'il la passera lors du procès-verbal qui sera dressé par messieurs les commissaires, ainsi qu'il est annoncé en la sommation cy-dessus transcrite, quoique pénétré des plus vifs regrets de ne pouvoir plus en corps remplir les intentions de ses pieux fondateurs, ainsi qu'il l'a exprimé par sa délibération du 24 décembre dernier, dont messieurs les commissaires seront engagés à prendre lecture » (7 janvier 1791).

Contexte :
Chapitre collégial de la Saussaye > Délibérations capitulaires

Brefs de Clément X (1671) et d'Innocent XI (1678) accordant une indulgence plénière aux fidèles qui visiteraient l'église de Fontaine-sous-Jouy le jour de la fête de saint Joseph ; – certificat des collecteurs de la taille de la paroisse de Fontaine-sous-Jouy, constatant, en exécution de la déclaration du Roi, arrêt de son conseil et ordonnance de l'intendant de la généralité de Rouen du 31 janvier 1673, « que en ladite paroisse il n'y a autres personnes possédants fiefs nobles que le sieur du Marchis, escuier, seigneur dudit lieu de Fontaine, qui conciste en plein fief de haubert, terre, prairies de domaine non fieffé, rentes seigneurialles, pressoir et moulin bannier, et en laquelle paroisse il y a un autre fief appelé Le Roux, relevant de ladite seigneurie de Fontaine, appartenant à monsieur Me Charles Labbé, escuier, sieur de La Motte, conseiller du Roy en son parlement de Rouen, concistant en domaine fieffé et non fieffé et autres droicts, où il y a un pressoir bannier, colombier et manoir seigneurial, et oultre en ladite parroisse il y a un autre fief nommé Le Planchey appartenant à M. du Rouverey, trésorier de France, demeurant à Rouen, despendant du Roy, concistant en maison manable, colombier et terres labourables. ».

G656 , 1671-1678 , Fontaine-sous-Jouy ; Plancher (Le), fief à Fontaine-sous-Jouy ; Raux (fief Le, à Fontaine-sous-Jouy) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Fontaine-sous-Jouy

Déclarations et aveux rendus par la fabrique à Louis Le Carpentier, avocat au Parlement de Paris, « seigneur en sa partie du fief de Martot scis en la parroisse de Vraiville » (1691), à Henri de Lorraine, duc d'Elbeuf, pair de France, gouverneur et lieutenant général pour le Roi des provinces de Picardie et d'Artois, etc. (1720), à Thomas de Boissel, écuyer, seigneur de la Harengère (1754), au chapitre cathédral de Rouen, seigneur en partie de Fouqueville et de Mandeville (1755, 1774), à Pierre-Marc-Antoine de Languedor, chevalier, marquis de Becthomas (1768) et à Jean-Jacques-Pierre Quenet de Saint-Just, chevalier, seigneur et patron de Saint-Didier, conseiller honoraire en la grande chambre du Parlement de Normandie (1783), pour des terres relevant des fiefs de Martot et de la Harengère, du marquisat de Becthomas et des seigneuries de Mandeville et de Saint-Didier.

G1177 , 1691-1783 , Artois (L') ; Bec-Thomas (Le) ; Fouqueville ; Harengère (La) ; Mandeville ; Martot ; Paris (Parlement de) ; Picardie (La) ; Rouen (Chapitre Cathédral) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Didier-des-Bois ; Saint-Just ; Vraiville  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Didier-des-Bois

Confrérie de charité.

G1581 , 1684-1761 , Beuzemouchel (fief de), à Honguemare ; Bosbénard ; Bouquelon ; Bourg-Achard ; Flancourt ; Honguemare ; Maulévrier ; Quesney (fief du) ; Rouen (Parlement de)  

Aveux rendus par la Charité à Jean du Moustier, seigneur et patron honoraire de Honguemare (1684), à François-Gilles du Boscregnoult, seigneur du fief du Quesney et de la Métairie, situé à Bourgachard et à Bouquetot (1712), à Jacques-Georges du Fay, chevalier, seigneur comte de Maulévrier et de Bourgachard, patron honoraire et fondateur du prieuré des chanoines réguliers dudit lieu au droit de ses prédécesseurs (1721), à Louis-Charles Le Charpentier, prêtre (1725), et à Nicolas Le Charpentier du Margat (1761), seigneurs de Flancourt, à Gilles-Henri Maignard de Bernières, président honoraire à mortier au parlement de Normandie (1728), et à Jacques-Gaspard Le Boucher (1756), seigneurs de Honguemare, et à Charles Thirel, chevalier, seigneur de Bosbénard-Commin (1761), pour des terres relevant des seigneuries et des fiefs de Beuzemouchel, paroisse de Honguemare, du Quesney, de Bourgachard et de Flancourt.

Contexte :
Confréries > Bourg-Achard

Contrat d'échange de deux pièces de terre situées dans les paroisses de Tourville et de Saint-Germain de Pont-Audemer, passé entre les Carmélites, d'une part, et Jacques Dehors, sieur de Boismo-ret, marchand tanneur à Pont-Audemer, d'autre part (1735) ; – aveu rendu par les Carmélites au bureau des pauvres de l'Hôtel-Dieu de Pont-Audemer, propriétaire de la seigneurie du prieuré de Saint-Gilles, pour une acre de terre labourable située dans la paroisse Saint-Germain de Pont-Audemer et relevant de la dite seigneurie (1739) ; – aveux rendus par les mêmes à « messire Tenneguy-François-Jean de Guérin, chevalier, seigneur patron de Tourville » (1768), à Charles-Pierre de Bailleul, président à mortier au parlement de Normandie, « seigneur des fiefs du donjon de la châtellenie de Fort-Moville » (1769) et à Louis-Charles-Félix de Malhortie « écuyer, chevalier, seigneur du noble fief, terre et seigneurie de la Motte, situé sur la paroisse de Saint-Germain de Pont-Audemer et qui s'étend sur les paroisses de Saint-Paul sur Rille, Campigny, Tourville, Saint-Ouen du Pont-Audemer et aux environs » (1778), pour des terres relevant des seigneuries de Tourville et de Fort-Moville et du fief de la Motte.

H1515 , 1714-1793 , Bois-Moret (fief de) ; Campigny ; Fort-Moville ; Motte (fief de la), sis paroisse de Saint-Germain de Pont-Audemer ; Pont-Audemer (Carmélites de) ; Pont-Audemer (Paroisse Saint-Germain de) ; Pont-Audemer (Paroisse Saint-Ouen de) ; Pont-Audemer (Prieuré de Saint-Gilles) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Gilles-de-Pont-Audemer ; Saint-Paul-sur-Risle ; Tourville-près-Pont-Audemer  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Carmélites de Pont-Audemer

Bail à fieffe passé par Robinet Larchevêque et Jeanne, sa femme, à Vincenot Langlois et à Raullecte, sa femme, bourgeois d'Andely, d'une maison et d'un jardin sis à Andely, rue de la Foullerie, bornés d'un côté la rue qui conduit à la fontaine Saint-Jean, d'un bout le chemin du Roi, moyennant une rente annuelle de 28 sous parisis (1357) ; – reconnaissance par la sous-prieure des Ursulines d'Andely au profit de Claude Le Roux, sieur de Cambremont, conseiller au parlement de Rouen, d'une rente annuelle de 20 sous « pour fieffe d'un jardin contenant demi-acre ou environ », sis au Grand-Andely, rue Sainte-Clotide, borné d'un bout la rivière de Gambon et d'autre bout la fontaine Sainte-Clotide » (1645) ; – mémoires et pièces de procédures pour les Ursulines d'Andely contre MM. De la Blandinière, conseiller à la cour, Puchot, trésorier de France, Richomme, auditeur des Comptes, et Le Roy, avocat, adjudicataires par décret des héritages ayant appartenu à Vincent, François et Robert Dieupart, desquels lesdites religieuses avaient précédemment acquis une maison et des terres sises à Andely et comprises audit décret (1657-1679).

H1729 , 1357-1695 , Andelys (Les) ; Andelys (Les), Fontaine Saint-Jean (sise aux Andelys) ; Andelys (Les), Les Ursulines ; Bellemare (fief de) sis à Plaiville ; Cambremont (fief de) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Ursulines d'Andely

Tournedos et Bois-Hubert.

H701 , 1220-1762 , Bois-Hubert (Le) ; Evreux (Ville) ; Noë (Abbaye de la) ; Pontigny (abbaye de) ; Rocpuiz (le Champ de), sis à Tournedos ; Rouen (Parlement de) ; Tournedos-Bois-Hubert  

Donation à l'abbaye par Guillaume Harenc de trois acres de terre sises à Tournedos, appelées le Champ de Rocpuiz, et confirmation par le même des donations faites à l'abbaye par Gautier de Folleville (1220) ; — id., par Colin Le Pelletier et Jeanne, sa femme, d'une pièce de terre sise à Tournedos (1357) ; — déclaration fournie par l'abbaye à Pierre-François Doublet, chevalier, marquis de Bandeville, baron de Graveron, etc., ayant épousé Marie-Anne-Catherine Bigot, fille unique de Philippe-Guillaume Bigot, chevalier, baron de Graveron, doyen du parlement de Normandie, pour plusieurs pièces de terre relevant de la seigneurie de Tournedos, membre dépendant de la baronnie de Graveron (1758) ; — bail à ferme passé par l'abbaye à Charles Leclerc, laboureur, des terres appartenant aux religieux de la Noë dans les paroisses de Tournedos et de Bois-Hubert, moyennant un fermage annuel de 180 livres ; — id., par le procureur fondé des abbés de la Noë et de Pontigny, à Jean-Jacques-Romain Buret et à Jacques Aubertin fils, marchands à Évreux, de la grosse dîme appartenant à l'abbaye dans la paroisse de Tournedos, pour le prix annuel de 950 livres de fermage (1762).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de la Noë (Ordre de Cîteaux)

Copie collationnée des lettres patentes de Louis XIV autorisant les Pénitents de Sainte-Barbe, près Louviers, à transférer leur couvent dans la ville de Louviers et leur accordant le droit d'amortissement pour leurs biens acquis ou à acquérir (1645) : « Dez l'année mi six cens quatre, feu nostre cher et bien amé orateur le Père Vincent Mussart, lors provincial dudit ordre, auroit entrepris la restauration et reforme d'un ancien couvent de religieux du mesme ordre appelle de Sainte-Barbe, proche la ville de Louviers, lequel estoit presque entièrement ruiné, sur l'instance que luy en auroient faite les habitans, avec promesse de contribuer à ce qu'ils pourroient librement de leurs moyens, facultez et aumosnes, pour nourir les religieux reformez qui seraient mis audit couvent, ce qui auroit avec la bénédiction de Dieu et par les soins, travaux et vie exemplaire desdits religieux si heureusement réussy que ledit couvent auroit esté entièrement rebasty et le service divin avec la discipline régulière et monastique parfaitement restablis en iceluy ; mais d'autant que depuis ce restablissement les religieux qui ont demeuré audit couvent ont souffert de très grandes incommoditées tant pour le grand esloignement de ladite ville que pour les grandes maladies dont la pluspart ont estés affligés et que l'on a recognu par expérience provenir de la situation du lieu fort malsain, ils auroient esté conseillez de transférer leur dit couvent et famille dans ladite ville à laquelle, n'y ayant point d'autres religieux, ils ne seroient en rien plus à charge, ains s'y pouroient rendre plus utiles au public par leurs exercices et fonctions religieuses et ecclésiastiques..., etc. » ; – vente par Jean Behotte, fils de Jacques Behotte, de Louviers, aux Pénitents de Sainte-Barbe, près Louviers, d'« une maison et jardin assis audict Louviers, d'un bout la rivière faisant mouldre les moullins de Fescamp et d'aultre bout la rue de la Trinité, pour y transférer et establir leur dit couvent de Sainle-Barbe-lez-Louviers, ainsy qu'ilz y ont esté permis par arrest de la Cour du deuxiesme de novembre dernier », pour le prix de 700 livres tournois (1646) ; – donation aux Pénitents de Sainte-Barbe-près-Louviers par Marguerite du Bosc, veuve de Jean de Beaulieu, seigneur du Bec-Thomas et d'Amfreville-sur-Iton, fille de feu Léonor du Bosc, chevalier, seigneur de Radepont, Fleury-sur-Andelle et Boudeville, demeurant au château du Bec-Thomas, d'une somme de 4,200 livres tournois, « pour contribuer à l'establissement du couvent que lesdits religieux Pénitens entreprennent et ont commencé de construire et bastir en ladite ville de Louviers soubz l'invocation et tiltre de Nostre-Dame-de-Consolation, ainsy qu'il plust hyer à Monseigneur l'illustrisime François de Péricard, évesque d'Évreux, faire la bénédiction d'une chapelle soubz ce mesme tiltre en la maison qui leur a été destinée pour ledit establissement par Monsieur Me François Auber, écuyer, conseiller du Roy en sa Cour de Parlement de Rouen, commissère à ce depputé par ladite Cour » (1646).

H1205 , 1645-1646 , Amfreville-sur-Iton ; Bec-Thomas (Le) ; Boudeville ; Fleury-sur-Andelle ; Louviers (Couvent Sainte-Barbe Pénitents) ; Louviers (Eglise en Couvent sous le titre de N.-D. de Consolation, venue de Sainte-Barbe) ; Louviers (Rue de la Trinité, à) ; Radepont (de rapido ponte), (de Ponte rigido) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Pénitents de Louviers

Déclarations et aveux rendus par la fabrique et par les curés de Doudeauville à Robert Fauvel, écuyer, conseiller du Roi et maître de ses comptes en Normandie, Adrien de La Gandille, chevalier (1658), François Cibille, chevalier, comte de Boniface (1722), Pierre Baudouin, chevalier, seigneur du Thil (1727), Louis-Marie Baudouin du Thil, conseiller au parlement de Normandie (1741-1761), pour des terres relevant de la seigneurie de Doudeauville et des fiefs de Grumesnil et de Haubergeon, –à Louis-Bénoit Dauvet, marquis de Mainneville (1722), Marie Magon, veuve du précédent (1738), et Louis-Nicolas Dauvet (1760), pour des terres relevant de la seigneurie de Longchamps, –à l'abbaye de Notre-Dame de Cormeilles (1722-1738) et au grand séminaire de Lisieux (1785), pour des terres relevant de la baronnie de Nojeon-le-Sec.

G567 , 1658-1786 , Corneille-en-Auge (abbaye de) ; Doudeauville ; Grumesnil ; Haubergeon (fief de) ; Lisieux (Ville) ; Longchamps ; Mainneville ; Nojeon-le-Sec ; Rouen (Parlement de) ; Thil (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Doudeauville

Aveux rendus par la fabrique : au chapitre cathédral de Beauvais pour une vergée de terre relevant de la seigneurie d'Ailly, – aux chanceliers de l'église de Rouen (1683-1779), pour des terres relevant du fief du Chancelier « qui s'étend dans les paroisses de Léry, Valdreuil, Incarville et autres lieux », –à Pierre-Armand Le Vicomte, premier président des Requêtes du parlement de Normandie (1751), pour des terres relevant de la seigneurie de Folleville, –à Jean-Baptiste « de Challon », gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi (1654), à Thomas Le Gendre, écuyer (1695-1722) et à Jean-Louis Portail, président à mortier honoraire du parlement de Paris (1759), pour une pièce de terre sise à Incarville et relevant du fief de Maigremont, –à Claude Le Roux, baron d'Acquigny (1675), aux enfants mineurs de Robert Le Roux (1697), et à Pierre-Robert Le Roux (1764-1785), pour une vergée et demie de terre labourable relevant de la seigneurie du Mesnil-Jourdain, –à Charles-Alexandre de La Touche, chevalier (1785), pour le cimetière de Saint-Germain et la maison du vicaire, relevant du fief de Saint-Germain, –à Jean et Jean-Nicolas Le Cheron (1738-1780), pour une maison et des terres relevant du fief de la Salle du Bois.

G860 , 1654-1785 , Acquigny ; Beauvais (ville de) ; Chancelier (fief du), à Léry ; Folleville ; Incarville ; Léry ; Louviers ; Maigremont (fief de) ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Rouen (Parlement de) ; Salle-du-Bois (fief à Saint-Etienne-du-Vauvray) ; Vaudreuil (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Louviers > Saint-Germain

Quittance de rentes dues à la fabrique, délivrée par Jean Amyot et Robinet Lambert, trésoriers en charge, à Jean Hervieu, écuyer, héritier en partie de feu maître Jacques Hervieu (1508) ; – donation à la fabrique par Robine Breton, veuve de Robert Tragin, épouse en secondes noces de Thomas Dobeaux, avec le consentement de Me Jean Tragin, son fils, greffier au bailliage de Brionne, d'une somme de 70 livres tournois, à la charge d'un obit (1624) (parmi les témoins figurent Thomas Turpin, curé de Brionne, honorable homme maître Jean Taulpin, maître Jacques Taulpin, avocat, sieur de Forges, élu en l'élection de Bernay) ; – testament de Thomas Frémont, avocat au parlement de Rouen, résidant à Brionne, contenant donation à la fabrique d'une lampe d'argent, qui devait être allumée nuit et jour devant le Saint-Sacrement, et d'une rente annuelle de 20 livres (1706) ; – donation par maître Louis Frémont, curé de Brionne, à la fabrique de cette église, d'une rente annuelle de 7 livres 14 sous, à la charge d'un obit (1698) ; – testaments de Jeanne de Vittecoq et de Charles-Nicolas Boulenger, reçus par Louis Frémont, curé de Brionne, et contenant des legs pieux à la fabrique (1711-1712).

G456 , 1508-1756 , Brionne ; Forges ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Brionne